« 32. »

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SEDIM

Vingt-trois heures à l'horloge, je suis toujours au travail, on est sur un lourd projet en ce moment et je m'arrache au boulot pour que sa aille comme prévu. La tête plongée dans toute cette paperasse je ne remarque pas Asnastasia, qui vient d'entrer dans mon bureau.

Anast' - « Tu devrais rentrer dormir. »

- « Pas de sommeil. »

Anast' - « Tu va être claqué demain. »

- « Qu'est ce que sa peux te foutre?! »

Anast' - « Ne te mets pas sur là défensif, je te le dis gentiment. »

- « Casse-toi. »

Au lieux d'écouter mon sage conseil elle s'approche de moi et pose ces fesses sur mon bureau, je la regarde et fronce les sourcils, elle commence sérieusement à me taper sur le système celle-là.

Anast' - « Relax toi tu veut bien.. je vais te décontracter. »

Sans vraiment la comprendre je la regarde, elle pousse ma chaise et pose une main sur mon torse, c'est une blague ou quoi?! Mais à ce moment là je ne sais pas pourquoi je ne dis rien, et la regarde faire. Elle dépose de long bisou dans mon coup ce qui me laisse quelques frissons, elle s'abaisse tout en laissant sa main glisser sur mon torse, puis elle s'arrête à mon pantalon.

Anast' - « Tu va aimer.. »

Sa main se glisse sous mon jean et touche la bosse qui c'était former, merde qu'est ce qui se passe faux que j'arrête tout sa. D'un seul et même geste je la pousse loin de moi et me relève, droit dans les yeux je la regarde dégoûter.

Sedim - « Je suis marié sale pute, t'es virée! »

J'empoigne ma veste et sort du bureau, j'allais faire une putain de connerie la.

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En rentrant à la maison, tout est calme, rien ne m'alarme il est passé minuit, Kézia et les enfants dorment sûrement. Sans faire de brut je retire mes chaussures ainsi que ma veste et pars en direction de la chambre, délicatement j'ouvre la porte, je m'aventure et j'y vois le lit vide.

En me dirigeant dans celles des enfants je remarque qu'il y a la aussi personne, merde qu'est ce qui se passe ? Ou-est-ce qu'ils sont passées ??

/ UN AN ET DEMI PLUS TARD \

Un an tout pile aujourd'hui qu'ils ont disparue, je ne sais pas où ils sont, je ne sais pas s'ils vont bien, s'ils sont encore en vie, ce que je sais c'est qu'ils me manquent, et qu'ici plus personne ne cherche après eux...

KÉZIA

Assise sur le transat je regarde les enfants s'amuser, les jumeaux venaient tout juste de marcher, ils s'amusaient à courir partout après Zoheir, ce qui lui ne lui déplaisait pas.

Zoheir - « Tu viens maman ? On va à la piscine ! »

Il me prend par la main et me tire vers lui, en rigolant je tire mon paréo et mets les jumeaux dans leurs bouées, quand à Zoheir je lui mets ces brassard et le mets dans l'eau.

Zoheir - « On fais une course ? »

Adem / Reyhan - « Fouiiii!!! »

Une course alors s'engage entre nous, je pousse bien-sûr les enfants pour les faire arriver avant moi au bord de piscine.

Zoheir - « J'ai gagné !!!! »

Adem / Reyhan - « Bavo!!!! »

Ils ont vite grandi, et ils lui ressemble de plus en plus.. Sedim.. je me demande bien ce qu'il est devenue.

Zoheir - « On va revoir papa un jour ? »

- « Oui, peut-êt... »

Coupé dans ma phrase je vois Zoheir se faire empoigné le bras par Imran qui le regarde énervé.

Imran - « Qui papa ?!!! Je suis pas ton père moi?!! Tu me vois pas moi ?!! »

Zoheir apeuré ce mets à pleurer alors qu'il le traîne a l'intérieur de la maison, je sort vite les jumeaux de la piscine, les prends dans mes bras et pars en courant après lui.

- « LACHE LE !!! IMRAN !!! LACHE MON FILS !!! »

Imran - « Ferme la !!! Tait toi!! Arrête de crier !! »

Aussitôt à t'il finit sa phrase qu'il enferme Zoheir dans le placard, qui lui hurle à pleine gorge. Je pose les petits au sol et me jette sur lui, je le pousse du placard et attrape Zoheir dans mes bras.

- « Tes vraiment un monstre !!!! Sale connard !! C'est ton fils pourriture !!! »

Dans mes bras je les prends tous et je monte avec eux à l'étage, et je ne manque pas de m'enfermer dans ma chambre, les jumeaux nous regarde sans comprendre pendant que Zoheir lui pleure dans mes bras.

Zoheir - « Je veux rentrer à la maison maman, je veux rentrer voir papa. » Dis-t'il en pleure.

- « On va partir. Je te le promet mon chéri. »

Les yeux tout rouge il finit par s'endormir dans mes bras, je haïs Imran et ces foutu excès de colère.

« Nos cœurs amoureux saignes. »Onde histórias criam vida. Descubra agora