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Région parisienne , dans le 91 .
Je t'aime mais je te hais .
Bien décider à tout expliquer à Aymen , j'ai pris le bus direction la maison .
J'arrive à la maison , j'avais les clés donc j'ouvre la porte d'entrée .
Je voulais pas vraiment y croire , j'étais pas vraiment réaliste .
Des vêtements partout , des sous vêtements de femme et puis il y avait aussi l'alcool et les pliffs bordel ça me faisait tournée la tête .
J'étais la devant l'entrée comme une conne lorsque j'entendis des voix venir d'en haut .
Sans prendre garde je monte les escaliers quatre à quatre , j'aurais du pourtant .
Les voix venaient de notre chambre .
Mes larmes me montent , je vous jure qu'on fond je savais ce qu'il se tramait mais je voulais le voir , je voulais en être sur .
Ces voix c'étaient celle d'un homme et d'une femme.
Aymen .
Marisa .
J'ouvre violemment la porte , ils ont sursauté en un bond .
Je trouve Marisa nue , juste recouverte d'un simple drap blanc allongée sur le lit , notre lit .
Aymen quant à lui était debout et il se rhabillait
Lorsqu'ils m'ont vue , j'ai pu voir la joie et le plaisir d'une vengeance accomplie dans le regard de Marisa , cette vieille pute ! Je l'as hais putain de bordel de merde !
Et Aymen lui ,regardait dans le vide , comme si il en avait rien à foutre , enfin , non, il en a rien a foutre y'a pas de comme si .
Humiliation.
Une nouvelle fois , une habitude .
Je voulais juste lui craché dessus .
Mais je ne voulais surtout pas me donner en spectacle devant cette salope .
Même si c'était surement le cas vue l'affût des larmes qui roulaient sur mes joues , je gardais la tête haute .
Marisa: Tu fous quoi ici ?
Moi : C'est ma maison je te rappelle ! Et c'est aussi mon lit espèce de grosse pute !
Marisa : Vasy surveille ton langage , à croire c'est ma faute si plus personne ne veut de toi .
Je ne lui répond pas , je ne la calcule même plus , je l'a hais.
J'ai lancé un dernier regard de haine à Aymen. Celui-ci ne réagissait pas . Fin au début non , mais après son regard de dégoût envers moi est revenu .
