Fascinée par un milliardaire Tome 1 ( Russian Mafia )

Chapitre 30

À court de réparties Agatha buta contre le plan de travail à force de reculer. Une vague de désir la submergea quand elle vit son regard s'assombrir par le désir qui le consumait au fur et à mesure qu'elle reculait.

Le désir engendrait la passion, la passion engendrait l'érotisme...

Agathe prit subitement conscience qu'avec les récents événements qui s'étaient succédé, elle en avait presque oublié qu'il lui avait fait l'amour, qu'il avait pris sa virginité...avec tendresse, douceur.

Des actions aux antipodes de ce qu'il émanait.

— Alors ? S'impatienta l'homme.

Que dire ?

Ses mots se bousculèrent dans sa bouche.

Était-elle excitée par son autorité ?

La chaleur au creux de ses seins répondit pour elle.

Il brisa la dernière distance qui les séparé.

Il l'embrassa avec une ardeur indéfinissable et annihila ses dernières défenses.

— J'attends une réponse solnyshka.

Il butina sa joue de baisers intenses.

— Oui..murmura-t-elle presque inaudible.

Il passa ses doigts sur sa bouche, en la regardant de toute sa hauteur.

Il lui retira le manteau qu'elle portait encore et le fit tomber par terre avec une lenteur délibérée. Tous ses sens s'alarmèrent, elle ne voulait plus lui résister, comme hypnotisée.

Il l'enlaça et captura de nouveau ses lèvres avec fougue, et avant même de tout comprendre, elle se retrouva sur la table en verre.

Il étouffa son cri en explorant sa bouche puis se recula. Troublée, elle ne le quitta pas des yeux alors qu'il retirait son pull.

Elle poussa un soupir haché quand elle découvrit une arme à sa ceinture.

— Pour me défendre je présume ? Parvint-elle à dire les yeux rivés sur la crosse.

— En effet...

Sa voix gutturale la perça au plus profond de son être. Sa bouche revint dévorer la sienne avec plus de douceur. Il se pencha encore et encore pour la faire basculer sur la table et appuya sur un interrupteur fixé au mur.

— Oh...souffla-t-elle quand s'aperçut que les grandes fresques descendaient sur les baies vitrées.

— Vous êtes ma prisonnière mademoiselle Kristy...

Elle sourit, en glissant ses mains dans sa chevelure noire.

— Oh mon dieu pauvre de moi au secours !

Il poussa un rire à voix basse et l'embrassa passionnément. Un frémissement parcourut ses hanches quand il souleva la nuisette blanche en coton.

— Qu'est-ce que tu aimes chez moi solnyshka ? Dis-moi s'il te plaît ?

Il tira sur ses hanches pour ramener ses cuisses vers lui.

— J'aime tout chez toi ! Souffla-t-elle d'une voix entrecoupée quand il caressa ses cuisses.

— Ce n'est pas suffisant, je veux plus de détails.

Elle se tortilla quand il arriva à la couture de sa culotte.