8) À cheval

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J'ai réussi quelque chose d'exceptionnel: mettre en pause un OS. Je pense que le format de Superman ne me convient pas. Je vais sûrement le réécrire.

Examen demain à 8h en littérature étrangère. Je poste ça vite fait. Désolée pour les fautes

Une autre de mes passions, le sexe. Nan je déconne, le cyclisme. Pourquoi pas les deux?!
Ça sonne tellement pervers, bref
⚠️Zizis de sortis ⚠️
Apha/Oméga
Bonne lecture

"Ce n'est pas une bonne idée, définitivement pas une bonne idée. Non mais qu'est-ce que je fous là?!" marmonnait Louis.
Il pédalait depuis quelques temps déjà. Comme tous les samedis de l'année, il s'entraînait sur piste.

 Comme tous les samedis de l'année, il s'entraînait sur piste

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(Ça ressemble à ça, imaginez qu'il est seul)

Le dimanche étant réservé à la course sur route. Avec la chaleur suffoquante qui régnait dehors, il était ravis d'être au frais.

Et, évidemment, ses fucking chaleurs avaient décidées de se pointer à ce moment. (Nda: on dirait il a ses règles)
D'habitude, quand elles étaient là, il s'enfermait dans sa chambre et se soulageait comme il pouvait.

Mais là, il devait vraiment s'entraîner. Il avait le championnat européen dans moins d'une semaine.
Il ne pouvait pas se permettre de rester chez lui. Donc il subissait.

Il était tout seul dans l'arène. Son entraîneur lui ayant communiqué ses instructions au préalable.
Louis avait l'impression d'exploser. Son sexe dur comme la pierre et ses fluides rendant ses fesses luisantes le rendaient terriblement inconfortable. Pour ne rien arranger, ses cuisses le brûlaient, trop sollicitées par ses innombrables tours de piste.
Dans une tentative désespérée, il se frotta contre sa selle. Le résultat fut plus agréable que ce qu'il aurait pu espérer. Il continua.
Il était carrément obscène dans cette position, tentant de se baiser avec sa selle. Il poussa des gémissements plaintifs, ce n'était toujours pas assez. Il avait besoin de plus.
Il fut tenté de s'arrêter pour se soulager avec ses doigts. Mais ses objectifs sportifs l'en dissuadèrent. Il maudit de tout son être sa foutue passion qui passait toujours avant tout.

Sa vitesse s'étant considérablement réduite depuis qu'il se faisait du bien, il se mit en danseuse pour reprendre un rythme correct.

Sa vitesse s'étant considérablement réduite depuis qu'il se faisait du bien, il se mit en danseuse pour reprendre un rythme correct

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(Cyclistes en danseuse. Appréciez la vue. Imaginez Louis à la place et rêvez. Ils ont des espèces de protection sur les fesses, pour pas qu'elles soient irritées vu qu'ils passent plus de 6h sur leurs vélos)

En retombant sur son vélo, il gémit. Son corps fut parcouru de spasmes. La sensation était exquise.
Une voix grave et traînante se fit entendre: "Tu veux pas de l'aide?"
Louis faillit tomber de vélo. Il était persuadé d'être seul.
"Qui est là?"
Sa voix tremblait de honte et d'excitation. Enfin merde, quelqu'un l'avait regardé se faire du bien.
Un immense gars descendit les gradins, les mains dans les poches, totalement impassible au fait qu'il avait vu un oméga tenter se baiser tout seul sur un vélo.
"Je pense que j'ai mieux qu'une selle" Indiqua-t-il d'une voix suave et traînante
"Vraiment?! Tu peux m'aider?" Louis s'en fichait de ressembler à une chienne en chaleur. Il avait besoin de se soulager, peu importe le moyen. Et il ne cracherait pas sur un si beau Alpha.
"Je suis sûr que je vais pouvoir faire quelque chose" Sa voix était si chaude et tentatrice que les poils de Louis s'hérissèrent et que de la chair de poule apparût sur ses bras.
Le cycliste s'arrêta brusquement, posant son vélo sur le côté, oubliant tout à coup l'entraînement. Et s'approcha rapidement du bouclé en parlant avec précipitation: "On peut aller chez moi enfin c'est pas à côté mais sinon je..."
Il fut couper par une paire de lèvres pulpeuses s'écrasant sans douceur sur les siennes.
"Ici" souffla le grand gars.
Louis ne répliqua pas, trop désespéré. Les mains du bouclé couraient partout sur son corps tantôt sur ses hanches tantôt dans ses cheveux. C'étaient exquis, terriblement mieux que son pauvre vélo. Leurs langues dansaient ensemble.
"Ton nom" parvint à articuler Louis entre deux gémissements
"Harry" murmura le mec au corps de Dieu, en vue de ce que Louis avait tâté.
Ses grandes mains s'introduisent sous son t-shirt trempé de sueur, effleurant son ventre. Sa bouche embrassait et mordait à tour de rôle son cou.
Louis grogna, avide de véritables sensations.
"Allez Harry. Me fais pas attendre"
Il l'allongea donc à même le sol et lui retira son haut.
"Mets toi nu pour moi joli oméga"
Louis baissa son short et son boxer sur ses cuisses en un seul mouvement.
"Voilà. Mets ta bite allez"
Harry ricana, amusé par l'audace de ce petit être.
"J'arrive beauté" Il se dévêtit en deux temps trois mouvements.
Il amena deux doigts à l'antre de Louis, parut satisfait de le voir si trempé. Il inséra ses doigts et fit des mouvements de ciseaux pour préparer son amant au mieux. Pour détourner l'esprit de Louis du pincement désagréable, il l'embrassa profondément. Trop stimulé, Louis pleurnicha dramatiquement: "Je vais mourir"
"Ça serait dommage" ironisa Harry en le pénétrant. Louis gémit de soulagement. Une fois que le petit gars se fut habitué, il entama de profonds va et viens.(Nda: ça s'écrit comment?!) Louis gémissait et pleurait à la fois tant la sensation d'être remplis était ce qu'il avait besoin. Trouvant Harry trop lent dans ses coups de butoir, il leva lui-même son bassin pour aller à sa rencontre.
"Je vais jouir" articula péniblement Louis dans l'épaule d'Harry.
"Déjà?" Se moqua le bouclé.
"Fait 1h que je bande" marmonna le mécheux.
Dans un dernier puissant coup de rein en plein dans la prostate du cycliste, un orgasme long et dévastateur les frappa en même temps. Ils peinèrent à reprendre leur souffle. Louis se pelotonna contre la poitrine d'Harry ayant soudainement très envie de dormir.
"Attends Lou on peut pas..."
"Hummm" répliqua Louis, épuisé par tous ses efforts.
Harry se releva maladroitement avec le petit oméga accroché à lui comme un mollusque.
"Ma voiture est dans le parking, on va faire une petite sieste dedans, j'ai des couvertures en pilou pilou, hein?!"
Un ronflement lui répondit

(Pour le plaisir des yeux)

(Pour le plaisir des yeux)

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OS Larry Où les histoires vivent. Découvrez maintenant