moment de répit

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Jequittais ma prison dorée, avec SES vêtements.

Est-ceque j'étais fière ? On peut dire ça, parce qu'à ce moment, jesais que j'allais être craint par tout le monde. Et surtout par LUImon POSSESSEUR, il me fit entrer dans son SUV,

que la partie commence Amor murmure-il à mon oreille.

Le trajet se fit dans le silence, mais je regardais à travers la fenêtre, je ne sais pas quelle heure était-il, ni le jour, ni rien d'autre. Une fois arrivé, sur les lieux, sa villa était si grande, et si belle, un grand jardin, des briques grises et blanches, des remparts. Il me fit entrée, comme si j'étais une femme comme une autre, et je me sentais si bien à cette sensation.

C'est si beau, je lâche avec tant d'émerveillement à l'intérieur,

un grand lustre, un piano, un sol ciré beige, et des murs blancs.

- Considère, ici comme chez toi, à partir de maintenant,

Pourquoi ?

Parce que je ferais tout pour que tu viennes le plus souvent possible ici, en tant que ce que tu veux.

Merci, dis-je,

ne me remercie pas, jamais.

Jehoche la tête, sans dire quoi que ce soit,

tu as ta chambre, et tes vêtements, j'espère qu'ils seront à ta taille, et surtout, qu'ils te plairont.




Depuis quand un chef de gang, est humain ?

Il se mit à rire,

Un chef de gang est toujours humain, sauf quand il s'agit de tuer.

Je me mis à sourire,

alors, dans ce cas, je n'ai pas de soucie à me faire alors.

Non, pas le moins du monde, fit-il en se servant un verre de whisky,

Tu joues, du piano ? Je demande

Oui, et toi ?

Non, mais j'aimerais apprendre.

Il hocha la tête, sans rien dire, et se mit sur la banquette,

tu fais quoi ? Je demande,

je t'apprends, installe-toi a cotée de moi.

monroe (dispo sur amazon)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant