Chapitre 15

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PDV : Harry/Daphné

Daphné poussa un léger cris. Black se leva d'un bon et Harry sursauta comme si il s'était pris le courant via une prise électrique usagé.
- Merci miss Greengrass pour m'avoir averti. Dit Rogue en entrant dans la pièce, baguette toujours pointé vers Lupin.
Rogue était légèrement essoufflé, mais on pouvait voir dans son visage un sentiment de triomphe à peine dissimuler.
- Vous vous demandez sûrement comment j'ai su que vous étiez ici. Dit-il. Au moment où le patronus de miss Greengrass m'avait prévenu que vous étiez dans le saule cogneur, j'étais dans ton bureau Lupin, car tu avais oublié de prendre ta potion ce soir, du coup j'en ai apporté un gobelets. Et j'étais surpris de voir une carte posé sur ton bureau, j'y ai donc jeté un œil et je t'ai vu courir le long de ce tunnel, puis disparaître.
- Severus... Commença Lupin mais Rogue ne laissa pas terminé.
- J'ai répéter au directeur que c'est toi qui à aidé ton vieil ami Black à s'introduire dans le château et en voici une belle preuve. Je n'aurai jamais pensé que tu aurais eu l'audace de revenir te planqué dans cet endroit.
- Severus tu es véritablement en train de commettre une grosse erreur. Dit précipitamment Lupin. Tu ne sais pas tout... Je vais t'expliquer... Sirius n'es pas venu ici pour tuer Harry. Mais pour tué Peter Pettigrow.
- Tu veux me faire croire que Pettigrow est vivant? Demanda Rogue. J'y crois pas, car cet espèce de meurtrier l'a tué comme il a tué Lily.
- Bon sang Servilus. Commença Sirius Black. Je n'es jamais touché à Li....
- Silencio. Lança Rogue.
D'un seul mouvement de baguette, Sirius ne pouvait plus parler.
- N'ose pas prononcer son prénom. Dit Rogue avec colère. Et donne moi une très bonne raison de pas te tué tout de suite.
Black s'immobilisa. Mais il était difficile de savoir lequel dès deux avait une très grande haine.
Harry resta paralysé, sans savoir que faire ni qui croire. Il jeta un regard à Daphné et à Weasley qui tenté toujours de retenir son rat qui continué de se débattre comme un dément. Daphné quand à elle s'avança vers le professeur Rogue.
- Professeur Rogue, vous devriez entendre ce qu'ils ont à dire. Car tout ce qui ont dit concernant Pettigrow, il y a une part de vérité. Dit Daphné.
- Que voulez-vous dire MissGreengrass? Demanda Rogue.
- Ce qu'elle veut dire professeur, c'est que vous devriez demander à Black de raconter l'histoire. Expliqua Harry.
Le professeur Rogue se tourna vers Sirius Black et lança le contre sort pour qu'il puisse parler.
- Explique. Vite. Dit Rogue.
Et c'est ce qu'a fait Black, il a raconté du début à la fin là même histoire que Lupin à raconté au trois jeunes sorciers. Et il a indiqué le rat de Weasley pour conclure l'histoire.
- Vous êtes chiant. Dit Weasley d'une voix faible. Vous n'allait tout de même pas me faire avalé le fait que vous vous êtes évadé d'Azkaban juste pour Croutard?
Weasley regarda Harry, Daphné et le professeur Rogue en quête d'approbation.
- Admettons que je vous crois sur le fait que Pettigrow peut ce changer en rat. Vous vous êtes pas dit qu'il y avait dès millions de rat. Vous êtes sûr qu'il s'agisse de ce rat ci et non d'un autre. Surtout après avoir passé autant de temps à Azkaban? Demanda Weasley.
- Il à pas tort Black. Reconnu le professeur Rogue.
- C'est vrai Sirius. Comment à tu pu savoir où il se trouvait? Demanda le professeur Lupin.
Black plongea une de ses mains décharnées dans une de ses poches de sa robe de sorcier et en sortit un morceau de papier qu'il défroissa pour le montrer aux autres. Le papier en question était un article venant de la gazette du sorcier. On pouvait voir une photo de Weasley et sa famille qui avait paru l'été précédent. Sur l'épaule de Ron Weasley on pouvait voir un rat.
- Comment a tu eut ça? Demanda Lupin.
- Grâce à Fudge, répondit Black. Au moment de son inspection à Azkaban, l'année dernière, il m'a donné son journal. En regardant la première page, j'ai reconnu Peter sûr l'épaule de ce garçon... J'ai tout de suite deviné que c'était lui... Combien de fois ne s'est-il pas métamorphosé devant mes yeux. Et là légende indiquait que ce jeune homme s'apprêtait à retourner à Poudlard... Et où se trouvait Harry.
- Mon dieu, murmura Lupin en regardant alternativement Croutard et la photo du journal. Sa patte avant...
- Elle a quoi sa patte avant? Demanda Ron Weasley sur un ton de défi.
- Il lui manque un doigt. Répondit Black.
- Bien sur, dit Lupin dans un souffle. C'était simple et totalement astucieux. Il a dû se le trancher lui-même n'est ce pas ?
- En effet et ce juste avant de ce transformer, poursuivi Black. Quand je les retrouvé et immobilisé dans un coin, il s'est mis à hurler que j'avais trahi James et Lily pour que les gens autour nous l'entendent. Mais se stupide rongeurs, bien que je tenté de lui jeté un sort, il a dévasté la rue et en tenant sa baguette magique derrière son dos, il a tué tout les passant dans un rayon de cinq où six mètres. Ensuite il s'est transformé et il a pris la fuite par les égouts parmi les autres rat.
- On ne vous a jamais raconté sa Ron? Demanda Lupin. Tout ce qu'on a retrouvé de Peter c'est un doigt de sa main.
- Vous ne vous êtes pas dit qu'il s'est sûrement battu avec d'autres rat et qu'il a sûrement perdu un doigt dans la bagarre? Demanda Weasley en les regardant comme si ils avaient perdu la tête. Car sa fait une éternité qu'il est dans la famille.
