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Non, non, non! Je me mis à gigoter pour l'empêcher à tout prix de rentrer mais bien vite je sentis mes muscles se crisper et quelque chose forcer le passage. En plus, cas aggravant, j'étais à moitié endormie donc mes réflexes sont moins précis que si il avait tenté cela quand j'étais énergique tout à l'heure. Je remuai mes jambes au plus que je pouvais, mais il m'en saisit une pour la lever un peu plus haut que ma hanche et ainsi s'enfoncer profondément en moi, me faisant hurler. Il posa rapidement sa main sur ma bouche, étouffant mes cris et récupérant mes larmes au passage. J'avais affreusement mal. Il ne s'était totalement enfoncé mais le peu qui émergeait encore hors de mon vagin suffisait à me faire pleurer. C'était horrible. Je sais que techniquement, je ne suis plus vierge mais cela ne traduit en rien que je n'aurai plus mal lors de la deuxième fois. Surtout que, même après dires, cela n'a pas vraiment été prouvé. Et de surcroit, il s'est immiscé en moi à sec. Mes parois n'aident pas son sexe à glisser en moi, donc c'est comme si elles étaient une rappe qui épluchait une carotte. Mon ventre se contracta et ma respiration se bloqua. Je la retins volontairement pour mobiliser tous mes muscles inférieurs pour l'expulser hors de moi malgré la douleur. Dieu que j'aurai aimé être une none. Seulement, quand je reprenais ma respiration, il en profitait pour entrer un peu plus et rapidement gagner du terrain. La douleur inférieure et celle de mon ventre combinée rendait ce moment atrocement atroce. Je n'avais même plus les mots pour décrire cet état de mal que je supportais tant bien que mal. Remarquant je luttai de moins en moins à cause de mon affaiblissement, il me pénétra d'un coup, tassant mes pauvres parois. Je criai dans sa main, ce qui lui provoqua des frissons. Aimait-il cela? Si oui, c'est un vrai sadique et psychopathe à la fois. Je pleurai à ne plus pouvoir lorsqu'il plaça mon corps de façon à pouvoir sortir et rentrer tranquillement sans trop de contraintes. Il resta un moment en moi sans bouger, sans rien faire qui pourrait me blesser, mais ce qu'il n'avait pas compris c'est que le mal avait été fait. Il m'avait pris ma "première fois" en me violant. En violant l'intégrité de mon corps, en violant mon conscient, en violant mes parois, en me violant mon âme. Je ne lui pardonnerai jamais. Retenez votre phrase "Ne jamais dire jamais" car le jour où vous vivrez tout ce que je vis, et surtout ce moment-là, je peux vous assurer que cette suite de mots n'aura plus aucun sens pour vous. Je gémissais de douleur quand il se retira doucement pour se renfoncer brutalement. Je criai et pleurai, ne pouvant ressembler plus qu'à une épave vivante. Il vint picorer mon cou, toujours en maintenant ma jambe gauche en suspension, et me fit un suçon. Il grogna quand j'arquai mon dos dans l'unique but de l'éloigner de moi. L'a-t-il pris autrement? Son sexe s'enleva de moi et je sentis ma jambe se reposer sur le textile du couvre-lit. M'a-t-il vraiment fait mal pour seulement quelques minutes qui m'ont parues des heures? Bien que je sois contente que ce soit fini, je suis énormément énervée par son acte. Comment a-t-il osé? Ce n'est qu'un connard imbus de lui-même. Je le déteste au-delà de l'imaginable.
Soudain, au moment où je m'étais perdue dans mes pensées et recroquevillais sur moi-même, il me fit tourner sur le ventre et s'allongea au-dessus de moi. Je mis du temps à comprendre puis lorsque la réflexion vint à moi, j'écarquillai les yeux et pris pour but de sortir de son emprise mais seulement je ne fus pas assez rapide. Le basané s'enfonça brutalement en moi, écartant mes jambes et levant mes hanches pour qu'elles rencontrent les siennes et qu'il puisse prendre appui sur mes fesses, et lâcha un bruit que je ne lui connaissais pas. Quand à moi, rien de nouveau sous le soleil, je criais. Il mima de me relever pour que je prenne appui sur mes avants-bras et posa sa main contre mes lèvres, rentrant à certains moments deux doigts dans ma bouche pour, comme qui dirait, que je m'étouffe avec ma salive et arrête de faire du bruit. Il faisait toujours mouvements avec son bassin lorsqu'il plaça un coussin sous mon ventre, un peu au niveau de mon bas-ventre et enleva sa prise qu'il avait depuis tout à l'heure avec son bras. Il faucha mes avants-bras, me faisant tomber la tête la première dans le coussin, et approcha sa bouche de mon oreille. Mes cheveux étaient en pagaille, me bloquant ma vue totale car ils étaient disposés sur mon dos et mes deux côtés, et mon visage était quasiment enfouis dans l'oreiller. Je le relevai assez pour pouvoir respirer quand il écarta quelques mèches de cheveux qui cachaient mon visage sur le côté droit et il plaça ses baisers humides de l'ossature de ma mâchoire jusqu'à la naissance de ma clavicule - près de l'épaule. Je gémis de douleur quand son rythme accéléra, me faisant seulement espérer que le calvaire allait cesser. Je le sentais à son souffle présent dans mon cou que le plaisir montait en lui et qu'il allait bientôt venir. Je respirai lourdement moi aussi, ayant vraiment marre de devoir supporter cela alors que lui prenait, apparemment, son pied. Il gémit en même temps que moi, sauf que lui ce fut de plaisir et moi de douleur quand il abattit deux derniers coups, faisant régner le bruit de ses testicules contre mes lèvres humides. Malgré que je n'étais nullement excitée, que je ne prenait nullement de plaisir, malgré que je ne ressentais que de la douleur, mon vagin m'avait aidé en produisant un liquide capable d'éradiquer l'effet "rappe à carottes" de début. Cette sensation de ses testicules contre mes lèvres étaient quelque chose d'assez... surprenant. Je veux dire par là que je n'avais jamais - d'aussi loin que je me souvienne - ressenti quelque chose comme cela. J'avais eu comme l'impression qu'elles avaient été là pour appuyer sur mon bouton de nerfs et les réveiller. Sauf qu'ici, puisque mon corps n'avait pris aucunement du plaisir mais plus de la douleur, leur "effet" a été démoli pour faire place à du dégoût. Je le voulais loin de moi. Très loin de moi. Je ne voulais plus qu'il m'approche, qu'il me parle, qu'il me regarde, qu'il... qu'il me viole. Je ne veux plus rien le concernant. Je commençai à taper une crise alors qu'il était toujours en moi, ce qui lui fit donner un autre coup de bassin, montrant que de bouger comme je le faisais l'exciter. J'attendis patiemment qu'il se retire pour lancer ma cheville en arrière et atteindre ses testicules. Il grogna, puis je le sentis se recroqueviller puis m'appeler. Mais je ne l'écoutais pas et courus à la porte pour sortir.
La première à laquelle j'ai pensé était la suivant:

Harry.

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Nous avons atteint dans la nuit les 3K, merci infiniment; vous êtes des amours <3

Nina.

My Dark Body Inside ~ZJMWhere stories live. Discover now