Sa mère entra la première, et moi en deuxième au bras de ma mère. Allison semblait nous reconnaître, elle nous sourit mais elle painait a parler alors elle nous écrivait sur un bout de papier. Elle écrivit "Bonjour ma petite Maman. Coucou mon amour, tu m'as terriblement manqué. Bonjour Babette." Suite à ces phrases écrites sur le papier, nous lui faisons un gros câlin a trois. Mais une personne vena nous interpeller, et nous dit en nous tendant des dizaines de lettres, de roses, et de cadeaux "C'est pour Allison, de la part du lycée Anne Marie France Joëlle." Je peux tout sa dans mes bras les déposa côté d'Allison. Je remonta son lit pour qu'elle puisse s'assoir et ouvrir les cadeaux et tout le tralala avec moi. Je lui tendus sa première lettre que j'ai pris au hasard. "Lettre de Marie.
Salut Allison. Comment va tu ? C'etais pour sincèrement m'excuser de t'avoir fait tout ce mal. On ne voulait pas te pousser au suicide, on était trop bête pour savoir que ce qu'on ta fait était si dangereux pour toi. Je suis désolée pour ton enfant. Hier, Adam nous a tout dis et à fait un magnifique discours a propos de toi comme quoi il se battrait jusqu'à la mort pour toi !!! Il est super mignon ton Adam. J'en serai presque jalouse (nan, je deconne) j'espère qu'à l'heure ou je t'écris cette lettre, il n'est pas trop tard. Je sais que tu auras des séquelles toute ta vie de cet incident mais je te demande juste le pardon et n'oublie pas qu'a présent on sera tous la pour toi. Je t'aime. De Marie." Et il y eu des dizaines d'autres lettres comme sa. Des cadeaux...il y en avait une multitude exceptionnelle, elle avait même reçu le téléphone IPhone 6S. J'étais très jaloux pour le coup. Enfin bref, on resta des heures avec elle jusqu'au moment de partir. Mais je ne pouvait pas la laisser seule, je demanda à Mam's de m'apporter des affaires pour que je puisse coucher ici avec Allison. Elle accepta volontier. Sa fait du bien de savoir que sa mère comprenne sa.
<Point de vu d'Allison>
<Je=Allison>
Sa me fait énormément de bien de revoir du monde mais surtout ma mère, Adam et sa mère mais il y avait un manque dans tout sa...mon père ! Même si je me suis beaucoup pris la tête avec lui, il me manque énormément et sa me fait du mal de pas le revoir quand je viens d'échapper a la mort. Mais bon, si il a choisis de ne plus jamais revoir sa fille. Tant pis. Maintenant, si j'ai bien compris la chose, Adam va rester avec moi nuit et jour jusqu'à ce que je sorte de l'hôpital ! C'est vraiment un mec exceptionnel !... Après un quart d'heure d'attente, Adam revena avec ses affaires pour dormir, on était enfin seul. Il n'y avait plus personnes. Alors même si j'avais un masque sur la tête et que je ne pouvais pas l'embrasser. Adam ferma la porte à clef et viens sur moi, et il ne faisait que me chuchoter avec ses larmes qui coulaient sur sa joue "J'ai faillie te perdre !" J'essuyais ses larmes avec mon pouce puis quelqu'un tocqua a la porte. Adam alla ouvrir et c'etais le médecin. Il me dit qu'ils allaient me retirer le masque car je n'était plus dans un état grave, maintenant il ne me fallait que du repos... ce qui me rendait heureuse.
*Éclipse du retirage du masque (Je ne pense pas que sa se dit comme sa)
C'est bon je peux enfin ressentir l'air frais sur mon visage et l'air naturel rentrer dans mes poumons...sa fait tellement du bien cette sensation ! Dés qu'on me ramena à la chambre d'hôpital, Adam ferma la porte et m'embrassa une cinquantaine de fois. Il passa une heure à m'embrasser pour me prouver a quel point il a eu peur que je parte. Au bout d'un moment, il se mit torse nu et se mit a califourchon sur moi et il me dit "Je ne t'abbandonnerai jamais mon coeur !" Il s'installa avec moi dans le lit, se mit dans la légère couverture qui nous recouvrez, me pris dans ses bras, me serra le plus fort qu'il pouvait et on s'endormit...Le lendemain matin, on se réveilla sous l'oeil bienveillant de ma mère et de Babette ! Ils étaient, apparemment la, depuis un petit moment !
Maman : Bien dormi les amoureux ?
Moi : Oui... heu sa fait longtemps que vous êtes la ?
Babette : Bah, je dirai combien ? Environ, une petite demi-heure qu'on vous regarde dormir. Vous êtes si mignon.
