Don't Be So Shy (With your Stockings Up To Your Thighs). - LS - 'VF' - OS

Partie 8

Il se change derrière le bureau parce même si les gens ont commencé à rentrer chez eux et qu'il pourrait facilement aller aux toilettes, c'est une sorte de tradition de se changer sous le bureau. Il porte déjà la culotte et le matériau des bas est familier et agréable sur sa peau.

Quand il se sent prêt, il se lève et toque à la porte avec hésitation, l'excitation déguisée en inquiétude bouillant en lui.

"Entrez," dit Louis, la voix toujours de ce ton bizarrement dur, toujours amer envers Harry. Quand il entre, il voit que la pièce semble plus grande que d'habitude, les fenêtres ouvertes, mais la soirée devenant de plus en plus sombre. Il n'y a pas trop de luminosité et c'est assez tamisé pour que la respiration d'Harry se coupe quand il trouve Louis, assis dans sa chaise, les yeux baissés vers des papiers, ses lunettes posées sur son nez. Il est si beau, aussi robuste que de l'acier, assez doux pour être touché.

Harry se déplace vers le centre de la pièce, mais attend. Il sait- il sait qu'il va recevoir des instructions.

Mais Louis reste silencieux. Il laisse Harry juste rester debout là, ne le regarde même pas et Harry compte les minutes. Il s'arrête après avoir passé dix minutes dans sa tête. "Monsieur Tomlinson?" demande-t-il, la voix rauque et douce.

Louis relève les yeux vers lui, doucement, délibérément, et Harry se sent exposé.

"Viens ici," dit Louis à ce moment, un doigt dirigeant Harry jusqu'à ce qu'il se tienne juste en face de Louis, son dos pressé contre le bureau. Il marche prudemment, mais une fois qu'il est en position, il s'immobilise. Louis lève les yeux, puis le rebaisse le long de son corps. Il est au niveau des hanches d'Harry, ses mains pourrait facilement déchirer la résille recouvrant les douces cuisses d'Harry et il pourrait juste se pencher mordre les jarretières cachées très légèrement par la couture de sa jupe.

Louis lève une main pour tenir fermement les hanches d'Harry, l'autre dépassant les bas d'Harry. Il pense que c'est gentil, pense que c'est un mouvement tendre, jusqu'à ce que soudainement, Louis retire sa main et la claque rapidement, amèrement, contre les motifs de la cuisse gauche d'Harry, frappant à travers la jupe.

Harry glapit, un son choqué se répercutant dans la pièce. Il baisse les yeux pour voir Louis le regarder, cette colère dans ses yeux, son appétit enfermé là aussi.

"Hier, quand tu as jouis," débute Louis, sa voix tellement basse, tellement grave, que ce n'est rien d'autre qu'un grognement. Il agrippe durement la cuisse gauche d'Harry, là où il a frappé juste avant, et le garde stable. "A qui as-tu pensé?" le questionne Louis.

Il y a ce côté d'Harry qu'Harry n'a jamais, ce côté désespéré, en manque d'affection qui juste - qui veut juste écouter Louis. Ecouter chacune de ses commandes, veut les satisfaire, être bon pour lui. Et ce côté... ce côté le fait gémir, un son aigu qui semble étranglé par la prise serrée de Louis. "Dis-moi, Harry, à qui as-tu pensé?"

"Vous," halète Harry, la bouche s'ouvrant alors que le souffle de Louis se fane sur sa peau. "Juste vous."

Louis se lève alors, poussant Harry contre le bureau. "Retourne-toi," dit-il et Harry ne réfléchit pas, il te fait juste. Il bouge instantanément, laisse Louis le pousser vers le bureau. "Je te veux pencher par-dessus le bureau, les fesses en l'air."

La respiration d'Harry s'arrête à ces mots, et tout s'immobilise. Pendant une seconde, Harry ne bouge pas, il reste juste en vie, et puis doucement, prudemment, il pose ses bras à plat sur le bureau et soulève ses fesses, ça semblait presque naturel, et pourtant tellement, tellement hors de son élément. La jupe d'Harry se soulève jusqu'à ne cacher que la peau avant sa culotte, jusqu'à ce qu'elle ne serve plus à rien, et Harry ressent Louis partout. Il sent son regard partout. Il n'y a que du silence au début, la pièce semblant jaune, jusqu'à ce que la voix de Louis ne le rappelle.