Chapitre 29 : Des marques du passer !

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Midnight est entrer dans la salle de classe, c'était elle qui allait superviser le cour. Sur une ardoise on devait écrire nos nom de code, en regardant mon ardoise, je ressentais...un vide immense, comme une sorte de blocage. Je ne comprenais pas ce qui m'arrivait, j'avais déjà réfléchi à plusieurs nom de code tous en rapport avec All might. Le nom de code d'un c'est son identité, je compris que je n'avait pas encore trouver la mienne. Ashido et Aoyama ont plomber l'ambiance de la classe avec leurs nom stupide. Heureusement, Tsuyu était là pour remonter un peu la pente. Puis Eijiro est passer son nom code était "Red Riot" il voulait rendre hommage à son idol en adoptant ce nom. Moi, je ne pouvais pas en faire autant. Parce que je ne me sentais plus légitime de le faire, pour une raison que j'ignorais. On passait les un après les autres.

C'était au tour de Izuku de passer et le nom code qu'il avait choisi nous laissa tous perplexe. Il nous expliqua qu'au début il n'aimait pas ce nom mais qu'après quelqu'un lui avait donner un nouveau sens. Je comprenais qu'il fesait référence à Uraraka, son discours m'avait tellement ému que je me suis mise à l'applaudir. On commença tous l'applaudir, ce qui le toucha.

« Bon tout le monde est passer ? A non, Nadeshiko tu n'est pas encore passer. N'est-ce pas ? vient au tableau. »

Je me leva pour rejoindre le tableau, toute l'attention était concentré sur moi. Je retourna l'ardoise et tout le monde fus surpris.
- Ton prénom ? Tu est sûr ?
- Oui...enfaîte comme Eijiro je voulais choisir un prénom en rapport avec mon idol. Mais je ne me sentais plus légitime de le faire. Le discours de Izuku m'a beaucoup touché alors j'ai décider d'attendre. Je veux que mon nom soit spécial, qu'il est une valeur sentimental en rapport avec ce que les autres pensent de moi.

Ils me félicitèrent tous, je ne m'attendais pas ces réaction mais j'en fus très toucher. Pendant la pause déjeuner on réfléchissait ensemble dans quelle agence on voulait faire notre stage.
- Shoto tu pense aller dans quelle agence toi.
- Je sais pas encore, mais je réfléchissait à aller dans son agence.
Il me montra le nom d'une agence sur la feuille. Je souria.
- On dirait que notre à fait son petit effet, je suis contente.
- Ouai on dirait bien que ta métaphore du tacos m'a bien aider en fin de compte. Et ton coup de tête aussi, j'en ai encore mal au front.
- C'est vrai on me dit souvent que j'ai un front solide. Un jour je me suis accidentellement cogner le front contre un mur et c'est le mur qui s'est fissurer.
- Je comprends mieux. Et sinon tu sais dans quelle agence, tu veux aller ?
- Non, dommage qu'on peut pas faire de stage à l'étranger.
- Pourquoi tu voudrais faire un stage à l'étranger ?
- Parce que...

J'allais répondre, mais les autres m'avait interrompu. Et la dès que la journée fus enfin terminée, je rentra directement chez moi pour me reposer. Le week-end arriva et je me sentait un peu mieux, après avoir fais un bisou à ma mère je partis.

« Irumi ? Mais qu'est-ce qu'elle vient faire à l'hôpital. »

Elle était devant moi et elle ne fesait pas attention à qui l'entourais. Je la trouvais moin enjouer que d'habitude et son sourire s'était effacé. Elle prenait le même chemin que moi, pour s'arrêter à le chambre 320 presque à côté de celle de ma mère. Elle avait l'air anxieuse, elle prena une grande inspiration et entra. Intriguer je décida de l'espionner, je la regardait par la petite vitre de la porte. Au début je comprenais pas trop ce qu'elle fesait puis je compris. Je fus bouche bée, je n'avait pas les mots cette scène a laquelle j'avais assisté était graver dans ma mémoire. La journée s'écoulait jusqu'à la tomber de la nuit. Je devais rentrer, je dis au revoir à ma mère et j'ouvris la porte. C'est là que je la croisa.