- Je crains que le professeur Lupin est raison Weasley, un rat ordinaire ne peut pas vivre éternellement. Reconnu le professeur Rogue.
- Et douze ans c'est très long. Dit Lupin. Vous ne vous êtes jamais demandé comment il se fait qu'il est vécu aussi longtemps?
- On.... On s'est bien occupé de lui... Répondit Weasley.
- Je trouve qu'il n'a pas très bonne mine vous ne trouvez pas? J'ai l'impression qu'il a perdu du poids en apprenant que Sirius s'est échapper d'Azkaban. Fît remarqué Lupin.
- C'est cette maudite chatte qui lui fait peur et je parie que c'est cette maudite Serpentard qui lui a demandé de martyrisé Croutard.
- Ne t'avise pas d'accusé ma sœur Weasley, elle n'y est pour rien dans tout sa. Dit Daphné avec colère. Et je pense que c'est illogique, car ton rat devait être déjà comme sa, car il à rencontré Séléna bien plus tard.
- Et de plus, ajouta Sirius. C'est la chatte la plus intelligente que j'ai rencontré. Car elle à de suite compris que Peter n'était pas vraiment un rat et que moi non plus j'étais pas vraiment un chien. Il a fallu énormément de temps avant qu'elle me fasse véritablement confiance. Et finalement quand j'ai réussi à lui faire comprendre ce que je cherchais, elle m'a aidé.
- Que voulez-vous dire? Demanda Daphné.
- Elle à essayer de m'amener Peter, mais elle n'a pas réussi. À la place elle a volé la liste dès mots de passe et me l'a apporté. D'après ce que j'ai compris, elle l'a trouvé le papier sur la table de chevets d'un dès élèves de Gryffondor. Mais Peter à compris ce qui se passait et il s'est enfui... poursuivi Sirius. Cette chatte - Séléna n'est-ce pas ? - m'a dit qu'il avait laissé dès traces de sang sur les draps. J'imagine qu'il a dû se mordre lui-même... Il avait déjà réussi à faire croire à sa mort la première fois.
Harry retrouva alors ses esprits.
- Pourquoi faire semblant d'être mort? Parce qu'il savait simplement que vous vouliez le tué comme vous l'avez fait avec mes parents. Dit Harry en commençant à s'énerver.
- Calmez-vous Potter, je commence à croire en l'innocence de Black. Dit le professeur Rogue.
- Mais professeur.... Commença Harry.
- Severus à raison Harry. L'interrompit Lupin. Pendant longtemps on a tous cru que Sirius avait trahi vos parents et tué Peter. Moi-même je les cru. Mais là vérité c'est Peter qui a trahi vos parents et c'est Sirius qui est parti à sa recherche pour vengé vos parents.
- CE N'EST PAS VRAI! Hurla Harry. IL ÉTAIT LEUR GARDIEN DU SECRET! C'EST LUI QUI NOUS L'A DIT AVANT QUE VOUS ET LE PROFESSEURS ROGUE ARRIVIEZ. IL À BIEN CONFIRMÉ QU'IL LES AVAIT TUÉS.
On entendait un léger sanglots venant du lit où se trouvait Sirius Black qui ne pu qu'hochait la tête et quand il releva la tête ses yeux étaient brillant de larmes.
- Harry... C'est comme si je les avais tué, dit-il de sa voix rauque. Au tout dernier moment, j'avais convaincu James et Lily de prendre Peter à ma place, d'en faire leur gardien du secret. J'en suis totalement responsable c'est vrai et j'en suis bien conscient. Quand je suis arrivé dans sa cachette le soir où t'es parents son mort. Peter brillé par son absence. J'avais cru qu'il s'était fait torturé, sauf qu'il avait aucune trace de lutte. J'avais pris peur que je me suis précipité vers la maison de t'es parents. En voyant la maison détruite et leur cadavre, j'ai compris ce que Peter avait fait où ce que moi j'ai fait d'une certaine manière.
- Il suffit. Dit Lupin.
Il avait parlé avec une voix dure, métallique que Harry et Daphné ne lui connaissait pas. Même le professeur Rogue et Ron Weasley en était choquer.
- Il y a qu'une seule façon de prouver ce qui s'est véritablement passé, poursuivit-ils, Ron, donnez-moi ce rat.
- Qu'aller vous lui faire si je vous le donne. Demanda ce dernier tendu.
- L'obliger à ce montrer, dit Lupin. Bien sur si c'est vraiment un rat, il ne sentira rien.
Weasley hésita mais donna Croutard au professeur Lupin qui le pris dans ses mains. Le rat se mit à se tortiller les yeux exorbités.
- Vous êtes prêt Sirius et Severus ? Demanda Lupin.
Le professeur Rogue qui avait déjà sa baguette prête hocha la tête tout comme Sirius qui n'avait pas de baguette mais dont les yeux commencèrent à s'enflammer dans leur orbites.
- À trois. Dit le professeur Rogue.
Lupin hocha la tête tandis qu'il tenait fermement Croutard dans une main et sa baguette de l'autre.
- Attention. Un, deux... TROIS. Dit ce dernier.
Un éclair bleu jaillit des deux baguettes magiques. Pendant un court instant, Croutard sembla se figé dans les airs, tout son petit corps noir fut agité de convulsions. Weasley eu un léger cris. Le rat tomba sur le plancher. Il y eut alors un autre éclair aveuglant, puis...
On aurait dit la croissance d'un arbre mais dans un film en accélérer. Une tête sortit du sol, puis dès bras poussèrent, ainsi que des jambes. Un instant plus tard, un homme se tenait debout à l'endroit où Croutard était tombé. L'homme recroquevillé sûr lui-même, se tordait les mains. Sûr le lit Séléna s'était mis à cracher, les poils dresser sûr son échine. Ron Weasley quand à lui s'est mis à vomir sûr le côté du lit.
L'homme était petit, légèrement plus grand que Harry et Daphné. Le sommet de son crâne était chauve, entouré de cheveux fins en bataille, à la couleur indéfinissable. Il avait l'aspect d'un homme flétri ayant perdu beaucoup de poids en si peu de temps. Sa peau paraissait sale et terne, comme les poils de Croutard, et il avait conservé quelques petites choses ayant appartenu au rat, telle que son nez pointu et ses yeux humides. La respiration saccadés, il regarda autour de lui, notamment la vers la porte, puis rechanga de direction.
