Il y a les peines qu'on pleure à gros sanglots,
Celles qui nous secoue tout entier.
Celles qu'on retient mais pas longtemps, ça finit toujours par exploser.
Et il y a celles qu'on ne montre, qu'on ne pleure, qu'on n'exprime pas ou qu'on refuse de ressentir.
Celles-là sont les pires.
On a envie de pleurer, ou alors on y arrive pas.
Mais rien ne sort, rien n'est dit.
Et on reste comme ça, en repassant le moment, la personne ou les mots qui nous ont blessé dans notre tête en s'imaginant milles façons différentes possibles de comment ça aurait pu se passer.
Il y a la tristesse qu'on exprime pas, celle-là fait mal, je dirais même qu'elle tue.
VOUS LISEZ
Déferlement d'émotions
Poetryun peu comme le premier j'espère en plus parlant et concret des textes, poèmes, citations...
