『Vmin』 Retiens-Moi

【 Chapitre 5 】Je Ferais Tout Pour Lui

PDV TAEHYUNG

Avant que le car n'ai démarré, le demeuré me fit un geste de ses mains. Je pense qu'il pointait la poche gauche de ma veste, je fouille mais rien ne s'y trouve. Peut être ai-je mal compris, et indiquait-il la poche droite de celle-ci ? J'y cherche un objet, papier ou autres et trouvent une note sur un post-it. Une vieille dame à mes côtés me dévisagée, mon expression de visage changea en moins de trois secondes. Qu'est ce que j'avais pu faire pour mériter cela ?

" J'ai besoin de toi, je te sens d'ici: ton envie monte autant que la chaleur de l'été qui nous entoure, je te veux toi, ton corps et ton caractère bien trempé, ne dis pas non à mes avances, tu ne sais même pas ce qu'il pourrait t'arrivé: bourré ou pas, tu as répondu oui ce soir là,alors maintenant, assume-le. "

- Park Jimin

Je commence petit à petit à tremblé. Je suis, horrifié, c'est affreux ce qu'il m'arrive. " Je devrais peut être contacté la police...? " non, la première personne que je devrais contacté est Hoseok, mon ami dont je n'ai plus de nouvelles depuis quelques jours. Je sors d'un pas hésitant du car, et saisis mon téléphone proche de mon oreille, j'attend une réponse de sa voix, je veux savoir qu'il va bien, je veux en être sûr maintenant.*

- Allo, qui est-ce ?

Une voix familière décroche. C'est une voix assez déraillée, qui semble être féminine, légèrement cassée. Ce doit être la grand-mère de Hoseok.

- Allo, mon nom est Kim Taehyung, je suis un ami de Hoseok, je ne l'ai plus vu depuis quelques jours et...

- Tu souhaiterais de ses nouvelles. Le pauvre petit était en chemin pour voir, j'entend des sanglots venant de sa part, pour voir sa mère, il s'est fait percuté par une voiture...

Je laisse tombé mon bras, tenant mon téléphone du bout des doigts. Je suis, répugnant, irresponsable, je suis une sous-merde, je suis... horrible. Comment ai-je pu laisser Hoseok, partir seul, alors que je savais pertinemment qu'il n'était pas en état de marché seul et tranquillement, dans les rues de la banlieue de Séoul ? Comment ai-je pu le laisser tombé, si facilement, inconsciemment ? Je sors de ce putain de bus, que je prend pour faire des allés retour incessant.

Je monte les escaliers avec peine, mes jambes se ramollissent: la faiblesse m'envahit lorsque je rentre dans a chambre; au dessus de mon lit, une photo de mes parents et moi, de ma famille, de moi et Hoseok. Je décroche le cadre du mur, et le serre fort entre mes bras: je pousse un cri à me déchirer les poumons, les larmes coulent et coulent sur mon visage, étant agenouillé, mes cuisses sont trempés d'eau. Je pleure, j'essaye en vint entre quelques cris de détresse de respirer.

Les heures passent, et après étouffements et larmes, je m'endors en boule dans mon lit. A mon réveil, je cligne les yeux plusieurs fois, ils sont secs, mes joues sont légèrement humides, je tente de bailler mais mes cordes vocales me font terriblement mal. Me levant trop rapidement de mon lit, je vois des étoiles un peu partout. Je me dirige vers la cuisine pour me servir un café, prend la tasse et la pose sur la petite table ronde de mon salon. J'essaye de me distraire en regardant des émissions aléatoires: cuisine, jeux vidéos, musiques, nature... je me sens comme vide. C'est le seul jour où j'ai vraiment envie de travailler, juste pour me libérer. Je laisse le temps passer, mais mon envie de bouger monte de plus en plus, " Ça doit être lié au café... " me dis-je.

J'enfile une paire d'Adidas noire, un sweat-shirt gris et m'en vais faire un footing. Je me concentre sur le trajet que j'emprunte, je décide de rester dans le centre ville, et de me dirigé vers un parc pour m'étirer. J'entends des adolescents mettre de la musique assez rythmée, ce qui me donne envie de danser: soudain, j'oublie les regards, les personnes autour de moi, il n'y a que moi, l'air frais de fin de soirée et la musique qui résonne en fond. Je me défoule, comme si tout le stress de cette année venait de disparaître, en seulement deux heures environ. Je repars, épuisé en trottinant vers chez moi. Je ralenti de plus en plus, je suis épuisé, cela faisait longtemps que je ne m'étais pas autant défoulé.