35 - Zakaria Walton

398 18 8
                                    

PDV THOM :

- Je pense que vous vous êtes trompé de maison Timéo Eraty.

- Non, vous êtes bien Zakaria Walton ,

- Hm, oui c'est bien moi, mais je ne vois pas comment je peux vous aider..

- Vous avez bien été policier ?

- Oui, je ne le suis plus par contre.

- Je le sais bien, mais je voudrais vous interviewez.

- D'accord, entrez.

Il me fait diriger vers son canapé, il est jaune ??

Je juge pas mais un peu quand même, faut revisiter ces goûts hein..

- Je vous sers un café ? me demande Zakaria

- Avec plaisir. 

Il se dirige vers sa cuisine et prépare mon café.

Il revient avec deux tasses de café et m'en passe une.

Il me demande si je veux du sucre mais je réponds que non, je suis pas une chuchote on boit corsé ici.

- Donc, je viens vous poser quelques questions, et vous vous répondez en toute honnêteté ça vous va ?

- Oui avec plaisir !

Il devrait ranger son petit sourire lui, il sent.

- Depuis combien de temps avez-vous arrêter d'être policier ? je demande en sortant un bloc notes et un stylo.

- Depuis 3 ans déjà, j'en avais marre, je ne prenais plus soin de moi malheureusement, et ça m'attirait des problè-, bref voilà.

Je fais genre de noter, car en vérité VickBlue et relié au micro, et il récrit toutes les informations utiles.

Par contre, il n'a pas fini sa phrase, étrange.

- D'accord, vous avez quel âge ?

- 27 ans.

- C'est quoi l'intervention la plus drôle et improbable que vous avez réalisé ?

Il sourit avant de continuer : 

- C'est celle ou un petit de 9 ans nous avaient appelés pour venir récupérer un truc très important et dangereux qui est tombé dans ces égouts, il nous parlait d'une grenade, ce qui est potentiellement dangereux, alors on s'est dépêché, mais quand on est arrivés, on à eu le droit à un grenade en plastique, on avait rit. La maman ne s'était même pas rendu compte que nous étions là, on avait des uniformes spéciales et tout. Je m'en rappellerai toute ma vie.

Et il est content.

Bon en vrai je m'en fou, mais tranquille, je fais genre de rire à son anecdote hilarante selon lui.

- D'accord, je l'avoue c'est très drôle ! Maintenant l'intervention la plus étrange que vous avez réalisé ?

Il perd son sourire instant, ferme les yeux, et les réouvre avant de me dire :

- Je ne peux pas la raconter.

On à touché le point sensible.

- Racontez moi alors juste quelques détails, ou alors racontez là moi et je me chargerai de changé la version.

Il approuve ma deuxième idée et finit par me raconter :

- C'est pendant un mois de février, il y a eu un incident, mais j'ai dû le camoufler. J'en suis pas fier, mais je n'ai pas eu le choix, sinon j'y risquai ma vie. Tu camoufles toute cette partie hein, ça reste entre nous.

Notre amour est si évidentOù les histoires vivent. Découvrez maintenant