N.2

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« 𝓟𝓻𝓲𝓼𝓸𝓷𝓷𝓲è𝓻𝓮 𝓭𝓮 𝓼𝓮𝓼 𝓫𝓻𝓪𝓼 »

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Cela fait maintenant 5 journée et 5 nuits que ce psychopathe n'est plus revenu, d'un côté j'étais soulagé. Mais d'un autre, je souffrais. Comme je vous l'ai dit, au dernier chapitre ça faisait 10 jours que j'étais « inconsciente », et maintenant ça en fait 15, plus de 2 semaines ça fait beaucoup. Mes vetements étaient sales, je puais, mes cheveux étaient dans un pitre état et pour ne pas arranger cela mon kidnappeur me laissais mourir de fin. Je ne crains que cette fin ne soit pas bonne pour moi.

J'avais pas mon téléphone, plus les réseaux, rien. J'avais aucun moyen de communiquer avec quique ce soit du monde extérieur. Il m'avait tout repris. Mais il restait une vielle radio celle qui m'empêchais de dormir, puisqu'elle faisait toujours des grisements. Quand je dormais, ça devais être 1 ou 2h, ni plus ni moins. Je ne sais pas ce qu'il voulait de moi. Et c'est ça le problème. De plus, j'ai entendu à la radio que les autorités commenceront une enquête à partir de demain dès l'aube. Je ne comprends ce qu'ils fabriquent sérieusement. Pourquoi il prennent autant de temps à venir me chercher ? Il attendent qu'il s'y passe quelques chose de grave? Moi je ne le sentais pas. Imaginez que la police et les enquêteurs sont de mèche avec.... Cet homme d'où je ne connais le nom?

Trop de questions se baladaient dans ma tête. J'étais fatigué, mes yeux voulaient se fermer et ne plus jamais s'ouvrir. Je ne voulais pas mourir moi, le monde a encore besoin de moi. J'étais perdu sérieux. Comment peut-on détruire la vie d'une personne avec qui on a passé rien qu'une nuit ensemble ?

Alors que je n'arrêtais pas de me poser des questions, j'ai entendu sa serrure de la porte qui mène vers la sortie, s'ouvrir. Devinez qui c'était. Monsieur inconnu ! Donnez moi la chance de tuer, pas de problème.

???: Alors ma belle, comment vas-tu depuis qu'on s'est vues la dernière fois *dit-il en se rapprochant de moi et en me frôlant l'épaule gauche* T'es toujours aussi bien arrangé à ce que je vois, en même temps ça m'étonne pas.

Moi: Vous attendez qu'une fée vienne me mettre de la poudre de perlimpinpin ou c'est comment?

???: Que t'es drôles.. je..

Soudain, L'homme mystère s'est arrêté. Il a reçu un appel, ce qui a intrigué complètement mon attention.

Moi: C'est qui ? *chuchote*

???: Tais toi.

Il a décroché puis brusquement, il a attrapé l'un des case qui était sur une des vielles tables et l'as cassé. Je ne comprenais pas pourquoi il était dans cette même rage, quesque la personne au bout du file lui avait dit pour déclencher une tel frustration? Je sais pas moi. Cet homme est tellement mystérieux aussi..

5minutes après il a raccroché, il ne me calculait plus du tout, mais je voyais qu'il n'était pas cet homme que j'avais rencontré il y a d'ici là 5 jours. Ce n'était pas cet homme narcissique, froid et moqueur. Il avait plutôt l'air d'être énervé, très énervé.

Il s'est assis sur l'un des canapés sal et il a posé ses mains sur son crâne. Pendant ce temps là, Moi j'essayais de lui parler mais rien de fonctionnais, il était immobile et avait l'air d'être tellement énervé et contrarié.

Quelques minutes après (10 minutes en virons) il avait repris ses esprits et s'est levé. Il s'est redirigés vers moi et en s'accroupiant et me dis quelques chose dans l'oreille: « Changement de plan »

Quel plan ? Quand vas t'il arrêter de faire l'homme mystérieux ? Bien sûr, je pouvais rien dire. J'étais sur le point de souffler quand il m'a retenu.

???: Ta réellement envie de crever ici toute seule? Crois moi t'es l'exception à la règle, je t'aurai déjà buté depuis très longtemps. crois moi ça m'arrange pas du tout. Alors évite de souffler car ça pourrait mal se terminer, c'est d'accord ?

J'ai tourné la tête pour ne pas m'être méprisée face à son regard venimeux. Il s'est approché de moi et il a commencé à me détacher. Ça voulait dire quoi ça ?

???: Écoute moi attentivement car je ne vais le répéter. Tu vas venir avec moi, si tu essaye de t'échapper ne serai ce qu'une seule fois, il n'y aura pas de retour en arrière. Tu sera tuer comme une vielle merde parmis toutes les filles de ton genre. Dès que j'aurai plus besoin de toi, je te tuerai.

Moi: Ah ouais. J'ignore ce que t'a petite tête a dans son cerveau mais c'est digne d'un véritable mafieux. Kidnapper des victimes, les utiliser et ensuite les jeter comme des vulgaires chaussettes de deuxième mains. C'est hyper cruel, je suis épaté.

???: Tu croyais quoi ? Que j'allais rigoler avec toi ? Que j'étais qu'un gamin qui joue au play mobile avec les gens ? Mais t'es perché la vie. Maintenant tu vas arrêter de parler et tu vas me suivre. Je ne tolérerai pas ta désobéissance.

J'étais ébahis. Comment ça ma désobéissance ? A-t-il cru que j'étais une marionnette avec qui il pouvait jouer tranquillement ? Je n'avais vraiment pas la force de lui répondre. D'une part, j'étais beaucoup trop faible et d'une autre, je risquais gros avec un malade pareil. Vaut mieux que je le suive, peut-être qu'il me fera manger quelques chose?

Après ses mots il m'a porté et je n'ai rien dit. On est arrivé devant une porte que je n'avais jamais vue avant qui était caché par un géant tableau. Je ne l'avais même pas remarquée, même pas un peu. Dans ce cas là, j'étais vraiment bête car le tableau prenait toute la place de ce mur. Il nous a emmené dans un sous terrain et il y avait pleins de belles voitures dignes d'un véritable milliardaire. Il m'a posé au côté passager et il est monté. Il a aussi tôt démarré et je me suis finalement endormi.

Quelques minutes après je me suis réveillé, ce qu'il semblait quelques minutes mais ce n'était pas du tout le cas. Ça faisait 2h que je dormais.

« Prisonnière de ses bras » Where stories live. Discover now