Chapitre 18 : "Tu es réveillé petit ange"

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Je me réveil en sursaut, je toussote et j'essaie de retrouver une respiration normal. Au bouts de longues secondes j'y parvient. Je me laisse tomber contre le sol. Mes yeux explorent la pièce, tout est sombre, seul une lampe d'un couleur rougeâtre illumine la pièce. Puis, un mouvement attire mon attention, mes yeux s'abituent peu à peu à la luminosité et je distingue une silouhette, adossé au mur devant moi. Je frissones de peur.

Tu es réveillé petit ange. Dit l'homme d'une voix rauque.

Celle lui, c'est lui qui m'a torturé, je reconnaîtrais cette voix glacial entre mille. Il s'accroupit devant moi, il approche sa main de mon visage. Je sens mes jambes fleogeolé pourtant, je n'arrive pas à bouger. Je fixe son visage, devenu rouge à cause de la lumière et puis il extise un sourire. Je ferme les yeux quand sa main n'est qu'a quelques millimètres de moi. Finalement, il se contente de repousser une mèche de cheveux derrière mon oreille.

Tu as peur de moi?

Je rouvre les yeux, son visages est à quelques centimetres du mien. Je sens mon corps entier se tendre quand sa main frôle mon ventre puis ma poitrine et ma joue. J'aimerais lui dire de ne pas me toucher, de ne pas m'approcher mais, je n'y arrive pas. Je suis incapable de bouger.

Je ne vais pas te faire mal... il murmure comme si il ne voulait pas qu'on l'entende. Ne bouge surtout pas, si tu bouges, ils vont penser que tu es capable de supporter les électro...

Les électros? Ils veulent me torturé, encore. Je ne fais aucune confiance en ce type mais, de toute façons je suis incapable de bouger.

C'est bien petit ange. Il caresse ma joue. Je vais te faire sortir d'ici... Souffle t-îl avant de se relever subitement. Elle est réveillé! Crie t-il.

Un grincement de porte rettentit et le visage de mon agresseur apparaît devant moi. Il passe un bras sous mes genoux, l'autre dans mon dos et il me soulève. Je sens une fine douleurs me traverser quand je quitte le sol. On sort de la cellule et on arrive dans un couloir blanc, on tourne à droite puis, à gauche et encore une fois à droite et c'est là que le garde devant nous se fait projeter au sol, un grand brun l'assène de cou, je reconnais immédiatement la silouhette de Flinstone. Qu'es ce que Flistone fait ici? Et d'abord oú sommes nous?

Pas d'arme. Dis celui qui me porte.

Puis mes yeux se posent sur Ringer, qui lève les yeux aux ciels.

Elle va bien? Je reconnais la voix de Cassie' mais, je n'arrive pas à la voir.

Ma vue se trouble, je ferme les yeux.

Hey. Mumure une voix rauque.

Hazz'. Prononce une voix.

Je rouvre les yeux. Je reconnais le visage devant moi ; Ben'. Qu'es ce qu'il fait ici? Il était censé être libre, non?

Hazz', amène là dans un des pick-eup le plus proche mettre vous a l'abris, on cou retrouvera. Ordonne Ben' au balafré.

Arrête de m'appeler comme ça. Grogne celui-ci.

Hazz? Qu'elle prénom ridicule et étrange. Celui-ci hoche la tête, je réunis toute mes forces pour attraper les bras de Ben', j'ai besoin
̂de lui.

Je n'en ai pas pour longtemps d'accord. Il pose ses lèvres sur les miennes d'un baisers chaste.

J'ai l'impression de retrouver toutes mes émotions dans cette fraction de secondes, malheureusement, il se détache moi. On arpente les longs couloir de ce bâtiment. Je ne sais pas comment Hazz' fait pour se diriger, tout est similaire. Finalement on arrive devant une grande porte en ferraille. Il la pousse avec son pied et on sors enfin. Le vent froid me fait frissonner. Hazz' me pose sur la banquette arrière d'une voiture avant de monter derrière le volant. Il démarre en a rien de temps.

