I am your pet - ᵛᵉᵍᵃˢᵖᵉᵗᵉ • Kinnporsche (TOME 1)

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POV Macau: 

Test ? 

Fait.

Vegas ?

Parti. 

Porchay ?

Occupé. 

C'EST LE MOMENT OU JAMAIS DE COMMETTRE UN PECHER 

<<- Macau, où est-ce que tu m'emmènes... ?
- Dans un endroit cool.
- Le quartier des putes ?
- Non ! >>

Je frappais le crâne de Ken, l'entendant ricaner de son côté, tout en continuant à me suivre dans les couloirs des appartement familiaux jusqu'à ma chambre. 

Je

Le

Veux

Tout

Entier

Trop de mois se sont écoulés et je suis en train de craquer.

Ken survit, mais un geste un peu romantique et on pourrait exploser.

<<- Macau, tu... Aaah ! >>

J'ouvrais la porte de ma chambre, le tirant si fort qu'il en perdit l'équilibre jusqu'à se retrouver par terre, complètement dans la lune, regardant un peu autour de lui pour comprendre lentement ce qui allait se passer.

<<- Vegas va me démolir !
- Vegas n'est pas là ! >>

Je m'approchais de lui pour enjamber son corps, posant mes genoux à terre, à califourchon, ses mains posées sur mes hanches et pourtant, un regard plutôt blasé sur le visage.

<<- Vegas essaie de me faire craquer pour te quitter pour qu'il me laisse tranquille, et tu penses vraiment que je vais te massacrer le derrière ?
- Vegas n'a rien à dire sur notre relation.
- Il ne supporte pas le fait que tu es été visé avec Porchay.
- Celui qui nous visait, c'était l'oncle Koon, les Kim n'avaient rien à voir là-dedans, il me voulait depuis longtemps.
- Je reste un traite.
- Un traite qui est revenue à la raison. Ken, je t'aime et Vegas ne fera rien. >>

Pour être honnête, ça fait quelques jours que Vegas suit un peu trop Ken à mon gout, quand nous sommes ensemble ou quand il est seul.

J'ai assez peur que Vegas passe à l'action.

Cette situation devient anxiogène, que ce soit pour moi, Ken, ou même Pete, qui subit les choses sans pouvoir dire quoi que ce soit.

Parce que s'il dit quoi que ce soit, nous savons tous ici que Pete va être bien plus honnête que Vegas.

Et personne ne veut de l'honnêteté de Pete.

<<- Je crois que je vais exploser, toute cette frustration depuis la dernière fois dans le garage, je ne pense qu'à toi.
- Je t'avais proposé de m'occuper de toi !
- Tu étais plus important ! >>

Je posais un peu plus mon fessier contre les parties sensibles de Ken qui, instantanément, ce mis à rougir, plongeant son visage dans mon cou, comme un animal apeuré, mais de gêne.

J'ai vraiment soif de lui.

<<- Merde, je ne peux plus me retenir. >>

Et c'est avec surprise et force que je sentais le corps de Ken se redresser d'un seul coup pour me soulever, sa force provenant sûrement de la frustration, jetant mon corps sans ménagement sur mon lit, s'incrustant entre mes cuisses pour enfin, m'embrasser.