𝟑𝟐.

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Tenue d'Esther en média



Avant de commencer, je voulais vous dire que dans les chapitres d'avant, je disais que Esther était revenue avec son père, sa sœur et son frère ( chapitre 28), mais j'ai longuement réfléchi et je ne vois pas l'intérêt de rajouter d'autre frère et sœur Nouanga 💀 donc oubliez ce que j'avais dit, Esther est revenue avec SON PÈRE. Elle n'a que Serenah comme sœur, Kevin et Paul comme frères.






Bonne lecture !




JEANNE




-Kevin, ta veste sent la femme... dis-je après l'avoir retiré sa veste pour bien la renifler

Il rigole avant de me dire :

-Tu insinues quoi par là ? J'ai la tête d'un trompeur peut-être ?

-Mais dis-moi là où tu étais.

-Au boulot j'avais du travail à faire et mon téléphone était déchargé.

-Arrête de mentir retenant mes larmes

-Mon cœur, je ne te mens pas.

Ça me brise de voir qu'il me regarde droit dans les yeux et arrive quand même à me mentir comme si de rien était

-Arrête de mentir ! Passant ma main sur mes cheveux J'ai appelé Paul, il m'a dit que tu as quitté le boulot en avance aujourd'hui !

-Tu me surveilles maintenant ?

-Kevin dis moi tout de suite !

-Ne m'oblige pas à te f—

-QUOI ? À ME FRAPPER C'EST ÇA ? CONTINUES TA PHRASE !! Ai-je crié

-Ne me cherche pas Jeanne allant vers notre chambre.

-Kev—

je n'ai même pas le temps de finir ma phrase que je reçois un coup de poing au visage.

Raison: et c'est reparti pour un très très moment long de souffrance.

-Vas-y, frappe-moi comme tu as l'habitude de le faire ! Si tu veux je t'emmène ta ceinture...

Je sens la partie gauche de mon visage me brûler et un liquide dévale de ma bouche.

Du sang.

-Jeanne je ne-

-Ne t'excuse pas ! Je m'en fous de tes excuses qui n'ont jamais été sincères... fondant en larmes en me dirigeant vers son armoire afin de prendre une ceinture

-Tiens lui passant la ceinture qu'on en finisse vite, de toute façon ça ne me choque plus.

Il me fixe comme un imbécile en essayant de ne pas faire couler ses larmes.

-TU ATTENDS QUOI ! VAS-Y, PRENDS LA ET FRAPPE MOI ! Ai-je crié

Toujours rien...

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