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Rayane  : Ca va petit ?

Ernesto : oui

Moi : Ca va?

Rayane : We et toi? Vous avez fini de chop chop ?

Moi : ouais c'est bon, tu fais quoi ici?

Rayane : je cherchais une chemise propre t'as vu j'ai l'anniversaire à mon pote ce week-end!

Moi : ah d'accord.


Rayane : ça te dit d'aller manger au Quick ?

Ernesto : ouiii au Quick ! Au Quick ! Au Quick ! Il y'a le jeux de boules là-bas.

Moi : non c'est bon faut qu'on y aille!


Ernesto : mais j'ai faim tata..


Il commençait à pleuré ce comédien.


Moi : oooh tu me fous quoi là??? Moi je te sors plus!

Rayane : on y va t'inquiètes petit.



Il lui prend la main. Ernesto a arrêté de pleurer, il sourit directe cette Escro.


On est allée au Quick tout se passait bien.

On a bien mangé, il était bon délire Rayane.

Il me racontait une histoire, Ernesto jouait au jeu.


Rayane : le mec il nous a enfermé dans son studio un pièce là j'ai prié dieu je suis clostrophobe et...


Grande blonde : BÉBÉ TU FOUS QUOI ICI?


Rayane (les gros yeux) : béh je graille...


Grande blonde : tu m'as pas dit t'es au Havre?


Rayane : c'est annulé! Vas-y bouge je t'appelle après!

Grande blonde : c'est qui elle ???




J'avais même pas fait attention à elle. Mais là je l'ai loocker de haut en bas.


Rayane : tveux quoi ? Jte call après détends toi!!!




Je commence à rigoler, elle forçait trop!




Grande blonde : encore une sal*** de plus! Tu t'arrêteras jamais Ray!


Je déteste me battre, c'est pas du tout mon délire, je lui réponds :

Moi (petit sourire)  : en attendant il est  avec moi, la sa****!




Grande blonde : PFF GROSSE FOLLE!



Je me lève, je lui mets une tarte dans sa gu***.



Grande blonde : TA MÈRE LA PU**!



Elle m'a rendue la claque. C'est partie en bagarre.

Rayane il me tenait, la grande blonde elle en a profité, elle continuait à me frapper, là sérieusement je sentais les coups vu que Rayane me tenait.

C'était un petit con pourquoi il ne tenait pas elle?



A un moment je la vois par terre allonger c'est partie tellement vite.


Mais qui l'a couché? Je regarde devant moi.



C'était Orhan. Il avait un ensemble de survêtement Adidas rouge, je me rappelle.


Chronique de Sisi : Mes galères Where stories live. Discover now