Chapitre 10

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Si je devais d'écrire mon sentiment à moment précis ou Mr. Styles écrits ma question sur son tableau serait : le dégoût !

Il n'avait pas le droit, pas le droit d'ouvrir mon carnet, c'était trop précieux et en temps que prof de philo, il se devait de savoir qu'un journal ne s'ouvrait pas et que c'est quelque chose de personnel.

Les larmes sont en ce moment même en train de couler et les murmures de la classe me font un mal de chien ! Ce n'était pas dû au hasard.

Mr. Styles me fixe, et il est gênait. Il n'a pas décrochait son regard du mien depuis qu'il s'est retourné après avoir écrit ma question. J'ai l'impression que plus rien existe a par ma souffrance qui me submerge.

Notre échange se fait destructeur, il me détruit, pourquoi me faisait-il ça ?

Je n'arrive plus a respiré et mon corps tremble de sa totalité, j'ai mal bordel. Mon cœur rate beaucoup trop de battement et Mr. Connard ne semble pas bouger.
J'ai l'impression qu'en posant cette question tout le monde peu rentré dans mon monde, c'est insupportable.

Je ne veux pas rester un seconde de plus dans cette classe, avec se connard de prof, je le déteste. Je range vite mes affaires et m'apprête a sortir les larmes coulent.

Je le déteste !

***


Pdv de Harry.


J'avais sûrement fait une connerie, mais je savais ce que je faisais.


Louis Tomlinson et un de mes élèves depuis son arrivé dans l'établissement, et du haut de m'ai 27 ans, je n'avais vu passer des élèves brillent mais un comme Louis, jamais !


Il était remarquable. Sa prose, ses réflexions et ses points de vu étaient incroyablement magnifiques. Mais tous de ce qu'il écrivait étaient noirs, remplis de tristesse et de mal-être.


Il faisait toujours la par des chose dans ses écrits, dans la réflexions il se contentait d'écrire se que je voulais entendre et dans ses point de vue il écrivait se qu'il pensait du sujet et c'était toujours magnifique.


Ce petit être me fasciner tous simplement.


Lorsque je l'avais vu sur ce toit ou j'avais l'habitude d'aller depuis peu, j'étais étonner d'une par parce que je pensais être le seul a avoir trouver cet endroit et l'autre parce qu'il était plus de 4h du matin et qu'il était là, lui !


Je ne crois pas au destin, mais ce gosse m'intrigue un peu trop, et lorsque je l'ai vu repartir j'étais un peu blesser, oui j'aurai préférer qu'il reste.Il avait laissé tomber sont carnet et son livre que je ne l'avais pas lu, non, je ne me serai jamais permis mais seul la première page était ouverte et ma curiosité était la cause du nouveau sujet que j'avais écrit sur le tableau.

C'était sa question et sûrement sa douleur, mais je voulais pénétrer ( pas de pensée perver x) )


Mais après avoir écrit sa question sur mon tableau et en modifiant le programme de Terminal, mon regard avec croisé le sien bleu azure et j'avais su à ce moment précis qu'il me détester, pire encore.


On s'était longuement regardé dans les yeux et je ressentais sa douleur qui me percer et j'avais beaucoup plus de mal à assumer maintenant. Il avait mal et j'avais honte de moi, honte de vouloir rentrer dans son monde, mais je ne regrettais pas, parce que bizarrement, je voulais être là pour lui. Je ne voulais pas le laisser tomber, alors lorsqu'il est sorti de mon cour les larmes au yeux je me suis dépêché de le suivre laissant ma classe en plan.


Je l'ai regardé s'écrouler sur le sol sans rien faire, j'avais mal pour lui et je commencé a regretté amèrement parce que s'il avait mal, c'était sûrement de ma faute.


Ses pleurs étaient suffoqués et je regardais son corps se replier sur lui-même comme pour ce protégé. Chaque souffle de douleur me compresser le cœur un peu plus et je me suis approché lentement vers lui, ne voulant pas l'effrayer.


Son visage était d'une paleure presque mortel et seul ses yeux me fixant avec haine me percuté. Ses yeux sont magnifiques. D'un bleu rempli de tristesse et totalement envoûtant.


Pourquoi personne ne vois toute cette tristesse ?


Il s'était relevé et s'apprêtait a encore à partir. Mais pas cette fois, louis !


Je l'avais rattrapé par le poignet l'arrêtant dans son élan. Il s'est retourné les larmes coulent et m'avait lancé un regard froid et remplis de colère. Il me détester.


Il en avait tous les droits, mais il se devait de savoir qu'au final je voulais juste l'aider, l'aider a allait mieux !


Moi : Louis... Je veux juste t'aider.


Sont regard se durcit et me dit d'un ton suppliant.


Louis : lâchez - moi ...


Je lui fis non de la tête et il dégagea sont poignet de force.


Ses larmes redoublaient et il me donna des coups ridicules me disant que je n'avais aucun droit de toucher sont carnet.


J'essaye tant bien que mal de le calmer.


Moi : Louis, louis ... Attend, je n'ai pas lu ton carnet ! Je te le promets.


Il croisa à nouveau son regard dans le mieux et ses yeux étaient désespéré, il avais mal.


Il m'avait claqué, rien de méchant, juste pour calmer un peu sa colère, mais il m'avait claqué.


Louis : arrêtez de mentir, ses questions sont dans mon carnet, ce n'est pas du hasard ! Il dit le souffle court.


Il se remit à me taper et je l'avais pris dans mes bras pour le calmer.


Il se débattait, mais arrêta très vite et s'accrocha a moi comme si sa vie en dépendait. Ses larmes mouillaient ma chemise, mais je m'en fichais et je resserrais ma prise autour de lui.


Je lui chuchotai doucement après s'être calmé d'aller se reposer chez l'infirmière et que je reviendrai le chercher pour lui parler et lui rendre ses biens.


Je défais mon emprise et scelle nos doigts ensemble, je ne sais pas pourquoi je fais ça, mais je ne voulais pas rompre le contact entre lui et moi de peur qu'il se referme à nouveau sur lui.


On se dirige chez l'infirmière et je le dépose doucement sur le lit, lui promettant de revenir quand j'aurai fini le cours.


***

PDV de Louis


J'étais partie.




***


coucou les pandas alors voilà la suite ^^, commentez et votez. Kiss <3


À TRAVERS LES MOTS  [ L.S ]  /   Mon prof de Philo : Mr. StylesWhere stories live. Discover now