Désillusions

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Cet affreux fantôme qui me suit
Et qui reviens en jour en nuit
Qui poursuit toutes mes pulsions
Toujours me nargue en déception
Alors je vole, arrache l'épine !
Et c'est l'amour que j'assassine
Mais utopie ! Trop de chimères
Longue langueur me désespère
Car simple songe doucement je mens
Le rêve se poursuit tristement

Dérive nocturneOù les histoires vivent. Découvrez maintenant