33. Alexander

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Hello ! Comment n'allez-vous ? 8D 

Comme promis, voici le chapitre 33 que j'ai dû écrire du coup en une soirée vu que mon ptn d'ordi m'a lâché comme une merde LOL. Mon père va essayer de réparer mais bon, en attendant je suis une clocharde :D

BREF. Donc ce chapitre ptdrrrr vous m'en direz des nouvelles. IL SERT A RIEN PTDR. Enfin bref, je vous le laisse, profitez bien !

Bonne lecture !

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Alex

Pour la première fois depuis que je dors en sa compagnie, ce sont les rayons du soleil filtrant à travers les carreaux qui me réveillent en fin de matinée. Aucun cri, aucun sursaut, aucun sanglot à trois heures du matin. Je papillonne des yeux pour essayer de m'habituer à la lumière plus facilement, puis je m'écarte en peu de Railey dont la présence rend la chaleur étouffante.

Je roule sur le côté et regarde le plafond tout en soupirant de bien-être.

- Bonjour.

Je sursaute légèrement et me tourne vers le grand abruti à mes côtés. Je ne sais pas ce qu'il m'arrive, mais j'ai beau y mettre tous les efforts du monde, mes lèvres se retroussent d'elles-mêmes en un léger sourire et je réponds en marmonnant :

- Bonjour.

Ses cheveux en bataille recouvrent la partie droite de son visage, mais je peux voir sans peine sa bonne humeur à travers son immense sourire et ses yeux qui pétillent. Il s'allonge sur le côté et je fais de même pour pouvoir le contempler tranquillement. Je profite qu'il ne fasse pas la gueule. Il passe sa main sur ma hanche, et si je râle au départ –on perd pas les vieilles habitudes- je ferme bien vite les yeux en soupirant d'aise. Ses caresses me font me sentir bien.

Au bout d'une dizaine de minutes où personne ne parle, sa main quitte ma hanche et j'émets un grognement de mécontentement qui semble le faire rire d'après le bruit que j'entends. Les yeux fermés et sur le point de me rendormir, les draps se froissent signe qu'il a changé de position. Curieux, j'ouvre un œil et je le vois fixer le plafond avec un sourire béat sur le visage :

- J'ai dormi neuf heures.

Il répète, pour essayer de se convaincre ou pour que je sois fier de lui –à voir :

- J'ai dormir neuf heures.

Et l'effet est immédiat. Je me rapproche doucement et lui embrasse la tempe alors qu'il lâche un rire puisque je lui chatouille en même temps les côtes. J'y vais doucement, mais il me supplie au bout de quelques secondes d'arrêter alors que je souris contre sa tempe et finis par rire avec lui. Je cède à sa demande et je cesse le supplice. Il se remet difficilement de ses émotions et met un oreiller sur son visage en étouffant un « connard » que j'entends pourtant bien distinctement. Je fronce les sourcils à l'appellation et retire le coussin de force pour qu'il arrête de se cacher, puis je lui renvoie dans la tête. Il se casse la gueule –plus par surprise que par la force inexistante d'un oreiller- sur le plancher, et je n'ai pas le réflexe de demander comment il va que j'explose d'un rire tonitruant.

Salvaje (BxB)Donde viven las historias. Descúbrelo ahora