T.2/Chapitre 21

63 3 0
                                    

Ivyna

Le chaos.

C'est tous ce qui est visible autour de moi.

En une fraction de seconde tous à virer au cauchemar.

Moins d'une seconde c'est le temps qui a fallu pour que tous ce qu'on voulait soit détruit, pour que des vies soient arrachées, pour que du sang soit versé.

La rage fait trembler tous mes membres dès que le premier intrus apparaît, je glisse ma main sous la fente qui découvre ma cuisse droite et en sort deux revolvers qui était coincé dans un holster.

Rapidement je tire mes premières balles qui se logent directement dans la tête de mes cibles.

Je fais un pas pour protéger les autres toujours sous le choc, ils mettent quasiment une minute avant de se rendre compte de ce qui se déroule sous leurs yeux et passer à l'action.

Tous équipés d'armes sous nos costumes nous gagnons du terrain. Nos invités se ruent vers la villa sous les ordres de mon père plus vulnérables que jamais.

L'entièreté des personnes présentes avaient pour ordre de venir sans arme malgré le fait qu'un bon nombre d'entre eux sont des criminels. Ils sont totalement impuissant à ce moment là, ils peuvent faire qu'une chose fuir en espérant survivre.

Je n'ose même pas imaginer à quel point ils se sentent faible et minable, à leur place je ressemblerai à un lion en cage.

Nous avions fait le choix de faire en sorte que le reste de la Bloodline soit totalement impossible à pénètre et extrêmement protégé de l'intérieur.

Le problème est qu'actuellement la casi totalité de nos hommes sont à l'intérieur.

En voyant les gens paniqué, tous mes pensées se tournent vers Lydia vulnérables dans son fauteuil roulant.

J'accrours vers elle tandis que mon père est occupé à gérer la colère des invités.

- Eh Lydia ! Tu vas bien ? Lui demandé je en arrivant à son niveau.

Elle hoche la tête.

- Promets moi seulement une petite chose Ivyna, me demande t elle

Instantanément mes sourcils se froncent.

- Bien sûr dit moi, lui réponds dis je alors que j'aggripe son fauteuil pour la conduire en lieu sûr le plus rapidement possible.

- Quand je serais morte, prend soin d'Ava s'il te plaît ne l'a laissé pas sombrer, me supplie t elle.

Je me stoppe et contourne le fauteuil pour m'agenouiller devant elle.

- Ne soit pas stupide, tu vas vivre encore longtemps auprès de mon père, il vous reste un tas de souvenirs à créer. Tu ne peux pas nous quitter, pas maintenant. Je te l'interdis ! Lui crié je.

Mes yeux se remplissent de larmes, tandis que la main perfuser de Lydia vient se poser sur ma joue.

- Je ne suis pas éternel ma chérie, puis j'ai bien vécu au côté de ton père, de vous. Vous êtes ma véritable famille. Grâce à vous je peux partir en paix en sachant que ma petite fille ne sera pas seule, que j'ai été heureuse et que j'ai eu quatre merveilleux enfants, me dit elle droit dans les yeux.

the bloodline (en réecriture)Where stories live. Discover now