Ton visage et ta beauté ne m'ont fait que t'aimer davantage mais si on m'avait dit que ta personnalité m'achèverait définitivement, je me serais préparé un minimum.
S'est allé doucement en restant intense, je parle de mes sentiments.
Puis t'as commencé à parler, pas forcément de toi mais putain.
J'aurais préféré que tu la fermes.
On m'avait pas dit qu'on pouvait aimer en quelques instants, qu'on pouvait plus rien vouloir d'autre que cette personne.
Je te trouvais beau mais là je crois que c'était au-dessus. Au-dessus de tout ce que j'avais pu imaginer.
Je remarquais tout, tes gestes, tes tiques, tes toques, tout.
Puis ça a continué à grandir, jusqu'à devenir si fort que je n'arrivais plus rien à contrôler.
Je t'aime.
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Déferlement d'émotions
Poetryun peu comme le premier j'espère en plus parlant et concret des textes, poèmes, citations...
