Tu m'appartiens [Michael Jackson]

Epilogue

Deux années c'étaient écoulé depuis que Marlène et Michael s'étaient retrouvé, il avaient tous deux prononçait leurs voeux et s'étaient marié et leur amour allait bientôt donner naissance.

Marlène avait de plus en plus de mal à respirer entre les contractions car elles étaient de plus en plus proches. Dégoulinante de larmes et de sueur, hurlant, elle réussit à saisir le téléphone posé sur une petite table près d'elle, elle composa le "15" en tremblant. Epuisée après cet ultime effort, elle s'accroupit par terre. Elle avait comprit que Michael ne reviendrait pas à temps, étant partie chercher Janet à l'aéroport dix minutes au par avent. Seulement le bébé arrivait, et les douleurs commençaient à devenir inssuportable. Marlène était à demi inconsciente lorsque le samu arriva, elle fut transportée à l'hôpital le plus proche. Dans l'ambulance, elle continuait de gémir de douleur, arrivée à l'hôpital, elle suffoquait presque elle ne pouvait pas accouchait sans Michael !

- Ce n'est pas normal. Dit une infirmière qui venait de la prendre en charge à l'entré de la maternité.

- La douleur est trop violente et le bébé arrive deux mois trop tôt ! Reprit une seconde qui lisait un dossier.

- Marlène ?! Entendit-elle criais.

Un médecin arriva en courant vers eux. Plus il approchait plus elle pouvais le reconnaitre et identifié cette personne, c'était Jermaine, le frère de Micheal. Il arriva tout éssoufflait et essaya tant bien que mal de la rassurer.

- Mi .. Micheal .. Souffla t-elle.

- Je l'ai appeler ne t'inquiète pas il est en route, il va surement arriver d'une minute à l'autre !

Elle se sentie un peu mieux et plus rassurer. Mais la douleur était toujours et présente et lui broyait le ventre de l'intérieur. Elle fus emmené en salle d'accouchement en vitesse. Jermaine l'avait confier à des médecins plus compétant.

- Poussez madame ! Commença à encourager une sage-femme.

Marlène poussa mais cela n'eut pour résultat que de l'essouffler encore plus. Elle hurla de douleur, elle n'y arrivait pas ! Elle releva la tête et regarda le médecin.

- On fait une césarienne ? Proposa la sage-femme, inquiète.

- Non. Il faut attendre, il sortira .. peut-être. Répondit le médecin peu sur de lui.

Mais Marlène fut prit d'une nouvelle contraction et hurla de douleur.

- Madame ! Interpella t-il soudain la jeune mère.

- Calmez vous, ne forcez surtout pas, respirez, regardez moi ! reprit-il calmement.

Marlène prit sur elle, arrêta de hurler, fixa le médecin, le blanc des yeux rougi de peur et de douleur. Le médecin lui prit la main.

- Ecoutez-moi, tout ira bien.

Il essayait autant que possible d'être persuasif.

- Faites moi confiance. Vous devez vous agitez aussi peu que possible, Vous devez oublier la douleur, du moins réussir à la supporter. Parlez-moi, qu'est-ce que vous aimez plus que tout au monde ?

Marlène se concentra sur ce que lui disait le médecin, et n'eut pas de mal à trouver la réponse à sa question :

- Michael, mon mari. Dit-elle à bout de souffle.

Se remémorant l'homme qu'elle aimait, un petit sourire apparut sur son visage et son coeur se réchauffa. Au même moment elle entendit des bruits de pas précipité et quelqu'un appelait son nom, cette voix, elle l'aurait reconnu entre mille ! C'est alors que la porte s'ouvrit sur Michael habillé d'une blouse, tout essouffler suivit de jermaine qui referma la porte derrière lui.

Marlène écarquilla les yeux, Michael était là. Avec elle, en ce moment précis. Et tout se passerait bien puisqu'il était avec elle. Lentement, elle reposa se tête, ferma les yeux, et ne pensa qu'à l'amour intense qu'elle éprouvait pour lui. Sans s'en apercevoir, elle entra dans un était second, ou elle ne sentait plus la douleur ; à moitié endormie, à présente, Marlène était sereine. Une main se posa sur ventre tendit qu'une autre enlaçait sa main. Elle entrouvrit légèrement les yeux et pût distinguer le beau et fin visage de son mari.

- Michael .. Sourie t-elle.

- Je suis là mon amour. Murmura t-il en lui caréssant doucement la joue avec son pouce.

C'est alors qu'elle recommença à pousser et elle sentie son bébé se diriger vers la sortie, alors le médecin le saisit par la tête et l'extirpa. C'était enfin fini. Elle vit revenir quelque instant plus tard le médecin avec son enfant en le donnant avec précaution à Michael les larmes aux yeux.

Celui-ci se retourna et se rapprocha tous ému vers sa femme et lui sourit avec tendresse.

- C'est un petit bonhomme. Fit-il la voix toute tremblante.

Le petit rire mélodieux de Michael lui parvint au oreilles.

- Aaron ! Sourit Marlène se redréssant pour pouvoir prendre son fils dans ses bards.

Elle le berça avec douceur et lui embrassa délicatement le front avent de le redonner à la sage-femme. Elle attira contre elle Michael qui se trouvait à son chevet et l'embrassa amoureusement, c'était belle et bien le plus beau jour de leur vies.

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Voilà, un dernier petit chapitre pour clore cette fiction, j'espère que ça vous aura plus et je tenait à vous remerciez pour avoir lut, suivi, commenté et voté, ça me toujours extrêmement plaisir et je suis toujours heureuse de voire qui l'histoire plait autant !

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