CHAPITRE TRENTE SIXIÈME.

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L'état dans lequel elle se trouve, me lance des alerte. Mon coeur se comprime. Mes yeux s'embuent.

- Kiymetlim. Murmurais-je m'étant précipité auprès d'elle.

Elle n'est pas totalement consciente, elle bafouille.

- Du polonium. Dit elle difficilement.

C'est bien la seule chose qu'elle parvient à me dire avant de tomber réellement dans les vapes.

J'écarte les cheveux de son visage alors qu'elle est aussi tremper que si elle avait prit un bain.

- Non tu ne serais pas dans cette état.

Elle vire au bleu, comme ci elle manquait d'air. Son poul n'est que très peu régulier.

- Herman laisse moi je t'en supplie. Dit elle soudainement réveiller.

Elle tente de me repousser, mais ses mouvements sont lents. Elle a peur.
Mais de quoi ?
De moi ?

Qui est Herman ? J'amène mes mains sur son visage comme pour la tenir éveiller mais elle grimace, tentant une fois de plus de me repousser.

- C'est moi Kiymetlim, c'est Thémis. Dis je à voix basse pensant qu'elle serait rassurer.

Elle me vomit dessus avant de s'éteindre une nouvelle fois.

Avec tout ces symptômes, je pencherais sur du Fentanyl. Et pour être honnête, je préférerais que ça le soit. Ce fils de pute passe son temps à se droguer, ça ne m'étonnerais pas qu'en sortant il en ai une tonne.

Puis où est qu'il aurait pu se procurer du polonium ? Il sort à peine de taule.

- Tic-tac. Tac-tac. Dit l'homme entrant dans la pièce. Le temps coule.

- Du fentanyl. Dis-je

À trop forte dose.

- Tu manque de bol.. Polonium 204. Il rétorque.

La colère me submergeant, je laisse Gemma sur la chaise. Chope l'homme par le col et le plaque contre le mur.

- Adem, ne joue pas. Dis-je entre mes dents tandis que lui, il rit. Sakın. ( n'ose pas.)

- Elle m'en a dit des choses dans son état d'inconscience. Qu'est ce que t'as bien pu lui faire pour qu'elle te déteste autant. Dit-il hilare.

Je lui assène un poings dans le visage, il glisse au sol, je le traîne au sol, l'amène jusqu'à la cuisine.

- Elle sait qui tu es vraiment Abi ? Me demande t'il par provocation.
( Abi = Grand frère)

J'attrape sa tête que je cogne contre le premier mur que j'ai sur mon chemin:

- Ne t'avise plus jamais de m'appeler comme ça.

À l'écoute du bruit que nous faisions, ses sbires rappliquent. Ils s'en ont mit du temps ces trou du cul.

Je me sers de son corps tout frêle et finalement bien trop inutile comme bouclier. Dégainant mon arme, j'abat chacun d'en eux.

J'accède enfin à la cuisine, cogne sa tête contre le plan de travail, étendant sa main, j'attrape un couteau de cuisine.

Pour une maison abandonné elle reste bien équipé.

- Tu ne vas tout de même pas me faire ça ? Dit il difficilement.

- J'vais m'gêné tiens.

Il se torpille dans tout les sens, tente de se défaire de mon emprise. En perte de patience, j'enclenche la glissière de mon arme et lui tire une balle dans les fesses.

In BetweenWhere stories live. Discover now