Ten Reasons Not To Die (French Version)

jour 9

Ten Reasons Not To Die

Jour 9 - Le futur

      "Je devine qu'il me reste encore un jour, hein?" Chuchota Evan.

      Nous étions dans un champs de maïs qui avait été déserté par des fermiers il y a des années.

      "Je pense que oui." murmurai-je. Je n'avais même pas pensé à notre deal ces derniers jours. Étais-ce vraiment déjà le neuvième jour aujourd'hui? Un frisson me parcouru, en regardant le garçon à mes côtés, qui semblait abattu et déçu, mais encore déterminé.

      Je lechai mes lèvres sèches, me demandant pourquoi je ne l'avais pas encore repoussé. Neufs jours étaient déjà passés, la plupart des personnes qui me connaîtraient se seraient déjà enfuis. Mais pourquoi pas Evan alors?

      "Les jours son passés beaucoup plus vites que ce que je pensais." Evan murmura tellement silencieusement que c'était a peine audible.

      Je laissa un rire grave. "Ça l'était, n'est ce pas?"

      "Je souhaiterai que ça ne le sois pas, pourtant." Evan soupira.

      Je me tournai vers lui, pour que mon corps sois face au sien, haussant un sourcil, je lui demanda, "Qu'est ce que tu veux dire?"

      Evan sembla gêné, comme si il n'avait pas encore très bien compris ce qu'il voulait dire. Il plaça sa main sur sa nuque, en la grattant nerveusement. "Je ne sais pas." Soupira-t-il. "Je veux dire, c'était en fait très amusant ces derniers jours. Je n'ai jamais voulu que ça se finisse. Donc, qu'est ce qui se passera quand tu te décidera à partir? Je vais passer le restant de mes jours en me demandant qu'est ce que j'aurai pu faire de mieux pour te sauver."

      Je sentis mon coeur tomber sur mon estomac, en deglutissant. Je n'avais jamais au grand jamais dans ma vie ressenti autant d'émotion à la fois. Il y avait de la joie, de la tristesse et même de la culpabilité.

      Evan interrompu mes pensée avec un rire amer qui n'atteignent pas ses magnifiques yeux verts. "Je peux dire que tu n'es pas heureuse par ton expression faciale." Il sourit faiblement, plaçant une mèche de mes cheveux derrière mon oreille, quelque chose qu'il fait régulièrement maintenant. "Ne te reproches rien, OK? Je me suis mis dedans, tu te souviens?"

      Mon esprit se souvint de quand j'étais sur le point de tomber de cette falaise, quand Evan arriva et me poussa vers l'arrière.

      "Donne moi dix jours, et je peux te donner dix raisons de ne pas mourir." Evan fit une pause. "Et si je ne peux pas changer ta manière de penser d'ici là, tu pourras sauter de cette falaise."

*

       Plus tard dans la soirée, Evan me conduisait à l'orphelinat. Il était vingt et une heure et demi, et tous les autres enfants étaient sûrement déjà endormis. J'avais manqué le dîner ce soir, et j'étais sure que Mère Grâce allais être énervée contre moi. Mais quand je suis entrée a l'intérieur de l'orphelinat avec Evan, Mère Grâce courru vers moi avec une large enveloppe dans ses mains.

      "Remy, Chérie!" Dit - elle. "Je t'ai attendue toute la soirée! Ou étais-tu? "

      Je fronçai les sourcils, me demandant pourquoi Mère Grâce était si excitée. "J'étais juste dehors avec Evan, c'est tout."

      Evan salua Mère Grâce et elle lui sourit. "Bien! Plus de personne avec qui célèbrer ça!"

      "Quoi?" Je demandai, clairement confuse."Mère Grâce, de quoi es tu en train de parler?"

      Mère Grâce me tendit l'enveloppe, je la pris de ses mains. C'était adressé à moi, de l'université Brown, une des université que j'avais demandé plus tôt.

       Mes yeux s'écarquillerent, fixant l'adresse precautieusment, étant sûre que mes yeux ne me jouaient pas de tours

       "Université Brown?" Dit Egan, un sourire traversant ses lèvres roses. "Ouvre la, Remy! "

      Je mordit ma levre inférieure, déchirant la lettre precautieusement, ne voulant pas détruire ce qu'il y avait à l'intérieur.

       "Peux-tu l'ouvrir plus vite?" Demanda mère Grâce, "Le suspense me tue!"

      Je ris, déchirant l'enveloppe en une fois. Je laissai l'enveloppe vide, m'accrochant au paquet que j'ai reçu fermement.

      "Chère Remy Montgomery," Je surpassais à travers la lettre, passant les informations inutiles, "nous sommes fiers de vous informer que vous avez été accepté au sein de l'université Brown!"

      Mère Grâce lança une exclamation, ne pouvant pas s'arrêter de sourire. Mère Grâce enroula ses bras autour de moi, et je pu ais sentir ses larmes tomber sur mon t-shirt. "Oh, Remy! Je savais que tu pouvais le faire! Je suis si fière de toi!"

      Je me de dégageai de Mère Grâce, essuyant une larme de joie qui remplissait mes yeux. Je lis la lettre, mordant ma lèvre d'excitation. "Oh mon dieu, Mère Grâce." M'exclamais-je, lisant les lignes avec attention. "J'ai une bourse complète!"

      Mère Grâce cria, mettant ses mains sur ses lèvres. "Je dois aller le dire aux autres nonnes!" Dit-elle. "Je reviens!"

       Je la regardai sortir de la pièce, courant dans les escaliers. "Soeur Mary! Soeur Mary, nous avons des nouvelles pour toi!" Appela-t-elle, probablement réveillant des enfants en faisant ça.

       Je ris, en me retournant vers Evan, qui avait été silencieux tout ce temps. Il avait un sourire faible sur ses lèvres, mais il n'avait dit aucun mot depuis que j'ai ouvert la lettre.

      "Evan?" Souris-je. "Peux-tu le croire? L'université Brown me veux, moi!"

      Evan ne disait toujours aucun mot, ce qui fit tomber mon sourire. Je commençai à froncer les sourcils, en le fixant avec attention. "Evan, y'a-t-il quelque chose qui ne v-"

      Avant que je puisse finir ma phrase, Evan avait enroulé ses bras autour de moi, me donnant un câlin à s'en casser les os. Il me teint fermement et protectivement, son menton reposant sur le sommet de ma tête.

       Et même si ne pouvais à peine respirer, tout semblait si bien.

       "Tu as une vie entière devant toi." La souffle d'Evan chatouilla mes oreilles. "Je veux te voir grandir."

××

Hey! désolée, ça fait plus d'un mois que j'ai pas posté!!

Je m'excuse vraiment!

bref, ne vous inquiétez pas vous n'étiez pas les seuls à vouloir qu'Evan embrasse Remy au lieu d'un calin, j'ai littéralement crié en traduisant.

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