<Point de vu d'Adam>
<Je=Adam>
Je suis en cours, quand mon téléphone se met à vibrer, je regarde discrètement le message (lis le message d'adieu d'Allison). Je me mis à pleurer de rage, je balanca toute mes affaires scolaires par terre ainsi que la table. Je partis en courant de la salle en laissant tout en plant. Tout le monde me regardait mais je m'en foutais, je n'avais qu'une seule chose en tête "Allison"... Jusqu'à que Mme Vergnaux m'interpella dans mon élant.
Vergnaux : Adam Fontella !!!
Moi (en lui coupant la parole) : C'est pas le moment la Mme Vergnaux !!!
Je repartis en sprint et j'entendis la voix de Vergnaux derrière-moi qui disais "Collé 4 heures Samedi matin !!!" Je traversé tout Paris, je savais plus ou j'étais... 6 heures après, je me trouva sur un pond au dessus de la Seine et je retrouvais, la devant moi, le sac et le téléphone d'Allison ainsi que des chaussures... Je criai sans cesse son prénom, je pleurer toute les larmes de mon corps, c'etais impossible qu'elle se soit suicidé, qu'elle m'est laissé comme sa... Slim et Ludo m'envoyait des messages incessant mais je m'en fichait... Je resterai la jusqu'à mon dernier souffle. Ma tête étais posé sur les affaires a Allison ou s'y trouvait son doux parfum. J'alluma son téléphone qui étais sur le côté gauche du sac et sur l'écran de déverrouillage il y avait nous deux en photo en train de s'embrasser au pied de la Tour Eiffel, ce fus la chose de trop et je pris sa trousse ou se trouvait dedans, un compas. Je le pris et me l'implatat dans le bras et me faisa saigner à marquant son prénom "Allison". Au bout de quelques instants je m'endormis sur le sac d'Allison puis je fus réveillé en pleine nuit par des sirènes des gyrophares, des policiers, gendarmes, scientifiques et surtout je vis et entendis au loin la mère d'Allison en train de se débattre des bras de 2 grands policiers. Celle ci criait "Lâchez moi !!!! Je veux voir ma fille !!! Ou est elle ?!!! LACHEZ MOI, JE VOUS DIS !!!" Elle pleurait encore et encore, je me leva et alla la voir pour essayer de la consoler même si, moi-même, je n'arrivais pas a m'en remettre...Je courus vers elle et la serra le plus fort possible dans mes bras. 3 quart d'heure après ce moment horrible pour sa mère (Catherine) et moi. Nous vîmes au loin des plongeurs avec un corps dans les bras, le corps d'Allison. Je pris Catherine par la main et nous courons vers Allison. Lorsque je la vis, j'étais émerveillé devant elle sauf qu' je sac au qu'elle ne vivait plus, il ne restait que son corps... son ventre étais encore rond... Le plongeur me l'arracha du bras a moi et a ma mère et je le vis s'éloigner et aller vers une ambulance. Avait elle un espoir de vivre ? Je ne sais pas jusqu'au moment ou j'entendis les mots suivant sortant tout droit de l'ambulance: "Elle est en vie !!!" QUOI ??? J'ai bien entendu ? Elle... Elle... Elle est en vie ??? Mon visage s'éclaircit d'un coup et le visage démolit de sa mère reteouva immédiatement le sourrire. L'ambulancier nous fit un geste pour nous dire de venir la voir. On se précipita vers l'ambulance et le médecin nous dis de monter dans l'ambulance immédiatement, de rester avec elle et que nous irons de suite à l'hôpital. Moi et sa mère montions dans le véhicule, on referma les portes derrière nous... et nous vîmes Allison, qui avait les yeux fermés et le visage sec, elle portait un masque de respiration et avait des poches de sang, tout son corps était égratigné et elle avait des énormes bleu. Sa mère étais collé à elle a lui faire des câlins et moi je les regardé, elles étaient si mignonnes ensemble...
*Éclipse du trajet.
Arrivé à l'hôpital, se fut allé si vite ! Allison était allongée sur un brancard avec les ambulanciers qui l'a portait en courant. D'un côté j'étais heureux de la voir en vie et d'un autre côté j'avais peur... peur de la perdre à jamais. Je la regarder s'éloigner dans les couloirs, une infirmière vena nous dire de s'installer dans la salle d'attente. Elle nous ouvrit la porte, et nous nous installons sur deux chaises et nous patientons tant bien que mal. On attendais des heures et des heures. Tellement il étais tard que la mère d'Allison s'endormit sur mon épaule...