- Bonjour Peter, dit Lupin comme si de voir un rat se changeait en humain était quelques choses de courant. Ça fait longtemps qu'on s'est pas vu.
- S...Sirius...R...Remus. Commença Pettigrow.
Pettigrow avait une petite voix couinante, semblable à dès cris de rat. Pendant un instant, ses yeux se tournèrent une nouvelle fois vers la porte.
- Mes amis... Mes chers vieux amis. Continua Pettigrow.
Rogue voyant que Black allait se lever pour aller frapper Pettigrow, l'empêcha de se lever en mettant sa baguette devant lui et Lupin lança à Black un regard noir. Puis Lupin s'adressa à Pettigrow d'un ton léger et désinvolte.
- Avant de te changer en humain, nous avions eux une petite conversation. Au sujet de la mort de James et Lily. Il est possible que certains détails t'es échapper tandis que tu poussait t'es petit cris en essayant de t'enfuir. Commença Lupin.
- Mais enfin Remus, dit Pettigrow d'une voix haletante tandis que des gouttes de sueur coulait de son front. Tu ne va tout de même pas le croire, il... il a essayé de me tuer, Remus.
- C'est ce qu'on a entendu dire, répondit Lupin d'un ton plus froid. Mais j'aimerais beaucoup que tu m'aide à éclaircir quelques points obscur Peter, si tu veux bien...
- Il veut encore essayer de me tuer ! Glapit Pettigrow en montrant Sirius du doigt.
Harry remarqua qu'il pointé son médius car il n'avait plus d'index.
- Il a tué Lily et James et maintenant il veut m'assassiné... Tu dois m'aider Remus.
Sirius lançait un regard tellement noir à Pettigrow qu'il serait morts deux fois.
- Tant que tu nous aide à tiré les choses au clair, personne n'essaiera de te tué. Dit Lupin.
- Et je te conseille vivement de tout avouer Pettigrow. Lança Rogue.
- Commença tout avouer Severus? Et d'ailleurs qu'est-ce tu fais ici? Et que tu veux dire par tiré les choses au clair Remus? Demanda Pettigrow.
- Quand au pourquoi Severus est ici, c'est justement pour empêcher Sirius de te sauter dessus. Et pour savoir toute la vérité. Voilà ce que j'appelle tiré les choses au clair.
Pettigrow recommença à jeté dès regard autour de lui, dès fenêtres obstrué à une nouvelle fois sûr là porte.
- J'ignorais pas qu'il allait me poursuivre! Qu'il essaierai à tout prix de me retrouver afin de me tuer. Enfin, sa fait douze ans que j'attends. Dit Pettigrow.
- Tu savais que Black arriverait à s'échapper? Demanda Rogue incrédule.
- Tout en sachant que personne d'autre avant lui n'avait réussi. S'étonna Lupin.
- Il connaît dès procédés de magie noir dont nous avons aucune idée! S'écria Pettigrow de sa petite voix suraiguë. Comment aurait t'il pu faire pour s'échapper d'après toi? Je suppose que Celui-Dont-On-Ne-Doit-Pas-Prononcer-Le-Nom lui a enseigné quelques secrets !
Sirius éclata de rire, pas d'un rire comme si quelqu'un avait raconté une blague mais d'un rire sans joie. Même Rogue avait un sourire narquois.
- Bien que Black ne soit pas un de mes amis, je vois mal le seigneur des ténèbres lui apprendre dès choses. Dit Rogue.
- Et encore moins m'apprendre dès secrets. Surtout pas Voldemort. Et tu sais pourquoi? Parce que je le déteste. Dit Sirius avec haine.
Pettigrow se recroquevilla, comme si Black l'avait menacé d'un fouet.
- Tu as peur d'entendre le nom de ton maître? Dit Sirius. Comme je te comprends Peter. Ses amis ne doivent pas être très content de toi, je présume?
- De quoi tu parle? Je ne vois absolument pas ce que tu veux dire Sirius... marmonna Pettigrow le visage luisant de sueur.
- Sache que ce n'est pas de moi que tu t'es caché pendant douze ans, Peter, dit Sirius. Tu t'es caché des anciens partisans de Voldemort. J'ai entendu dès tas de choses à Azkaban, figure toi qu'il pense tous que tu es mort, sinon ils te demanderai des comptes... Ils y en avait beaucoup qui crié dans leur sommeil, si ont devait les croire, le traître donc toi en l'occurrence les aurais trahi. Voldemort à réussi à retrouver les Potter grâce à t'es renseignement... Mais le pouvoir de Voldemort à était réduit à néant ce jour là. Certains de ses partisans n'ont pas tous finis à Azkaban. Ils y en a encore beaucoup qui attendent leur heure de gloire tout en faisant semblant de regretter leurs prétendu erreurs passées. En tout cas si il devait apprendre que tu es encore vivant Peter, j'aimerais pas être à ta place.
- Je ne comprends pas de quoi tu parles, répéta Peter d'une voix plus aiguë que jamais.
- Tu veux nous faire croire que ce que Black à dit était un pur mensonge? Car étrangement je crois ce qu'il dit. Ajouta Rogue.
Pettigrow s'essuya le visage d'un revers de manche et se tourna vers Lupin.
- Rassure moi Remus, tu ne crois pas à toutes cette folie? Demanda Pettigrow.
- Pour être honnête avec toi Peter, j'ai vraiment du mal à comprendre pourquoi un innocent passerai volontairement douze ans dans la peau d'un rat, dit Lupin d'un ton égal.
- Innocent mais surtout terrifié ! Couina Pettigrow. Si comme il dit les partisans de Voldemort était à ma recherche, c'est parce que j'ai fais envoyer leur meilleur ami à Azkaban, l'espion Sirius Black.
CRACK.
Pettigrow se retrouva par terre avec le nez en sang.
