CHAPITRE 9 : Insolence

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Alessandro


C'est quelle est maline la gamine, cependant son tempérament allait bientôt lui jouer des tours.

Sur ses mots, un idée me vint en tête, elle avait beau essayer de faire la fille insolente, je voyais très bien qu'elle n'était pas sereine. Alors je m'avança assez doucement d'elle puis inclina ma tête pour avoir accès à son oreille en déplaçant délicatement une mèche de ses longs cheveux noirs avant de lui murmurer :

« Je vous avez bien dit de ne pas me tenir tête mais si je comprend bien vous ne pouvez pas vous en empêcher »

Je sentis sont corps se raidir et ses poils s'hérissaient à ce moment avant d'ajouter :

« Je vais devoir vous faire comprendre qu'on ne me tient pas tête ma chère »

J'ouvris ensuite la porte de sa voiture coté passager en lui disant d'une voix autoritaire « Montez ! ». Elle me dévisagea mais pour une fois m'écouta et monta sans un regard, dans l'habitacle.

J'allait pour me rendre du coté conducteur mais j'entendis le moteur de sa voiture démarrait et sans que je ne comprenne elle s'était barré.

PUTAIN ! MAIS QUELLE PETITE CONNE ALORS !


Aurora


OUF ! C'était moins une !

Je n'avais aucune idée de ce qu'il voulait faire et où il voulait m'emmener, mais rien que l'idée de me retrouver seule en voiture avec lui ne m'enchantait guère. Et une fois de plus, face à lui j'avais pris la fuite.

Mais bon-sang qu'est ce qui ne va pas chez moi ?! Je suis pas une peureuse d'habitude bien au contraire ! Dois-je me rappeler à moi-même qui gagne quasiment tous ses combats ?!

Je ne cessais de repenser à cette journée sur la route, je n'avais pas prévue de rentrer chez moi, j'étais sure de le trouver la bas donc j'avais roulé une bonne heure en espérant trouver une endroit calme.

Je commençait à m'enfoncer dans les collines quand l'aperçu un grand hôtel dominant une vallée si immense que l'on aurait dit un océan vert. Des champs de fleurs ornait celles-ci, rouges, jaune, violet, c'était tout bonnement magnifique.

J'avais choisis, j'allais me reposer 2-3jours dans CET hôtel.

À peine arriver sur le parking de l'hôtel, je me mis à contempler celui-ci, de l'extérieur. Il y avait une longue allée verte ou au bout se trouver les marches pour entrer, on aurait cru l'entrée d'un château. L'hôtel était magnifique avec un grand jardin et deux piscines.

En entrant dans celuI-ci je fus émerveillée quand à la déco de l'intérieur, tout était très chic et baroque. Je me dirigea vers l'accueil afin de réserver une chambre, enfin une suite, je voulais être à l'aise.

Une fois que tout cela était en ordre on m'accompagna jusqu'à ma chambre pour me l'a faire visiter :

« Alors ici vous avez le salon, avec un grand balcon donnant sur la vallée, juste là c'est là nous avons la chambre. Vous y trouverez un grand dressing, un lit king-size, la salle de bain avec douche à l'italienne. Et pour finir notre coin phare, le jacuzzi sur le balcon de la chambre donnant lui aussi sur la vallée. »

Je remercia l'employé et me délecta de cette somptueuse chambre. Le jacuzzi me faisait de l'oeil mais mon esprit fut attirer par la sonnerie de mon téléphone. C'était Giorgia.

- Meuf t'es où ? Je t'ai attendus toute l'aprem à la maison on devait aller boire un café !

- Gio, pardon j'ai pas eu le temps de té prévenir. Il s'en ai passé des choses aujourd'hui ! Lui dis-je en racontant toute ma longue journée.

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