Oublie donc ça

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Fictif
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Y'a le sommeil qui m'appelle,
Et y'a les mots qui me retiennent.

Y'a la chaleur qui m'assoupit,
Et y'a les brûlures qui m'réveillent.

Y'a mon cœur qui se languit,
Et y'a mon corps beaucoup trop lâche.

Y'a la colère qui est enfouie,
Et y'a cette joie qui me dépasse.

Cette énergie qui reprend vie,
Cet espoir qu'prend beaucoup trop d'place.

Cette euphorie un peu malsaine,
Qui blesse mes maux, ravive mes peines.

Y'a ton rire qui hante mes nuits,
Et y'a tes cris qui tuent mes jours.

Y'a le tambour qui tremble d'amour,
Et y'a l'triangle qui sonne l'alerte.

Encore une fois, mais pourquoi pas,
Encore une fois oublie donc ça.

Poésies perduesWhere stories live. Discover now