- COMMENT OSE TU? Lança Sirius dans un grognements similaire à celui du grand chien noir dont il avait pris la forme tout à l'heure. Moi, un espion de Voldemort? Entend bien mes mots Peter je me suis jamais incliné devant quelqu'un de plus puissant que moi pour me protéger. Mais toi espèce de salaud, je n'es jamais compris pourquoi je ne me suis jamais rendu compte que c'était toi l'espion. Tu as toujours adoré avoir dès gens puissant que toi pour te protéger n'est ce pas ? A un moment c'était nous trois... Remus, moi et James. Et je peux même en rajouter deux autres Lily et Maria.
Pettigrow s'essuya le visage qui était encore en sang. Il avait du mal à respirer.
- Moi, un espion... Tu es cinglé où quoi? Jamais... Je me demande comment tu peux dire une chose pareille. Haleta Pettigrow.
- Lily et James ont fait de toi leur gardien du secret parce que je leur avais conseillé, siffla Sirius avec tant de hargne que Pettigrow recula d'un pas. Même Maria était la en tant que témoin. Je me suis dit que c'était un meilleur plan, tu sais un grand coup de bluff. Car j'étais sûr que Voldemort croirait que c'était moi. Il n'aurait jamais deviné qu'ils puissent confier leurs secrets à un être faible et sans talent comme toi... Pour toi, sa à du être le plus beau jour de ta vie n'est-ce ce pas? De pouvoir dire à Voldemort où se trouvait les Potter?
Pettigrow marmonnait machinalement dès parole incompréhensible, Harry pu saisir quelques mots telles que exagéré et démence, mais ce qu'il le frappa le plus, c'était le teint grisâtre et la façon dont il jeté dès coup d'œil en direction des fenêtres et de la porte.
- Professeur Lupin, murmura timidement Daphné. Il y a quelques choses qui me turlupine à vrai dire.
- Quoi donc Daphné? Demanda Lupin d'un ton courtois.
- Eh bien cet homme était dans le même château que Harry pendant trois ans, mais pas dans la même maison. S'il est vraiment au service de Voldemort, comment se fait-il qu'il ne s'en soit jamais pris à mon petit ami jusqu'à maintenant?
- Et voilà ! S'exclama Pettigrow en montrant Daphné de sa main mutilée. Merci jeune fille. Tu vois bien Remus. Je n'ai jamais touché à un cheveux d'Harry ! D'ailleurs pourquoi l'aurais-je fais?
- Je vais te répondre à ta question Peter, répliqua Sirius. Parce que tu n'as jamais rien fait pour personne tant que tu n'étais pas sûr que ça te rapporterai grand chose. Voldemort s'est caché pendant douze ans, DOUZE ANS, on dit qu'il est à demi mort. Tu n'allait tout de même pas commettre un meurtre sous le nez d'Albus Dumbledore pour le compte d'un sorcier moribond qui avait perdu tout ses pouvoirs. Avant de te remettre à son service, tu voulais être sûr qu'il soit à nouveau le plus fort. Et c'est pour cette raison que tu t'es fait adopter par une famille de sorcier, comme ça, tu étais tenue au ju, n'est-ce pas Peter ? Au cas où ton ancien maître et protecteur reviendrai au sommet de sa puissance afin que tu le rejoingne.
Pettigrow ouvrit et referma la bouche à plusieurs reprises. Il semblait avoir perdu la faculté de parler.
- Excusez moi Sirius, mais je peux vous poser une question ? Demanda Daphné.
Sirius sursauta en entendant Daphné s'adresser à lui et fixa Daphné d'un air stupéfait, comme si il avait oublié qu'on puisse lui parler poliment. Mais il hocha tout de même la tête.
- Comment êtes vous échapper d'Azkaban exactement? Continua Daphné en finissant sa question.
- Mer..........
Le professeur Rogue le fît taire en lui lançant un silencio.
- Si tu l'ouvre encore une fois, je te retransforme en rat et je te donne à mangé au Kraken c'est clair? Demanda Rogue à un Pettigrow clairement terrifié. Bien, tu peux répondre à la question Black.
- Pour être honnête, j'ignore moi même comment, Dit-il lentement. Je crois que la seule raison pour laquelle je ne suis pas devenu fou, c'est dû au fait que je me savais innocent. Et comme ce n'est pas considéré comme une pensée heureuse, les détraqueurs n'ont pas pu la détruire en moi... Mais c'est grâce à cela que j'ai gardé la raison... Cette pensée m'a permis de conserver tout mes pouvoirs... Et quand les choses devenait insupportable... je me transformé en chien dans ma cellule. Les détraqueur sont aveugles, comprenez-vous? Ils se rendent compte de la présence des gens en percevant leur émotion... Et ils sentaient que mes émotions étaient moins... moins humaine donc moins complexes lorsque j'étais un chien... Alors, ils pensaient que j'étais en train de devenir fou comme les autres et n'avaient donc aucun soupçon. Mais j'étais faible, très faible... et sans baguette magique, je ne pouvais espérer les repousser. Et puis un jour, j'ai vu Peter sûr cette photo... Je me suis alors rendu compte qu'il était à Poudlard avec Harry... Dans une excellente situation pour agir, si jamais il apprenait que le seigneur des ténèbres avait retrouvé sa puissance...
Tout le monde était attentif à l'histoire de Sirius, même Pettigrow qui était plus sous Silencio écouté.
-... prêt à frapper au moment où il se sentirais à nouveau soutenu... prêt à livrer au forces du mal le dernier des Potter. S'il donnait Harry, qui pourrait affirmé qu'il avait trahi Voldemort. Il serait accueilli avec les honneurs... Je me devais donc faire quelque chose, car j'étais le seul à savoir que Peter n'était pas mort. C'était comme si quelqu'un avait allumé un feu en moi, poursuivi Black. Un feu que les détraqueur ne pouvaient pas éteindre... Ce n'était pas un souvenir heureux mais une obsession. Elle me donnait des force, elle rendait mon esprit plus clair. Alors, un soir, au moment où ils ont apporté mon repas, ils ont ouvert là porte de ma cellule, je me suis faufiler dans le couloir sous ma forme de chien... Il est tellement plus difficile pour eux de sentir les émotions d'un animal qu'ils ne se sont rendu compte de rien... J'étais mince, très mince... Suffisamment mince pour me glisser à travers les grilles... Toujours sous mon apparence de chien, j'ai quitté l'île et j'ai nagé jusqu'à la rive opposés... Ensuite je suis remontée vers le nord et je me suis introduit à Poudlard sous ma forme de chien... Depuis, je suis resté caché dans la forêt interdite... Sauf pour assister au match de Quidditch, bien sûr... Tu vole aussi bien que ton père, même si t'es à Serpentard Harry...
