Chronique de Sisi : Mes galères

Deprime

Nouredine : ELLE EST ENCEINTE!

Moi :...

J'étais choqué. J'avais plus les mots, je m'y attendais pas!

Nouredine : je suis un hejel (Homme) j'assume!

Moi : VOILA VOILA VOUS CONNAISSEZ PAS LES PRÉSERVATIFS ? Y'EN A MEME GRATUIT Y'A LA PILULE OBLIGER ELLE A FAIS EXPRÈS CELLE LA TCHIP!

Nouredine : eh ta gu**** redis plus jamais ça! parle bien de ma femme!

Vas-y le mec il me saoulait, c'était devenu un canard, je l'ai laissé dans son délire!

Moi : Bref je serai toujours là pour toi même si tu as des phases en ce moment, je vais être tata se sera une première lol!

Nouredine : NON JE PENSE T'AS PAS COMPRIS!

Moi : allez à demain !

Nouredine : Ok je vais employé la manière forte!

Je suis partie mais il était presque minuit, j'avais envie de marcher jusque chez moi.

J'ai mis quarante minutes, écouteurs au oreilles.

Je pensais à cette annonce Nouredine il allait être papa, il avait pas l'air si heureux que ça!

Moi perso, j'étais dégoûté, sa copine elle allait l'avoir que pour elle toute seule.

Je kiffais Nouredine comme un amie, un grand-frère mais ça me faisait toujours chi** qu'il y ait cette fille , je l'aimais pas trop!

J'étais possessive en vrai! Tout ce à qui je tenais il partait : ma famille, Fallone en vraie ça me toucher puis Nouredine!

Les jours suivants, j'étais toujours avec Julia ma copine pour faire les conneries, on volait, on faisait les galeries Lafayette.

On bougeait des week-ends en Espagne à Barcelone, on prévenait personne.

Il y'a un mec qui l'a kiffer, il vivait là-bas il était plein au as.

On était traitait comme des princesses, nourrit, loger, shopping gratis.

On allait plus en cours, Kenzo lui je lui faisais la misère, je l'appelais juste pour qu'il me dépose c'est tout, c'était mon petit pigeon.

En Espagne , j'avais commencé à fumé des joints, Ca détends tellement.

Un soir, on a frappé à ma porte, j'étais en nuisette. J'ai regardé dans le petit trou voir c'était qui.

Je vois Kenzo put** il saoule!

Kenzo : OUVRE ! JE SAIS QUE T'ES LA!

J'ouvre.

Moi : tu veux quoi?

Kenzo : faut qu'on parle...

Moi : parle! moi perso j'ai rien à te dire.

Kenzo : t'es sincère toi ? T'es grave chelou en ce moment il t'arrive quoi tu crois je suis un bouffon! Tu m'appelles que quand t'as besoin! On se voit plus? Tu m'évites là tu comptais pas ouvrir la porte!

Je répondais au sms que j'avais reçu. Le mec il m'arrache mon phone.

Kenzo (en criant) : oh je te parle, je te reconnais plus t'as tellement changé! Je vois tu t'en bats les couilles donc on va mettre fin à tout ça t'as vu moi jsuis po ton bouffon. Bonne continuation.