En ce temps, voilà le sentiment

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Le tonnerre déchaine ses nerfs,

Déferle sur la terre !

Avant qu'il n'arrive, il y a la chaleur de l'air,

Les trombes d'eau qui arrosèrent !

Grondement constant,

Qui devient parfois écrasant, effrayant ou, au choix, rassurant. 

Mais avant ça, reprécisons l'air se charge de chaleur,

Comme du sang affluant trop dans le cœur 

A tel point qu'il ne puit remplir sa labeur !

Dans le corps, l'air et le cœur,

Le tonnerre finit alors par éclater !

Parfois, on voit dans l'œil cette étrange lumière !

Luisant par ce coup d'éclair,

Vint la pluie quand le vent est empli d'humidité !

Elle emplit d'eau les prairies clairsemés.

Quelle agréable odeur !

Mieux que les senteurs de certaines fleurs !


A condition que l'on ne soit pas en à côté ou dessous

Car, de là, est absous,

Tous sentiments de sécurité !

Car c'est enfouie au fond et de ces mêmes tréfonds,

Résulte souvent des explosion de sons.

Se dit-on alors que fuir est bonne finalité !


N'oublions toujours pas ces éclairs,

Qui d'un trait cassent l'atmosphère !

Attaque la rétine,

Nous abîme la vue de manière clandestine !

Moi, j'aime bien ce temps, 

En tout et partout,

Il révèle par petits bouts, 

La beauté d'une terre ignorée trop souvent !

Là, où terres sont balayées par le vent,

Est aussi déterrée toutes ces beautés qui ont un intérêt !

Enfin à la vue de tous chaque soucis qui nous abattaient !


Le vert de l'arbre et de l'herbe n'est que plus intense.

Les pousses dont la pluie les aident dans leur croissance. 

Dans ce temps-là, le soleil n'a aucune nitescence,

Mais dites-vous que ces différences,

Météorologiques soient-elles, font de notre vie et de notre monde tout l'essence.

06.05.2023 et 10.05.2023

Le destin du libre arbitre ~ Recueil de poèmesWhere stories live. Discover now