Texte 25 : Incompréhension.

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Quand tu es arrivée au lycée, je l'ai vu, ce petit air de Bad boy que tu avais. Le petit truc qui fait craquer beaucoup de filles, dont moi. C'était tellement agréable de parler avec toi, de passer du temps avec toi. Notre amitié était tellement plaisante, tellement rassurante, à tel point que je me poser souvent la question, est-il possible qu'il n'y ai pas plus que de l'amitié entre nous ?

Au bout de quelques mois, on s'est beaucoup rapprocher. Et nous avons finis par nous mettre ensemble. Quand tu me prenais dans tes bras je me sentais bien, en sécurité. Tu étais mon premier baiser. Quand tu as posé tes lèvres sur les miennes, je savais que notre amitié avait atteint le point de non-retour. Pendant les deux semaines suivantes, je passer le plus clair de mon temps de pose au lycée dans tes bras. Puis tu as commencé as vouloir sortir pour aller voir un film ou d'autres choses dans le genre. Le problème c'est que je n'avais rien dis à mes parents, je ne pense pas qu'ils approuveraient donc je déclinais toutes les sorties que tu me proposais.

Je savais que notre relation était vouée à l'échec, tu devais sûrement le sentir aussi. Nous avons parlé et donc on a arrêté. On est resté amis, mais quelques choses avaient changé, ce n'était plus comme avant. Puis tu as changé de lycée et on a perdu contact. De temps en temps on parlait mais pas beaucoup.

Puis on s'est finalement revu à un anniversaire. Ce n'était pas prévu mais j'ai passé l'après-midi et la nuit dans tes bras. Et comme quand on était ensemble je m'y sentais en sécurité. Tu m'as caressé le visage, tu as placer ta main au creux de mes reins, j'en avais des frissons. Même avec les autres relations que j'ai eues je n'ai jamais ressenti ça. Je ne sais pas si tu le ressentais ou non...

Quand tous les autres c'étaient endormis, tu m'as embrassé la main et le haut de la tête. Et finalement, on s'est endormi. Le lendemain, tu as fait comme si rien ne s'étaient passer. On se reparler comme des amis. En fin de matinée mes parents sont venus me chercher. Tu es venu vers moi et tu m'as prise dans tes bras. J'ai bien senti que ce n'était pas qu'un câlin amical. Et je suis parti... maintenant on verra bien ce qu'il se passe. 

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