La Royauté des Fées

combat Vs Amadum

Je m'envolais mais tout en tirant vite Léna contre moi. Elle comprit vite la situation car  je sentis qu' elle s'envolait également. Je la lachais alors. À cet instant Amadum apparu. Il hurla:

- vous pensez vraiment que j'avais disparu ? Et que j'étais mort bande de petites fées de malheur la couronne des Fées est à moi. Et vous deux je suis tellement heureux que vous soyez dans la même pièce avec ces incapables, ce sera plus facile pour vous tuer.

Je hurlais à mon tour:

- si tu crois vraiment que tu as une chance de me battre.

Je fis apparaître une épée et je fonçais dans sa direction, il me contra.
On se battit tous longtemps, Amadum  était venu avec ses hommes. Des fées corrrompues et chacun se battaient sans lacher. On se battait plus qu'on en était capable. Je ne voyais plus vraiment Léna, j'étais trop occupé à essayer d'arrêter ce monstre. Je voulais le tuer pour sauver mon peuple. Finalement je réussis je ne sais pas par quel miracle à le tuer. Il avait pêché par excès de confiance. Sa tête roula sur le sol. Je fis très attention de lancer directement une flamme sur lui pour que plus jamais, il puisse renaître de ses cendres.

Je cherchais forcément Léna juste après avoir été sur de la mort d'Amadum. Elle était blessée mais entre de bonnes mains heureusement. En effet, une fée infirmière se trouvait  en train de s'en occuper. Je m'approchais d' elle et lui demanda comment elle allait.

Elle me dit:

-ne t'en fais pas c'est juste une égratignure. Merci de nous avoir débarrasser de ce monstre.

Je la serrais contre moi, nous étions enfin de retour et en sécurité.  Du moins c'est ce que je croyais à cet instant.

Deux jours plus tard, il y eu une réunion en conseil pour voir si le peuple accepté de nouveau de nous reconnaître comme roi et reine du royaume des fées. Il y eu une décision suite à  un vote. A mon plus grand désespoir, le vote fut de nous bannir nous qui avons failli à sauver notre peuple. Alors que même avec du retard nous étions venu les sauver. Alors même que la Nature nous avait designer comme Reine et prince du royaume des Fées. Le peuple nous banissait. Nous n'étions plus rien.