𝗫𝗩 : 𝗺𝗲́𝗱𝗶𝗰𝗮𝗺𝗲𝗻𝘁𝘀

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𝐂𝐇𝐀𝐏𝐈𝐓𝐑𝐄 𝐐𝐔𝐈𝐍𝐙𝐄.

















































POINT DE VUE : Neyla.


























Italie, Rome, 18h10.

















L'Italie.

C'est un pays à couper le souffle.

Le jet privé vient de se poser à terre depuis 10 minutes, probablement, et je ne peux m'empêcher de fixer le sublime paysage qui s'offre à moi.

Le ciel est d'un bleu clair, aucun nuage à l'horizon.Et je ne parle pas de la chaleur étouffante qui se fait sentir depuis notre arrivée en Italie.

- Tu vas adorer ce pays, crois-moi, affirme Charlotte avec un grand sourire.

Je lâche un petit sourire, faux bien évidemment, mais peu importe.

- Putain, la voiture prend du temps à arriver là! déclare Andréas, faisant semblant de bouder.

Le seul qui n'avait pas parlé de tout le voyage était Livio.

Le sang de son arcade sourcilière avait séché, son visage n'était pas beau à voir, mais il garde ce charme naturel.

Ce putain de charme terrifiant.

- Depuis quand doit-on attendre quand on arrive en Italie?

interroge Andréas, un sourcil froncé.Un soupir s'échappe de la bouche de Livio.

- Ferme ta gueule, Andréas, tu me fais mal au crâne.

Son ton était sec et menaçant, c'est une intonation sévère, des paroles cinglantes.

Le visage de Livio possède une absence d'émotion.

Il crée une atmosphère chargée d'intimidation et de tension, me mettant mal à l'aise.

- C'est toi qui décide, chef! réclame Andréas en mettant la main près du front.

Il se tient comme un véritable militaire.

- T'es vraiment con, crache Livio désespéré.

- Peut-être, mais c'est pour ça que je suis votre préféré!

Livio ne rétorque plus rien, probablement parce qu'il connaît Andréas.

- Putain, enfin!

Une grande limousine apparaît devant nous, tandis que je sens mes yeux s'écarquiller une deuxième fois.

Une putain de limousine, j'en ai le souffle coupé.

C'est le putain de luxe.

Livio est le premier à entrer dans la limousine, je déglutis avant d'y rentrer à mon tour.Je pose mes fesses sur ces sièges en cuir, et j'ai l'impression d'être assise sur un vrai putain de canapé.Le confort total.Il y a des bouteilles fraîches à disposition, des bonbons, des gâteaux, et encore d'autres.Je fixe tout ça, sans un mot.C'est la première fois que j'ai le droit à autant de luxe.Andréas n'a fait que parler tout le long du trajet.

𝗞𝗜𝗡𝗚 𝗢𝗙 𝗛𝗘𝗔𝗥𝗧𝗦Donde viven las historias. Descúbrelo ahora