Wendy McCall, Tome 1 [ Teen Wolf ]

CHAPITRE 122

« RAFAEL MCCALL. »

Stiles et moi avons donc rejoins Lydia dans le couloir et nous courons tous les trois jusqu'au bureau de notre psychologue scolaire. Il y a déjà quelqu'un dans son bureau.

— T'es là pour Mme Morell ? demande le brun.

— Non je croyais que j'étais en cours de gym, dit sarcastiquement la fille.

— Écoute ma belle, on est pas d'humeur a rigoler, déclare Lydia. Tu sais où elle est ?

— Si je le savais, j'attendrai pas ici depuis vingt minutes ! Alors pourquoi vous sortez pas tous les trois et vous attendez gentiment votre tour.

— On est pas là pour une séance, dis-je.

— Moi si, et j'ai quelques gros problèmes que je dois régler.

Je m'apprête à l'hypnotiser pour qu'elle parte mais Stiles me devance.

— On se connait non ? Danielle ? T'es la meilleure amie d'Heather ?

— J'étais la meilleure amie d'Heather, fait-elle. On travaille sur ça trois fois par semaine.

— Attend, t'as dis qu'elle avait vingt minutes de retard, reprend la rousse.

— Et c'est très étonnant ! Elle est toujours à l'heure !

Mon amie semble réfléchir un instant.

— Je la voyais au début du semestre, elle est jamais en retard.

— Alors si elle est pas en retard, elle a disparue, comprend Stiles.

— Et si on était pas les seuls à penser qu'elle sait quelque chose, ajoute Lyd.

— Alors voyons ce qu'elle peut savoir, dis-je en commençant à fouiller son bureau.

Je fouille ses tiroirs à la cherche que quelque chose pouvant nous dire où elle est.

— Eh mais qu'est-ce que tu fabriques ?! crie la fille.

— J'essaie de la trouver, dis-je simplement.

— Ces dossiers sont privés !

— Elle n'a pas complètement tord, ajoute Lydia.

— Donc tu veux pas le tiens ? demandé-je en lui tendant son dossier.

— Laisse-moi voir, fait-elle en le prenant.

Stiles et Danielle commencent à regarder le dossier de Lyd avec elle pendant que je cherche toujours des indices.

— Attend, c'est ton dessin ? interpelle Stiles.

— Je sais, c'est un arbre, clame la rousse.

— Ouais, il est très beau, complimente l'autre fille.

— Merci, sourit-elle.

— Non, c'est pas ça, c'est le même arbre ! déclare l'humain.

La phrase de l'hyperactif m'intrigue alors je viens voir de quel dessin ils parlent.

— Le même que quoi ? interroge Lydia.

— Le même que tu dessines toujours en cours, ajouté-je.

— C'est un arbre, j'aime bien dessiner les arbres !

— Non mais là, c'est exactement le même arbre, s'impatiente Stiles.

Pour lui prouver ce qu'il avance, Stilinski prend donc le sac de Lydia pour aller chercher l'un de ses dessins dans ses cahiers.