Ton regard dans le mien ( EXO )

Chapitre 12

Ça fait 2 mois que je suis en Corée du Sud. Et là au moment où je vous parle, je suis avec mon frère et mon père. Nous sommes dans un restaurant français.

- j'ai pensé que la cuisine française vous manquait. Dit mon père en buvant sont verre de vin.

- Oui, un peu... C'était bien l'Europe ? Dis-je en reportant mon attention sur Bae.

- Oui, j'ai eu beaucoup de travail ! La mode quoi ! Dit-il en tenant sa tête sur son poing en me regardant. À peine, je suis rentré qu'on m'a proposé de faire la pub d'un parfum. Dit-il en rigolant.

- Et bah ! Je suis contente pour toi. Dis-je en lui souriant.

- Et toi ? Ton livre ? Me demande mon père.

- ... Je l'ai finis.. mais.. Je ne sais pas.. Je n'ai pas encore totalement confiance pour le proposer.. Je pense encore faire des modifications.

- Ah bon ? Pourquoi ? Me demande Bae en levant un sourcil.

- Je ne sais pas.. Je ne le sens pas encore. Dis-je en m'apprêtant a boire mon verre.

- ...Si tu commences a douté, tu n'en finiras pas, tu sais ? Me dit mon père. Il soupire.

- Je sais.. Enfaite ! Bae, tu as été en Italie non ? Tu as été à Rome ? Dis-je en changeant de sujet.

- Oui, pourquoi ?

- Cléa y était aussi. Tu l'as vu par hasard ?

- Hum.. Ah bon ? Non je ne les pas vu ! Dit-il surpris. Elle y était pour ?

- Elle a été choisie comme soliste. Dis-je dans un sourire.

- En parlant de ça, j'ai entendu dire qu'on t'avait contacté pour participer à l'audition d'un orchestre philharmonique a Seoul..

- Comment tu sais ? Dis-je surprise.

- Voyons ! Je suis ton père, je suis influent de plus ! Je suis au courant de tout ! ... Alors tu vas y participer ?

- Je croyais que tu faisais une pause ? Me dit Bae.

- Oui, et c'est ce que j'ai fait, je te rappelle ! Je n'ai rien fait pendant 5 mois en comptant les 3 mois quand j'étais à Paris. Et puis j'ai besoin de faire quelque chose... Et la musique me manque un peu.

- Je savais que tu allais finir par y retourner de toute manière. Tu es bien trop douée pour ne pas exploiter se talent. Me dit mon père en me souriant.

- J'ai hâte de te revoir jouer. Me dit Bae en souriant.

...
On finit de manger, mon père nous quitte peut après. Je me retrouve seul avec Bae. On décide d'aller au café ou travail NaYeung. On n'est pas loin.

- C'est quand l'audition ?

- La semaine prochaine. Cléa devrait arriver après-demain. Dis-je pensif.

- Cléa ? Elle vient te voir ? Me demande-t-il surpris.

- Oui, mais elle vient aussi pour l'audition. En Italie, elle a rencontré celui qui va faire passer l'audition et lui a dit qu'il l'attendait. Tu te rends compte, on a été approché par la même personne dans des pays totalement différents. Dis-je en rigolant.

- Il rigole. En plus, même pas en France ! Mais toi, il t'a vu où ?

- En France ! Quand j'ai joué au palais de Tokyo. Tu te rappelles ? Dis-je en souriant. Il a cherché à me contacter et finalement, il a appris que j'étais en Corée et je te laisse imaginer la suite. J'ai reçu un mail.

On arrive dans le café et NaYeung me fait de grands signes ! Heureuse de me voir. Elle se précipite vers moi.

- Eliah ! Ça fait 2 semaines que je ne t'ai pas vue !!! Ça va ? Me dit-elle en me dirigeant vers une table.

- Oui, ça va et toi ? Tu m'as manqué ! Dis-je en m'asseyant.

- Bonjour. Dit Bae à l'attention de NaYeung.

- .... Euh, Eliah ! Tu... Tu.. as ramené ton frère ? Désolé, je ne vous avais pas vu ! ...Je.. Euh, ..je vous en pris mettez-vous à l'aise... Je vais chercher la carte !

Elle s'enfuit en courant totalement gêné. Je ricane de plus belle. Elle était toute rouge !! On l'as prise par surprise en même temps.

- Je lui ai fait quelque chose ? Me demande-t-il perplexe.

- Hein ? Non ! NaYeung, c'est l'amie que je me suis faite et qui est une GRANDE fan de toi ! Tu ne te rappelles pas ?

- Ah oui ! C'est vrai ! Je vois ! Et bien, elle est... Très belle. Dit-il la regardant de loin dans ses pensées.

- ... Hum.. Oui. Elle est très gentille de surcroît. Dis-je en le regardant du coin de l'œil avec un sourire malicieux.

- Quoi ? Pourquoi tu me regardes comme ça ? Me dit-il en levant un sourcil.
- Pour rien ! Tien la re voilà !