Il regarda Harry qui ne détourna pas le regard.
- Crois moi, reprit Black. Crois-moi, je n'ai jamais trahi James et Lily. J'aurais préféré mourir plutôt que de les trahir.
Finalement Harry décida de le croire. Là gorge trop serrée pour parler, il hocha la tête en signe d'approbation.
- Non!
Pettigrow était tombé à genoux, comme si le signe de tête d'Harry avait signifié sa propre condamnation à mort. Il s'avança en traînant les genoux sur le plancher et se prosterna, les mains jointes devant lui comme si il faisait une prière.
- Sirius... C'est moi... C'est ton ami Peter... Tu ne va tout de même pas...
Sirius fît semblant de lui donner un coup de pied et Peter se recroquevilla.
- Ma robe est suffisamment crade, ne la touche pas en plus.
- Remus ! Couina Pettigrow en se tournant vers Lupin. Tu ne va quand même pas le croire? Il te l'aurais dit s'ils avaient changé de Gardien du secret...
- Il ne me l'aurait pas dit s'il avait pensé que l'espion c'était moi, fît remarqué Lupin. C'est bien pour cette raison que tu ne me la pas dit, Sirius? Demanda t'il.
- Tu me pardonne? Demanda Sirius.
- Bien sûr Patmol, mon vieil ami, dit Lupin qui était en train de relever ses manches. Tu me pardonne également d'avoir cru que c'était toi l'espion?
- Évidemment, répondit Sirius.
- Bien que votre histoire de couple soit touchante, ont devrait peut-être s'en occuper. Dit Rogue avec lassitude.
- Non... Vous n'allait tout de même pas me tuer? Demanda Pettigrow en reculant légèrement.
Il se traîna vers Weasley.
- Ron, n'ai je pas était fidèle envers toi? N'ai je pas été un bon compagnon? Tu compte pas les laisser me tuer, Ron... Tu es de mon côté, n'est-ce pas? Demanda Pettigrow.
Mais Weasley contemplait Pettigrow avec répulsion.
- Et dire que je t'es fait dormir dans mon lit, j'en suis dégoûté. Cracha Weasley avec dégoût.
- Gentil garçon... Gentil maître... gémit Pettigrow en rampant vers Weasley. Tu ne va pas les laisser faire... J'étais tout de même ton rat... Un animal fidèle...
- Si tu prétend être meilleur sous la forme d'un rat que celui d'un homme, il y a franchement pas de quoi être fier Peter. Dit Sirius d'une voix dure.
Weasley dont la douleur à sa jambe le rendait encore plus pâle, ramena sa jambe cassé contre lui pour la tenir hors d'atteinte de Pettigrow. Ce dernier s'avança vers Daphné, dont cette dernière leva sa baguette et la pointa vers Pettigrow.
- Ne t'approche pas de moi espèce de meurtrier. Lança Daphné avant qu'il puisse dire quelque chose.
Alors Pettigrow se tourna vers Harry.
- Tu es le portrait de ton père Harry...
- COMMENT OSE-TU T'ADRESSER À HARRY! Rugit Sirius. COMMENT OSE-TU MÊME LE REGARDÉ EN FACE? COMMENT OSE-TU PARLER DE JAMES DEVANT LUI?
- Harry, murmura Pettigrow en se traînant devant lui les mains tendu. Harry, ton père n'aurait pas voulu qu'on me tue, il aurait compris, il aurait eu pitié de moi.
Rogue saisie Pettigrow par le col et le laissa tombé par terre. Sa baguette pointé sûr Pettigrow.
- Ne t'approches pas de mon élève Pettigrow. Lança Rogue avec colère.
Sirius et Lupin rejoignirent Rogue et regardèrent Pettigrow avec une rage non dissimuler.
- Tu as livré Lily et James à Voldemort, dit Sirius qui trembler du colère froide. Tu oserait le nier?
Pettigrow fondit en larmes. C'était un spectacle horrible : on croirait voir un gros bébé chauve en train de pleurer et de se tortiller par terre.
- Sirius, Sirius, pleurnicha t'il, que pouvais-je faire? Le seigneur des ténèbres... Tu ne rends vraiment pas compte... Il possède des armes dont tu n'as pas idée... J'avais peur Sirius, je n'ai jamais était courageux comme toi, comme Remus, comme James et même comme Maria. Je ne voulais pas ça... Le seigneur des ténèbres ma forcé à...
- NOS PAS PRONONCER LE PRÉNOM DE MARIA ET NE ME MENT SURTOUT PAS! Hurla Sirius. TU À RENSEIGNÉ VOLDEMORT TOUTE UNE ANNÉE AVANT QUE JAMES ET LILY NE MEURENT! TU ÉTAIT SONT ESPION!
- Il... il ralliait tout le monde! bredouilla Pettigrow. Franchement qu'avait-on à gagner en s'opposant à lui?
- Qu'avait-on à gagner en luttant contre le terrible mage noir de tout les temps ? Dit Sirius animé d'une terrible fureur. On avait à gagner des vies innocente Peter !
- Mais tu ne comprends pas ! Gémit Pettigrow. Il m'aurait tué !
- ALORS, TU AURAIS DU MOURIR PLUTÔT QUE DE TRAHIR TES AMIS, MOURIR COMME NOUS SERIONS MORT POUR TOI S'IL L'AVAIT FALLU ! Cria Sirius.
Sirius, Rogue et Lupin dont les deux derniers avaient sorti leur baguette se tenait côte à côte.
