« 07. »

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|• J'ai toujours crus en toi, jusqu'au moment ou tu m'as prouvé le contraire. •|

Alors que je m'apprête à tout lui révéler avec anxiété, le téléphone fixe sonne, sauvait par le gong !

Un long moment c'est yeux reste fixé sur moi et mon ventre, puis elle décide de décrocher.

Pour esquiver les questions après l'appel, je décide de descendre me promenais, avec peut-être ce petit espoir de le croiser, alors que je suis loin de sa ville, et de la où tout a commencé..

________

Assise sur ce banc, j'observe les enfants jouer et m'imagine plus tard avec mon fils, j'aime tellement ce bébé, bien qu'il soit conçu hors mariage, c'est un bébé aimé et voulu.

... - « Pourquoi t'es revenue ? »

Ma têtes se tourne vers sa voix, c'est Idriss.

- « J'en avais besoins. »

Idriss - « La vérité Kézia s'il te plaît. »

- « Jure moi de ne rien dire. »

Idriss - « Par dieu je ne dirais rien. »

Alors je prend sa mains et la pose sur mon ventre, au même moment Zoheir bouge et donne un coups.

Idriss - « C'est quoi sa ? »

- « Mon fils. »

Idriss - « Ton.. Ton fils ? »

- « Je suis enceinte de cinq mois. »

Idriss - « D'Imran ? »

- « NON. »

Idriss - « Qui alors ? »

- « Personne ne le connais.. »

Son regard change, il me regarde avec une pointe d'amertume et de dégoût.

Idriss - « Tu es devenue comme ça alors? Une déception amoureuse, et la Kézia toute hnina devient une kehba? Je te penser plus forte que sa. »

- « Tes jugements son faux, et se bébé n'est pas un accident, puis je n'ai pas de compte à te rendre. »

________

Du côté d'Imran.

Elle est revenue, loin devant moi, moi qui penser ne jamais la revoir, la voila assise sur un banc, j'avais pourtant déménager en pensant ne plus la revoir, et mes yeux son rivé vers elle, elle est si belle, elle est toujours la même, sa mains posées sur son ventre, de nombreuse questions fusent dans ma tête, pourquoi a-t'elle ce drôle de comportement ? Et pourquoi sa mains caresse son ventre? Sa douceur me manque, ma poupée me manque, sa douce odeur me manque, ces caresse, ces cheveux, la délicatesse de ma femme me manque, oui elle est ma femme, elle est mienne, j'ai étais le premier à pouvoir la toucher, à pouvoir réellement voir son corps. J'ai étais le premier à lui faire l'amour, à la désirer comme personne ne la jamais désiré. Et j'ai étais le premier à me barrer, à en baiser d'autre, alors que je l'avais elle, et que elle étais mieux que toutes les autres, j'ai merder, comme un con, et je les perdu..

Je prend mon courage à deux mains, et je m'avance vers elle.

Du côté de Kézia.

Une mains se pose sur mon épaule, je me retourne, et nos regards se croisent, je ne sais pas comment réagir, ni quoi faire, j'ai juste le réflexe de refermé mon manteau.

« Nos cœurs amoureux saignes. »Kde žijí příběhy. Začni objevovat