La cité de l'amour [Tome 1]

Chapitre 1

Il est dix-huit heure lorsque l'on rentre tous. Nos parents nous attendent tous chez les grands parents d'Hakim et Idriss. A peine entrée, je croise le regarde de tous le monde.

-Vous avez vue l'heure ?! Hurle une des mamans.
-Une heure de retard! Rajoute la maman de Mohammed. On était d'inquiétude!
-Pourquoi vous êtes en retard ? Demande le papy.

Ils se regardent tous, mais je m'avance devant eux, visage baisser.

-Tous est de ma faute. Je suis désolée. Les garçons voulaient me montrer le quartier. Alphonse nous a dit qu'il était l'heure, ils voulaient tous rentrer mais je les ai suppliés de me montrer le parc avant. On est donc partit trop tard. Je suis désolée.
-Les garçons?
-C'est vrai, elle nous a demander mais c'est notre faute aussi, on a pas dit non, rajoute Hakim.
-Oui, ce aurai dû être à moi d'appuyé Alphonse et de lui dire qu'on rentrer.

Un silence s'installe, tous comme le doute dans l'esprit des parents.

-Et comment cela se fait qu'une jeune fille se trouve dans un groupe de cinq garçons ? Rajoute une maman.
-Ce sont des enfants, enfin, conclue la mamie. Ils ne sont pas pervers.

Une des mamans s'approche de Ken.

-On rentre Ken, remercie Solange.
-Alphonse, fait de même, lui dit sa maman.
-Merci Solange, disent-ils.

La mamie leurs sourit et ils s'en vont. Les garçons me tchek en partant.

-Si tu as un probléme, dit Alpha et Ken, tu n'en auras plus.

Tandis que la porte se ferme, les autres garçons se fofillent jusqu'au couloir de derrière.

-Ma puce, c'était toi ou ils t'ont forcé à le dire?
-C'est vraiment moi, ils ne me forcent à rien. Ils sont beaucoup trop gentils pour ça.

Elle hoche la tête tandis que je rejoint les garçons. Hakim ferme la porte.

-Merci la russe, me dit Idriss.
-Grave, merci la roskove.
-Cimer la reuss, fini Hakim.

Ils s'installent dans le lit et jouent à la console. Après quelques heures ici, je fini par rentrée.

—

Je retourne vite dans ma chambre et regagne mon lit. Je m'emitoufle sous ma couette et regarde les étoiles par ma fenêtre.

—

Il est 7h30 lorsque j'arrive au collège. Maman m'a amené car je suis terrifiée.

-Aller ma chérie, je viens te cherché ce soir.

Elle m'embrasse le front et s'en va. Je passe à peine le portail que j'entend des rires.

-Oh, le bébé! Hurle une fille à ma droite. Sa daronne l'a amené.
-Je suis pas un bébé!
-Si t'es un gros bébé tous moche!

Je me sens terriblement mal.

-Laisse la tranquille !

Je reconnais la voix d'Hakim. Je me retourne et m'éloigne d'eux, les larmes aux yeux. Quelqu'un me retient et je me retrouve enlacer de petits bras tous blancs.

-C'est des alkaliba.
-Des quoi?

Il me sourit.

-Des chiennes.
-Mais elles ont raison, je suis un bébé.
-Tu as remit Momo à sa place hier, tu t'es dénoncer pour nous, alors non. Un bébé aurait pas fait ça.
-Mais j'ai un doudou.
-Je suis sûr que tu es super mignonne avec.

Je rougis, oh oui je rougis. Je hoche la tête et sèche mes larmes. Il ébouriffe mes cheveux.

-Aller on va en cours.