- Tu aurais du comprendre, dit Lupin d'une voix paisible, que si Voldemort ne te tuait pas, c'est nous qui le ferions. Adieu, Peter.
Voyant que Rogue et Lupin levé leur baguette, Harry se précipita et se mit entre eux et Pettigrow.
- NON! Cria Harry.
- Écarté vous Potter. Ordonna Rogue.
- Vous ne pouvez pas le tuer, dit Harry, la respiration précipité. Vous ne pouvez pas.
- Harry, c'est à cause de cette vermine que tu n'a plus de parents, gronda Sirius. Ce lamentable petit détritus t'aurais même tué sans le moindre remords. Tu l'as bien entendu toi aussi? À ses yeux ta famille n'était que dès fourmis.
- Monsieur Black, Harry à raison. On devrait l'emmener au château, pour ensuite le livrer au détraqueurs. Réfléchissez bien, si vous le livrer au détraqueurs vous pourrez prouvé votre innocence. Dit Daphné en se plaçant à côté d'Harry.
- Merci à vous deux! Balbutia Pettigrow en se mettant en face de Harry et Daphné. C'est plus que je ne mérite. Merci...
- On le fait pas pour vous, lança Harry avec colère. On le fait parce que mon père, ma mère et la mère de Daphné, n'aurait pas voulu que leur amis se transforme en meurtrier à cause de vous.
Tout le monde dans la salle resta immobile et silencieux, sauf Pettigrow dont on entendait la respiration sifflante. Sirius, Lupin et le professeur Rogue échangèrent un regard et les deux derniers d'un même mouvement abaissèrent leurs baguette.
- Harry, toi seul à le droit de décider quoi faire, dit Sirius. Mais pense... Pense à ce qu'il à fait...
- Il ira à Azkaban, répéta Harry. Si quelqu'un mérite d'être enfermés la bas, c'est bien lui.
- Très bien, dit Rogue. Potter, miss Greengrass écartez-vous.
Harry et Daphné hésitèrent.
- N'ayez crainte vous deux, je vais juste le ligoté, rien d'autre. Dit Rogue.
Tandis que Harry et Daphné commencé à s'éloigner, le professeur Rogue appella se dernier.
- Potter.
- Oui professeur? Demanda Harry.
- Votre mère aurait était fière de vous. Répondit Rogue en le regardant avec un regard dont on voyait de la reconnaissance avant de reprendre sa tâche qui était de ligoté Pettigrow.
Une fois se dernier ligoté, Sirius s'approcha de lui.
- Mais si jamais tu te transforme en rat, on te tue. Tu es d'accord Harry? Demanda Sirius.
Harry regarda la pitoyable silhouette qui gigoter par terre et approuva d'un signe de tête tout en s'assurant que Pettigrow le vois.
- Je crains Ron, de pas pouvoir vous soigner aussi bien que madame Pomfresh. Le mieux que je puisse faire, c'est de vous mettre une attelle en attendant de vous emmener à l'infirmerie. Dit Lupin.
Il se pencha sur Weasley, tapota sa jambe d'un coup de baguette magique et murmura ( Ferula ). Aussitôt, dès bandage s'enroulèrent autour de la jambe de Weasley en la fixant étroitement à une attelle. Ce dernier posa prudemment sa jambe par terre et ne sembla ressentir aucune douleur.
- C'est beaucoup mieux, merci. Dit-il.
Harry se mit du côté de la porte à attendre les autres. Daphné le rejoignit.
- Je pense que je te dois un autre pique nique romantique. Dit Daphné.
- En espérant que celui-ci ce passera bien. Répondit Harry.
- Je te le promet amour. Répondit Daphné.
Tout le monde ayant fini leur tâche, Sirius se mit à parler.
- Faut qu'on es deux d'entre nous pour s'enchaîner à cette chose. Dit Sirius en touchant Pettigrow du bout du pied. Simple précaution.
- Moi, dit Lupin.
- Moi aussi, annonça Rogue.
D'un coup de baguette magique que Lupin lui avait prêté pour le court trajet. Sirius fît apparaître deux grosses paires de menottes. Bientôt Pettigrow fut à nouveau debout, enchaîner d'un côté à Lupin et de l'autre à Rogue qui cacher ses émotions. On ne pouvait que deviné qu'il était content d'avoir retrouvé le traître qui avait fait tué sa douce Lily. D'un bon léger, Séléna sauta du lit et sorti le premier de la pièce, ouvrant la voie aux autres, sa queue fièrement dresser, comme un signe de ralliement.
Jamais Harry et Daphné ne s'était trouvé au sein d'un groupe qui était étrangement composé. Séléna et Weasley descendait l'escalier en premier. Lupin, Pettigrow et Rogue les suivais. Sa donné l'impression que c'était dès participants à une course où les concurrents étaient attaché trois par trois. Tandis que Sirius, Harry et Daphné fermé la marche. S'engager dans le tunnel était vraiment pas simple, Lupin, Pettigrow et Rogue durent s'y glisser de côté. Rogue continuer de pointer sa baguette sûr Pettigrow et Harry les voyait progresser en crabe avec difficulté. Séléna ouvrait toujours la voie avec Weasley derrière elle.
- Tu sais ce que sa signifie, de livrer Pettigrow? Dit soudain Sirius à Harry.
- Vous êtes libre, répondit Harry.
- Oui... mais je suis aussi... fin je sais pas si quelqu'un te l'a dit mais je suis ton parrain.
- Je le savais, dit Harry.
- T'es parents m'ont désigné pour m'occuper de toi si jamais il leur arrivé quelque chose... déclara Sirius d'un ton un peu raide.
Harry attendit. Sirius pensait-il la même chose que lui.
- Après, je comprendrais très bien que tu préfères rester avec ton oncle et ta tante, poursuivi Sirius. Mais pense-y... lorsque j'aurais était réhabiliter... si jamais... tu veux changer de maison...
Harry eut l'impression qu'un feux d'artifice venait d'éclater en lui.
- Vous voulez dire... Habitez chez vous et quitter pour de bon les Dursley ? Demanda Harry.
Sous le coup de l'émotion, il se cogna la tête contre un morceau de roc qui dépassait du plafond.
