Chapitre 58

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J'avais passé les trois mois suivantes à ses côtés à attendre un signe de sa part mais rien...

Il allait bien, enfin c'est ce que dise les médecins, mais il ne se réveillait pas.

Il était tjrs la devant moi endormi. J'essayais de lui parler pcq il disent qu'il pouvait m'entendre.

Un soir , je décide d'aller me prendre un café mais j'étais tellement fatiguée que je me suis endormie, ma main dans la sienne.

Une pression à la main me réveille, je regarde sa main ses doigts bougeaient je lève la tête pour le regarder et ses yeux se réveillent.

J'appelle directement les infirmières.

Islem: Ali? Ali, tu m'étends? Eh Ali?

Les infirmières arrivent et me demande de sortir. J'étais surprise, joyeuse et j'avais peur.

Je décide d'appeler Jalil.

Jalil: oe ?

Islem: salam.. euh... j'étais avec Ali la et il a bougé sa main l'infirmière est rentré et m'a demandé de sortir

Jalil: il s'est réveillé ?

Islem: jsp j'espère.

Jalil: islem? Te fais pas de faux espoirs ça fait déjà 3 mois

Islem: comment ça ? Ali va se réveiller c'est sur . Hein?

Jalil: juste, te fais pas de films. Insha الله il se réveillera mais d'ici là reprends ta vie.

Islem: je dois raccroche je vais le voir.

Je raccroche, je comprenais pas pq il étais démotivé. Je rentre dans la pièce et je le voie les yeux fermé.

Je rentre dans la pièce , l'infirmière a le sourire au lèvre.

Infirmière: il s'est rendormis mais il se réveillera très bientôt si tout ça passe bien

Islem: inshaallah merci.

Elle sort. Je m'assois à côté de lui, je le regarde son visage étais moins crispé.  J'avais tourné notre histoire dans tous les sens durant ses deux mois d'attentes et je m'étais dmd si ça en valait la peine.

Si cette relation, hors-mariage, en valait la peine. Si j'avais pu être plus heureuse avec un autre...

Mais je me résignais toujours à la même conclusion. Je l'aimais, il m'aimait on s'aimait et rien ni personne ne le changera.

J'avais peur de ce que notre avenir sera. J'avais peur qu'on appelle dans la nuit pour me prévenir de quelque chose de grave, qu'il n'arrête jamais ces histoires.

J'avais simplement peur qu'après tous ces efforts cette histoire se termine dans les larmes et la peine.

A ce moment, j'étais épuisée physiquement et mentalement. J'avais besoin de soutient que ma famille ne me donnait pas forcément.

Je me suis endormie quelques minutes après.

Ali:

Mes yeux s'ouvrent lentement, mes paupières sont lourdes. Je vois flou. Je regarde la pièce et je vois ma tante à ma droite Safiya sur le canapé endormies. Je regarde à gauche et je la voie.

Elle m'a attendue, islem. J'essaie de me relever. Ma tante se réveille. Des qu'elle m'a vu ses yeux se sont remplie de larmes.

Khalti: oufff Ali? Ça va ? Safiya! Islem!

Chronique d'IslemHikayelerin yaşadığı yer. Şimdi keşfedin