El presidente Garcia

extrait-4

- Comme ça, tu es devenue tigresse?
- Ecoutez, je …
- La ferme ! exigea-t-il aussitôt. Remercie-moi parce que nous somme dans la rue et que je ne veux pas qu'on nous surprenne dans un acte de violence. Sinon crois-moi Alexandra se serait occupée de toi.
- Cette chienne ne me fait pas peur, répliqua-t-elle à l’ intention d'Alexandra
- Répète un peu espèce de...
- Alexandra !

La voix de Gonzalo brisa l'atmosphère

- C'est bon patron je me calme. Je me calme. Je laisse passer pour cette fois. Mais retiens bien personne ne me parle de la sorte. Personne
- Ah vraiment ? dit Marco, amusée à son tour par la situation.

C'était bien une première pour Alexandra, pensa-t-il.

- Ne me faites pas chier, perdit patience Alexandra

Mais aussitôt,

- Alexandra, tu ne t'adresseras plus ainsi à mon frère. Compris ? HURLA Gonzalo

Elle sursauta,

- Pardonnez patron, juste il ...
- Je ne veux pas entendre d'excuse. Et excuse-toi auprès de lui...
- Mais. . .
- Obéis, personne ne traite mal un membre de ma famille en ma présence. Tout de suite.
- Calmez-vous patron, c'est compris, je vais le faire.

À contrecœur, elle se tourna vers Marco la mâchoire serrée et…

- Excusez-moi monsieur Marco Garcia de vous avoir traiter de la sorte je...
- Excuse refusé, coupa ce dernier cruel.
- Ca suffit vous deux. On embarque, on dirait des collégiens. Quant à toi, Monica tu vas me rembourser et regretter de m'avoir laissé seul dans ce lit après t'être enfuir 5 ans jadis.
- QUOI ?
- TU AS OUBLIÉ ? Laisse-moi te rafraîchir la mémoire. Menotté au lit, foulard sur les yeux et ma mallette. Ma mallette contenant un million de dollars et des dossiers très important.
- Non ne me dites pas que…
- Si ma belle. Ne fais pas semblant, tu m'as menotté à ce lit les yeux bandés en me faisant croire que tu allais me donner du plaisir, tu sais n'est-ce pas dit-il en lui caressant le menton.
- Non, je ne sais rien du tout lâchez-moi.
- Ahahahaha, que tu es drôle, mais tu t'en souviendras ma belle ne t'inquiète pas.
- Qu'insinuez-vous ?
- Que tu termineras ce que tu avais commencé ensuite me rendre ma mallette et mes documents et après, je te livrerai aux mains de la police
- Vous n'êtes qu'une ordure vous n'oserez pas ! Je ne suis pas celle que vous croyez, je n'ai pas cet argent ni ces documents et je ne coucherai pas avec vous, répondit-elle en larme à présent.

Mon Dieu, quel cauchemar. Son Tito, son petit Tito. Comment allait-il réagir s'il ne la voyait pas revenir.