- Shoto...SHOTO !!! Mais qu'est-ce que tu fais ici ? Je t'ai jamais vu pourtant.
- Je rendais visite à ma mère.
- Ta mère ! Oh non ! Elle a eu un accident ? C'est pas trop grave j'espère.
- Nan ne t'inquiète pas elle va bien. Et toi qu'est-ce que tu viens faire ici ?
- Euh...et bien enfaîte...je...comment dire...
- Rien ne t'oblige à me le dire.
- Nan c'est bon, enfaîte j'ai quelque chose à t'avouer. J'ai écouter la conversation que tu a eu avec Izuku...ce jours-là, ça me gêne je suis désolé.
- Hein alors c'était toi.
La réaction de Shoto me surpris il n'avait pas l'air en colère ni surpris. Il resta calme.
- Comment ?! tu savais que quelqu'un vous écoutait ?
- Ouai en même temps vous n'étiez pas très discret. Tu étais avec qui d'ailleurs ?
- Euh Katsuki. Mais je te jure que je vous ai pas suivi ou quoi ! C'est juste...enfin bref pour me faire pardonner. A mon tour je vais te raconter une petite histoire. Je te dois bien ça.Suis moi.

Je le fis entrer dans la chambre 320 ou katatsu s'y reposait.
- Kotatsu désoler de te redéranger. Je te présente Shoto. Shoto voici Kotatsu. Comme tu peux le voir il est dans le coma. Et c'est à cause de moi.
Je pris une grande bouffer d'air avant de reprendre. Tout s'est passé lorsque nous étions en primaire. On était en CM2 dans la même classe. Kotatsu était un élève plutôt turbulent à cette époque, il était disons une racaille avec ses deux potes, mais s'était lui le chef. S'était vraiment un sale gosse, il harcelait plusieurs personnes de ma classe. En les humiliant et en les rabaissant d'une façon vraiment monstrueuse. Et il suffisait que tu le contrarie une seul fois pour que tu sois sa nouvelle cible. J'en ai parler à la maîtresse, à la directrice. Mais ils ne fesait rien parce que son père était un homme influent et puissant. Alors, je fesait tout mon possible pour défendre les victimes. Un jour, lui et ses amis ont tabasser une de mes amis jusqu'au sang et c'est là que j'ai vrier. Je ne contrôlait pas totalement mon alter à cette époque, sous la colère je lui avait balancer une immense vague d'onde psychique. Quand j'avais repris mes esprit Kotatsu était par terre, du sang coulait de sa tête. J'entendais le bruit des sirène sous la panique, je m'évanouis réalisant ce que j'avais fait. Ma famille s'était engager à payer tout les frais d'hospitalisation. Je n'oublierait jamais. Le jour où ma mère a dû mettre sa dignité de côté en s'excusant à genou pour une faute que j'avais commise. Et le regard que mon père m'avait lancer suite à l'incident m'avait détruite, il me considérait comme un boulet qu'il devait traîner.
Comme mon père est un homme d'affaire très influent il étouffa vite l'affaire. Mais je dû partir vivre au États-Unis pendant un temps et attendre que les choses se calme parce qu'on m'harcelait énormément. C'est au États-Unis que je me suit reconstruite et que j'ai appris à maîtriser totalement mon alter. Je suis revenue récemment pour passer l'examen à Yuei et y faire ma scolarité. Et tout les jours je viens lui faire faire des exercices de musculation pour que sa rééducation lui prennent moin de temps, en même temps je lui parle et lui raconte mes aventures en espérant qu'il m'entendent. Je fais tout ce que je peux pour qu'il reprennent conscience. Et je continuerai parce que certe s'était un enfoiré mais il ne méritait pas ça et je ne supporterai pas d'avoir une mort sur la conscience. Voilà tu sais tout.

À SUIVRE...

Une étoile montante !Où les histoires vivent. Découvrez maintenant