- Je savais que tu n'accepterais pas, dit précipitamment Sirius. Je comprends très bien. Je voulais juste que...
- Vous plaisanté? Coupa Harry, la voix soudain aussi rauque que celle de Sirius. J'ai vraiment envie de quitter les Dursley. Vous avez une maison? Quand est-ce que je peux m'y installer?
Sirius se retourna et le regarda droit dans les yeux.
- Tu veux vraiment? Dit-il?
- Absolument. Assura Harry.
Sur le visage émacié de Sirius Black se dessina alors le premier vrai sourire.
- Alors à partir de maintenant tu me vouvoie plus, tu me tutoie. Dit-il.
Harry hocha la tête.
- Monsieur Black, je peux vous poser une question? Demanda Daphné.
- Pas de monsieur Black pour moi Daphné. Appelle moi Sirius, vue que d'après ce que j'ai compris tu es la petite amie de mon filleul. C'est quoi ta question? Demanda Sirius.
- D'accord Sirius. Comment connais tu ma mère et pourquoi ne l'avoir jamais retrouvé ? Demanda Daphné.
- J'ai connu ta mère à Poudlard, à l'époque ma famille n'était pas vraiment aimante et avait un très grand penchants pour la magie noir. En arrivant à Poudlard pour ma première année, j'avais rencontré le père de Harry, Remus et malheureusement Peter. Et j'ai également rencontré Lily à cette période. Ta mère je les rencontré à la cérémonie de la répartition, avant que sa soit sont tour d'être réparties, elle a vu mon état de stress, elle m'a rassuré. À partir de se jour ta mère est une personne que j'ai toujours admiré et encore aujourd'hui. Mais je la considéré plus qu'une amie, pour tout dire j'étais amoureux d'elle. Quand j'ai appris qu'elle s'était mariée avec Léonard, j'ai vraiment pas essayé de la retrouver. Faut savoir que ton père était vraiment pas fan de James et moi surtout après la farce qu'on lui à faite.
- C'est quoi comme blague que mon père et toi avez fait? Demanda Harry avec curiosité.
- On avait mis quelques choses dans sa boisson qui lui avait rendu ses cheveux orange. Avoua Sirius.
- Mais ma mère était dans quelle maison exactement? Demanda Daphné.
- Elle était à Poufsouffle. Répondit Sirius.
Ils sortirent tous du saule cogneur au moments où leurs discussions pris fin. Le parc était plongée dans l'obscurité, ils avancèrent en silence en direction du château dont on voyait les lumières au loin. À certains moments Pettigrow laissait échapper un gémissement. Les pensées dans la tête de Harry se bousculer. Il allait quitter les Dursley pour vivre avec le meilleur ami de ses parents... Qu'arriverai-t-il quand il annoncerait aux Dursley qu'il allait vivre avec le prisonnier évadé qui était passé au informations en début d'année? À son avis les trois Dursley sauterais de joie tout en sachant qu'il ne le verrais plus.
- Un geste suspect, Pettigrow et... menaça Rogue, sa baguette pointé sûr là poitrine de se dernier.
Ils traversèrent le parc silencieusement. Les lumières du château se rapprochaient.
Soudain, il eut une éclaircie dans le ciel, de faible ombres se dessinèrent. À présent, la lueur du clair de lune baignait les alentours. Rogue heurta Pettigrow et Lupin qui s'était immobilisé. Sirius se figea, un bras tendu derrière lui pour faire signe à Harry, Weasley et Daphné de s'arrêter également.
Harry et Daphné virent la silhouette de Lupin qui semblait pétrifié et remarqua que c'est jambes se mettaient à trembler.
- On à un gros problème... remarqua Daphné. Il n'a pas pris sa potion ce soir, il va devenir dangereux.
- Fuyez ! Murmura Sirius. Fuyez ! Maintenant.
Mais Harry ne pouvait s'y résoudre, car le professeur Rogue était enchaîner à Lupin et Pettigrow. Il se précipita vers eux mais Sirius le saisi par les épaules et le rejeta en arrière.
- Laisse moi faire... Toi, Ron et Daphné fuyez. Ordonna Sirius.
Un terrible grognements retentit. Là tête de Lupin s'allongeait. Son corps également. Ses épaules se voutaient. Dès poils apparaissait sûr son visage et ses mains qui se recourbaient pour former des pattes dotées de griffes. Séléna recula, sa fourrure dresser sûr son échine.
Le loup garou se cabra en faisant claqué ses longues mâchoires. Sirius avait disparu. Il s'était métamorphosé. L'énorme chien se précipita d'un bon. Lorsque le loup garou se libéra de la menotte qui l'attachait, le chien l'attrapa par le cou et le tira en arrière, loin de Rogue et de Pettigrow. Le chien et le loup garou étaient à présent accroché l'un à l'autre, mâchoire contre mâchoire, leurs se déchirant férocement...
Harry, et Weasley était immobile et fasciné par l'étrange spectacle. Le cri de Daphné les alerta.
Profitant du combat en cours, Pettigrow avait plongée sa main sur la baguette magique de Lupin que Sirius avait laissé tomber. Rogue qui était encore malheureusement encore attaché, fût éjecté sur le sol par une détonation et un sort fût lancé sur Rogue qui resta immobile. Une autre détonation : Séléna fut projeté en l'air et retomba en un tas informe sur le sol.
- Expelliarmus! Lança Harry, sa baguette magique pointé sûr Pettigrow.
Là baguette de Lupin lui sauta dès mains et s'envola en disparaissant dans l'obscurité.
- Plus un geste. Cria Harry.
Malgré que Daphné et Weasley avait levé leur baguette pour empêcher Pettigrow de s'enfuir, c'était trop tard. Pettigrow s'était transformé, sa queue glissa de la menottes attaché au poignet de Rogue. Les trois jeunes sorciers l'entendirent galopé dans l'herbe.
Il y eut un hurlements mêlé à un grognements. Le loup garou s'enfuyait en direction de la forêt.
- Sirius, il s'est enfui ! Pettigrow s'est transformé! Cria Harry.
