7. Vieux document et nouveau SHEILD

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-on es dans la merde…

-De quoi tu parles ?

-les autres te détestent. ils disent que tu t’es approprié leur travail et leur mérite en Sokovie. Ils n'arrêtent pas de répéter que tu les prends de haut à cause de ton ancien poste. William, tu dois partir d’ici. s’ils te chopent, tu va morfler… ils ont besoin d’un exutoire et tu est la cible. j’ai envoyé un message à Maria, elle devrait arriver d’une seconde à l'autre avec ta voiture, va ou tu veux mais part je t’en supplie. si jamais ils apprennent que tu as écrit ce document, ils vont être encore plus en colère. je m'inquiète pour toi, je… si jamais ton nom apparaît dans ce document…  Je ne veux même pas savoir se qui vont vouloir te faire. je-

Les yeux de Tony, tout a l’heur en colère, montre maintenant de la tristesse mélangée à de l'inquiétude. je sais que ses sentiments ne sont pas vraiment pour moi… il a besoin de quelqu'un à aimer et cette personne n’est pas censé être moi. Malgré tout, je l’écoute…

-ok..  j’y vais… mais Tony,

je ne fini pas ma phrase que, de nouveau, il me serre fort.. trop fort mais ça je ne lui ai pas dit.

-je t'aime Trésor. je t’appelle dès que j'ai réussi à les calmer… ils sont vraiment en colère contre eux même à cause de lagos. Je suis désolé.

Je le pousse et sort de la pièce aussi vite que comment j’y suis entré.

la porte automatique se ferme doucement derrière moi ce qui brise un peu l'effet que j'aurais voulu donner de moi qui part en colère en claquant la porte.

-salut ma belle, alors ou on va ?

dans la voiture que Tony m'a offert il y a maintenant presque cinq ans, Maria me lance des regards d'inquiétude mélangés à un besoin d'aventure.

Je soupire et lève les yeux au ciel avant d’embarquer du côté passager. ben quoi, je vais pas conduire quand elle est déjà au volant. je suis une princesse passagère, moi.

-allons manger, je suis sûr que toi, tu as quelque part ou tu veux y aller.

Elle me sourit, met des lunettes de soleil du style ‘’flic de New York’’ puis démarre beaucoup plus vite que la limite de vitesse. Disons que je ne peux pas me plaindre, après tout moi aussi je n'écoute pas toujours les limites de vitesse.

-Alors… qu'est ce qui se passe pour que Stark soit aussi inquiet pour toi ?

-un document que j’ai écrit quand j'étais au Shield vient de faire surface dans les mains du gouverneur Ross. et-

-et si les autres voient ton nom dans ce document, ils vont s’en prendre à toi et te mettre tout sur le dos.

-encore tout me mettre sur le dos. rétorque-je. ce qui la fit rire.

-honnêtement, je te comprends de ne plus vouloir faire partie de ce groupe. tu es leur bouc émissaire mais aussi leur plus grande donatrice. Sans toi, il n'y aurait pas d'Avengers, sans toi il n'y aurait plus de New York ou de Sokovie.

elle freine brusquement.

-Sérieusement William ! pourquoi reste tu a lecher les bottes de ses hero macho qui ne voit pas de valeur. Même Nat et Clint semblent avoir tellement changé que je ne les reconnais plus lorsque tu es dans la pièce.

Je lui fais un sourire rempli de tristesse pour essayer d'apaiser sa colère.

-ne t'en fait je ne resterais plus là. j’ai compris il y a des lustres que jamais ils m'apprécieront. honnêtement, je suis surprise que tu ne me détestes pas toi aussi. tu sais-

William Amazone Where stories live. Discover now