Chapitre 12: avalanche

478 24 10
                                    

Nous nous mîmes alors en route pour la montagne couverte de neige. Le début était assez simple: Température agréable et des chemins larges qui serpentaient le long de la montée. Maintenant, la route c'était corsée. La neige avait monté jusqu'à la moitié d'un tibia d'homme. Les hobbits et le nain glissait souvent, faute de n'être pas assez grand. Pour ma part et celle Legolas, nous eûmes la chance de ne pas s'y enfoncé. Mais le voyage restait toute de même épuisant et fatiguant, malgré ce que certain prétend. Je ne vise personne. Je dis juste que j'en ai marre d'être rabaissée de telle manière par cet homme. Comme si ça ne suffisait pas Legolas ma abandonné en arrière-garde pour guider la compagnie. C'est bien dommage...

On marchait depuis des heures. J'étais au bord de l'épuisement et je n'avais personne avec qui partager mes ressentis. Le paysage couvert de neige était monotone et ennuyeux. Le ciel était couvert de nuage que nul rayon ne traversait. Le blizzard sifflait dans mes oreilles et la neige m'obligeais à garder les yeux mi-clos. Je fixais un point imaginaire, quand j'entendis quelqu'un tomber et rouler le long de la pente. Frodon trop fatigué avait glissé et Aragorn l'avait stopper dans sa chute. Il l'aida à se relevé et je vis dans le regard du petit homme que quelque chose n'allait pas. Il se tata le torse à la recherche de l'unique. Il le chercha des yeux, il se tenait plus haut. L'anneau avait du se retiré lors de sa chute. Je constatai avec stupeur que Boromir s'en était emparé et l'observait comme hypnotisé. Aragon le vit aussi.

- Boromir! L'appela ce dernier.

L'homme ne l'entendit point et bafouilla:

- C'est une étrange fatalité que nous devions éprouver tant de peur et de doute. pour une si petite chose... une si petite chose...

J'encochai un flèche, prête à tirer.

- Boromir. Le ton du rôdeur était desormais plus froid et autoritaire. Rendez l'anneau à Frodon.

Ils nous fixa tour à tour avec regret puis détendit d'un pas lent et mal assuré. Il sourit et tendit l'anneau au hobbit qui reprit d'un seul geste.

- À vos ordres. Je n'en ai cure.

Il frotta les cheveux de Frodon en pouffa faussement et repartit. Je vis alors qu'Aragron relâchait son épée. Nous continuâmes notre marche.

La neige tombait lourdement sur notre compagnie et le blizzard nous fouettait violemment . Mes compagnons avançaient difficilement, de la neige jusqu'au buste. Gimli grommelait en nous voyant moi et Legolas gambader en laissant presque aucune trace. Soudain des mots se firent entendre dans le vent. Le m'arrête interrogée et aussi terrifiée. Legolas fut le plus rapide:

- J'entends une voix sinistre dans les aires.

Mon regard se prédit dans ses yeux bleus profonds. Le hurlement de Gandalf m'y arracha.

- Saroumane!

Un craquement sonore retentit au-dessus de nous. Je vis toute la communauté leva les yeux vers le haut. Des rochers dégringolèrent. Nous dûmes baisser les têtes pour ne pas être assommé.

- Il essaie de déclencher une avalanche. Annonça Aragorn. Gandalf, il faut faire demi-tour.

Le magicien lui cri sauvage

- NON!

Il fit quelque pas tenta de s'opposer à la voix de Saroumane. Le viel homme se mit à résister des paroles dans une langue qui m'est totalement inconnue. Je reculai de quelque pas. La lutte dura un moment quand soudain la foudre frappa au sommet de la montagne. Je laissai échappait une plainte de terreur avant que la neige qui roulait ne m'étouffe.

Noir total, je suis un glaçon, je suis tout simplement frigorifiée. Je me mis à battre des mains pour me libérer et donnai de gros coup de pied. Mes tous membres étaient redis par le froid. Soudain, une main fine et douce attrapa la mienne. Je pus enfin respirer l'air libre. Je me laissai tomber mon corps frêle sur la neige. J'étais lessivée. Mon estomac se noua et un Haut-le-cœur me saisit. Je finit rendis mon déjeuner. Cette même main me caressa les cheveux. Je levai enfin la tête pour voir qui était mon sauveur, le visage pâle de Legolas se tenait non loin du mien. Je me sentis soudain gêné.

- Ça va? Demanda-t-il inquiet.

Je hocha la tête mais il n'eut pas l'air convaincu. On entendit quelqu'un pester non loin: Gimli. Nous nous en approchâmes et un trou de creusa laissant apparaître petite  la silhouette  du nain. Il tentait de sautiller pour nous rejoindre. Ce fut l'éclate de rire.

- Ça n'a rien de drôle! Grogna le fils de Gloïn.

Mais il parlait à un mur, notre fou rire amplifia, son plus regret. Legolas se redressa et tendis amicalement son bras à Gimli. Il le prit à deux mains et fit basculer l'elfe dans le trou. Le riait une fois de plus. Une boule de neige m'arrivai en pleine face.

- Hé! M'exclamai-je.

- Traîtresse! Lança Legolas.

Il m'attrapa à son tour et me fit trébucher dans le trou. Le nain gémit.

- Mais vous êtes lourd ma parole.

La tête de Boromir nous regardais depuis en haut. Il dit d'une voix glaçante et sévère.

- Sortez de là on a autre chose à faire de faire joujou.

Je lui répondit pas mais m'accrochai a la neige pour monter. J'entendis Gimli se plaindre à Legolas que je suis jetais de la neige en grimpant ce qui me faire sourire. Je commençais à la frotter exprès pour lui.

- Pff.... pff... Beurk. Pesta-t-il.

Arrivée en haut je regardais le blondinet monter sans problème. Gimli essaya de sauter mais rien n'y faisait. Le nain implora.

- Et moi ?

Hej!

Oui je sais ça fait un moment que je n'ai plus écrit. Avec les vacances et la rentrée je n'avais pas vraiment le temps mais voilà.

Autrement merci pour les 5 k de lecteurs c'est génial et énorme merci!

J'espère que ce chapitre vous plaira. (peut-être un peu court désolé)

Hej då!

Le seigneur des anneaux la fille des bois livre 1Donde viven las historias. Descúbrelo ahora