Sirius était complètement blessé, on voyait dès plaies sûr son dos et son museau, mais il se releva et s'élanca. Le bruit de ses pattes qui martelé le sol s'évanouit au loin.
Harry, Daphné et Weasley se dirigèrent vers le professeur Rogue.
- Qu'est qui lui a fait ? Demanda Weasley.
Rogue avait les yeux mi clos, la bouche ouverte. Il était vivant, sans aucun doute. Il respirer encore mais il ne semblait pas les reconnaître.
- Aucune idée. Répondit Daphné.
Harry regarda désespérément autour de lui. Sirius et Lupin partis, ils resté plus que eux trois et un professeur Rogue inconscients.
- Ont devrait l'emmener au château. Faut prévenir quelqu'un. Dit Harry. Venez.
Ils entendirent alors un aboiements, puis le gémissement d'un chien qui souffre.
- Sirius, murmura Harry. Daphné va avec Weasley. Amené Rogue à l'infirmerie, prévenez quelqu'un. Je vais aidé Sirius.
- D'accord mais ne joue pas au héro. Dit Daphné après l'avoir embrasser. Et soit prudent.
Tandis Daphné et Ron Weasley prenez la direction du château avec le professeur Rogue en remorque. Harry pris la direction du lac puisque que c'était de la que provenait les aboiements. Il courut à toute jambes, il éprouva alors une sensation de froid sans comprendre tout de suite ce que cela signifiait.
L'aboiement s'interrompit brusquement comme si quelqu'un avait mis le volume en off. Lorsqu'il arriva à la rive du lac, Harry compris pourquoi : Sirius avait repris sa forme humaine. Il était prostré par terre et se protégeait la tête de ses mains.
- Non, gemissait-il. Noooon... je vous en supplie...
Alors, Harry les vit. Les détraqueurs, au nombre d'une centaine, se déployaient en une masse noire autour du lac en s'approchant d'eux. Il fit aussitôt volte-face. Le froid glacial pénétrait ses entrailles, un brouillard commençait à lui obscurcir la vue. De tout les côtés, d'autres détraqueurs surgissaient de l'obscurité et les encerclé lui et Sirius.
- Je vais aller habiter chez mon parrain. Je quitte les Dursley à tout jamais. Pensa Harry.
Il se força à penser à Sirius, uniquement à Sirius et à scander.
- EXPECTO PATRONUM, EXPECTO PATRONUM.
Sirius fut secoué d'un frissons. Il roula sûr lui-même et resta étendu sûr le sol, pâle comme la mort.
- Tout va s'arranger. Je vais aller vivre chez lui. Pensa très fort Harry.
- EXPECTO PATRONUM, EXPECTO PATRONUM. Scanda Harry.
Un mince filet d'argent jaillit de sa baguette magique et flotta comme une brume devant ses yeux.
- EXPECT... EXPECTO PATRONUM.
Harry senti ses genoux heurter l'herbe froide. Un brouillard s'épaississait devant ses yeux. Dans un effort surhumain, il se concentra sûr cette unique pensée : Sirius est innocent... innocent... tout ira bien... je vais aller habiter chez lui.
- Expecto patronum. Haleta-t'il.
À la faible lueur de son patronus informe, il vit un détraqueur s'arrêter tout près de lui. Il n'arrivait pas à traverser le nuage d'argent que Harry avait fait surgir de sa baguette magique. Une main morte, putréfié, sortit de la cape noire et fit un geste comme pour écarter le patronus.
- Non... Non... balbutia Harry. Il est innocent. Expect, Expecto patronum.
Il entendait leur souffle rauque qui l'enveloppait comme un esprit maléfique. Le détraqueur qui se trouvait devant lui leva alors ses mains a la chair décomposées et souleva sa cagoule.
La où auraient du se trouver ses yeux, il n'y avait qu'une peau fine et grise, couverte de croûte, tendu sur des orbites vide. En revanche, sa bouche était bien présente... Un trou béant, informe, qui aspirait l'air dans un râle de mort.
Harry se senti paralysé par la terreur. Il était incapable de faire un geste aussi minime soit-il, incapable de prononcer un mot. Son patronus vacilla comme la flamme d'une bougie et disparut.
Un brouillard blanc l'aveuglait. Il devait lutter à tout prix... Expecto patronum... il ne voyait plus rien... Il entendit alors le hurlements familier, encore lointain... Expecto patronum... Il chercha Sirius à tâtons, et trouva son bras... Il ne les laisserai pas le capturer.
Mais deux mains moites entourèrent soudain le cou de Harry et l'obligèrent à relever la tête... Il senti le souffle du détraqueur... Les cris de sa mère résonnaient à ses oreilles... Ce serait le dernier son qu'il entendrait.
Alors, dans le brouillard qui l'engloutissait, il eut l'impression d'apercevoir une lueur argentée qui devenait de plus en plus brillante... et il se senti tomber en avant sur l'herbe... Face contre terre, trop faible pour bouger, malade et tremblant, Harry ouvrit les yeux. Une lumière aveuglante illuminait l'herbe autour de lui... Les cris s'étaient tus, la sensation de froid commencé à disparaître.
Quelque chose repoussait le détraqueur... Quelque chose qui les enveloppait Sirius et lui... Le râle des détraqueurs s'éloignait. Ils s'en allaient... La chaleur était revenue...
Rassemblant toutes les forces qui lui restaient, Harry leva la tête. Dans la lumière argentée, il vit un animal qui s'éloignait en galopant à la surface du lac. La vue brouillée par la sueur qui ruisselait sur son front, Harry essaya de reconnaître l'animal... Il avait le pelage brillant comme celui d'une licorne. S'efforçant de demeurer conscient, Harry le vit s'immobiliser sur la rive opposés. Pendant un instant, il distingua quelqu'un qui levait la main pour le caressé... Quelqu'un qui lui était étrangement familier... mais c'est impossible...
Harry ne comprenait plus rien. D'ailleurs, il n'arrivez plus à réfléchir du tout. Il senti ses dernières forces l'abandonner et sa tête retomba sur le sol. Il s'était évanoui.

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⏰ Letzte Aktualisierung: May 06 ⏰

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