Putain. Grogne t-il.

Je vois le plafond bouger de plus en plus et je me rends compte que le pick-eup bouge de plus en plus.

Putain de cailloux. Grogne Hazz', une deuxième fois.

Je crois que nous sommes dans la forêt car, des feuilles d'arbres, puis des branches frottent les vitres du quatre-quatre. Je sens des fourmillements, dans mes bras, puis dans mes jambes et je retrouve peu à peu ma force. Hazz' se met à freiner brusquement.

Bon. Il soupire. On a plus qu'à attendre.

Je me redresse doucement. Hazz' se retourne et plonge son regard dans le mien.

Ça va ? Dit-îl d'une voix douce.

Ça va ? Dis-je excédée. Tu te moques de moi. J'essaie de prendre un air sévère mais, ça a l'air de l'amuser.

Je t'aime bien toi. Ricanne t-il.

Il faut qu'on aille les retrouvés. Je m'appretais à sortir quand il attrape mon poignet. Lâche moi.

Tu n'es pas en mesure de marcher. Soupire t-il.

Arrête de faire le gentil avec moi, Hazz'.

Il soupire et il finit par me lâcher.

Je m'appel pas Hazz'... souffle t-il. Je m'appel Harold et ne t'inquiète pas pour ton chérie, il va arriver d'une minute à l'autre. Il fixe la forêt devant lui à travers le pare-brise.

Pourquoi je te ferais confiance Harold?

Parce que je t'ai sauvé la vie. Il me sourit légèrement.

Je soupire. Je me rends compte que je ne suis qu'habillé d'une blouse d'hôpital. Harold semble le remarquer car il me donne sa veste, je l'accepte et je me retourne pour essayer d'apercevoir le bâtiment que nous venons de quitter, à travers la vitre arrière. Au bout de quelques minutes, je vois du mouvement devant le grand bâtiment en béton. Je crois distinguer la chevelure blonde de Cassie', je suis soulagé quand Ben' apparaît derrière eux, idem. Finalement il arrive à la voiture, je me pousse pour les laissers passer et je me jette dans les bras de Ben'.

Tu vas bien? Dit il encore essoufflé.

Je réssere mon étreinte autour de son cou. Mes larmes menacent de coulée.
Je le détache de lui et je pose mon front sur le sien. Il essuie les larmes qui m'ont échappées de ses pouces.

Ben', tu te souviens de moi?

Oui bien sur. Je n'attend pas plus pour poser mes lèvres sur les siennes.

Des papillons volent dans mon ventre alors qu'il carresse ma langue de la sienne. Je passe mes mains dans ses cheveux et je redescend sur sa nuque.

Bon c'est pas tout ça mais, il faut y aller. Grogne Harold.

Je me détache de Ben' qui m'attire sur ses genoux pour laisser de la place à Flinstone et Ringer. J'enfouis la tête dans son cou alors que Harold démare. Et puis, je repense à une chose cruciale que j'avais pratiquement oublier :

Ou est Thomas ?

Ne t'inquiète pas, on la retrouver, il va bien. Je relâche la pression.

Merci. Je souffle.

Il caresse ma jambe nu, me provoquant des frissons immenses. Je dépose un baiser sur sa joue. Je n'en reviens pas de l'avoir retrouver, il est là, devant moi, en cher et en os.

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Salut tout le monde ! Ce chapitre n'est pas très bien réussit, je trouve que j'aurais pu faire mieux...

Oui je sais que Harold ressemble à Harry et même son prénom d'ailleur, c'est parce qu'en ce moment je lis une fiction qui s'appel : miror game. Et qui est géniale du coup, je pensais a ce personnage, je vous invite à allé ela lire par contre, c'est une fiction qui est un petit peux angoissante et qui n'est pas finit.. bref..

Je vous adores❤

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