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Quand j'ai entendu la porte du bureau s'ouvrir j'ai vite balancé le dossier dans le tiroir avant de courir me cacher sous le bureau dans le fond de la pièce

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Quand j'ai entendu la porte du bureau s'ouvrir j'ai vite balancé le dossier dans le tiroir avant de courir me cacher sous le bureau dans le fond de la pièce.

Putain.

Le patron est entré, l'air méfiant.

Quand j'ai vu que c'était lui qui venait de rentrer dans le bureau je me suis vite remise à ma place sous le bureau bien caché pour ne pas qu'il me voit.

Je l'ai entendu marcher, puis s'arrêter. Il a du remarquer qu'un des tiroir à était ouvert.

Il a reprit sa marche avant que je ne voient ses pieds juste devant moi. Il était face à son bureau. Et moi j'étais caché en dessous alors il ne me voyait pas.

J'ai coupé ma respiration. J'ai immédiatement sortie de ma poche le petit téléphone que les zouaves m'ont donné avant d'envoyer un message :

Moi aux zouaves :
Urgence bloqué dans le bureau Patron

Qu'es ce que j'ai galeré à leurs envoyer ce message avec ce vieux téléphone tout pourrie.

J'ai vite remis le téléphone dans ma poche, le patron était encore la, debout, devant moi. Puis je l'ai entendu dire :

Patron : Je sens ton odeur de peureuse jusqu'ici.

Merde.

Je suis sortie d'un coup de sous le bureau avant de vite prendre une statue qui était posé sur le bureau du patron.

Nous étions à présent face à face.

Moi : Recule ou je t'assome avec ta propre décoration.

J'ai vu le patron sourire, puis rire. Il ce foutait littéralement de ma gueule.

Patron : Ici, c'est moi le roi petite.

Moi : C'est qui qu'à tué mes parents ?!

Il a rit.

Patron : Qui sont t'es parents petite vermine ?

Moi : Seymin et Neyla.

Son visage c'est décomposé. Il a eu un instant d'hésitation avant de dire :

Patron : Ah. Ta mère c'est donc cette pute de Neyla. Hum, j'aurais du m'en douter t'as le même gros nez qu'elle.

Moi : Eh ! PARLES BIEN D'MA MÈRE SALE CHIEN !

Patron : T'as mère j'la baise même six pieds sous terre.

Je lui est jeté la statue dessus. Il a reculé d'un pas, mais la statue lui a atteri dans la jambe. Il a gémit de douleurs.

J'en est profité pour mettre mes deux mains sur le bureau avant de littéralement lui retourner dessus.

Il a rien vu venir, et je me suis mise à courir pour sortir d'ici parce qu'à tous les coups, ce chien cache une arme dans son costard bleu marine.

《 Aïsha : Crépuscule de mon passé. 》TERMINÉOù les histoires vivent. Découvrez maintenant