ᏟhᎪᏢᎥᏆᏒᎬ〖17〗: Une éclaircie

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La cloche résonna dans tout le bâtiment indiquent à nos professeurs qu'ils devaient nous libéré, bien que certains semblaient ne pas comprendre que la sonnerie signifiait : Liberté aux élèves, mais plutôt : Je suis l'horloge. Donnant souvent une vague de râlement dans ces salles ce classes. Mais heureusement, les élèves finissaient tous par être libéré de ce pièce qui ne sentait pas toujours la rose, mais plutôt le cadavre en décomposition. Bien que cette dernière odeur ne me dégoûte pas je comprenais avec facilité que certain la détestait.

Pour ma part, M. Hardy nous avait libéré avec quelques minutes d'avance étant donné que nous avions beaucoup participé pendant sont cours de "Vie de Classe" qui avait rapidement tourner en cours d'harcèlement scolaire, et problème personnel, du coup, nous n'avions même pas abordée notre avenir. Mais je ne me plains pas d'être sortie plus tôt de ce cours, surtout que j'allais pouvoir aller plus tôt au théâtre pour répété ma pièce. Lynn m'avait dit qu'elle avait une répétition surprise pour son cours de chant, elle partie donc rapidement de la salle de cours, je la suivit avec quelques minutes d'écart, et me dirigeais texte en main vers ma salle de théâtre. Je rentrais dans la salle le plus discrètement possible, il n'y avait absolument personne à part Harry qui comme à son habitude aimait arriver en avance. Je m'avança sur scène, en balançant mon sac au pied de la scène.

- Enfin je me dérobe à la joie importune De tant d'amis nouveaux, que me fait la fortune. Je fuis de leurs respects l'inutile longueur, Pour chercher un ami, qui me parle du coeur. Il ne faut point mentir, ma juste impatience Vous accusait déjà de quelque négligence. Quoi ! Cet Antiochus, disais-je, dont les soins Ont eu tout l'Orient et Rome pour témoins, Lui que j'ai vu toujours constant dans mes traverses Suivre d'un pas égal mes fortunes diverses; Aujourd'hui que le ciel semble me présager Un honneur, qu'avec vous je prétends partager, Ce même Antiochus se cachant à ma vue, Me laisse à la merci d'une foule inconnue ?

Harry sursauta en m'entendu parler, il se retourna vers moi un large sourire au lèvres, il sembla réfléchir quelques secondes avant de continuer dans mon élan.

- Il est donc vrai, Madame ? Et selon ce discours L'hymen va succéder à vos longues amours ?

- Seigneur, je vous veux bien confier mes alarmes. Ces jours ont vu mes yeux baignés de quelques larmes. Ce long deuil que Titus imposait à sa cour, Avait même en secret suspendu son amour. Il n'avait plus pour moi cette ardeur assidue Lorsqu'il passait les jours, attaché sur ma vue. Muet, chargé de soins, et les larmes aux yeux, Il ne me laissait plus que de tristes adieux. Jugez de ma douleur, moi dont l'ardeur extrême, Je vous l'ai dit cent fois, n'aime en lui que lui-même, Moi, qui loin des grandeurs, dont il est revêtu, Aurais choisi son coeur, et cherché sa vertu.

Le brun explosa de rire, il se retourna vers le piano, et fini par admettre qu'il ne connaissait pas la suite. Je lui fis, alors, signe de me laisser une place sur le siège du piano à côté de lui. Il s'exécuta sans ronchonner d'être envahie.

- Je t'ai jamais vu jouer, mais pourtant tu passe ta vie devant se piano.

Le sourire de Harry disparut soudainement, avais je toucher un point sensible ? Je ne pouvais m'empêcher de penser que c'était bien fait pour lui de se sentir mal, pour me venger de sa blague sur les Zombies de l'autre fois. Es que c'était mal ?

- J'en jouait beaucoup avant, j'ai appris à jouer avec ma grand mère. Mais, elle est morte cette été, et depuis je n'arrive plus à jouer.

Un autre sentiment s'empara de moi, la honte d'avoir penser cela. Je me frappais intérieurement.

- Oh, je suis désolée.

Il me remercia du regard, une idée me traversa l'esprit.

- Tu n'as qu'a jouer un morceau que tu ne jouait jamais avec elle. Je peut t'accompagnée si tu veux.

- Tu sais jouer du piano ?

- Non, mais je peut mémorisé quelques petites touche rapide si tu veux.

- J'ai une meilleure idée, je joue et tu danse.

La plus grande partie de moi n'avait pas envie de danser, mais je voulais l'aider à rejouer d'un instrument qu'il semblait tant aimer. Allais je accepter pour le rattraper d'avoir pensée une chose horrible ? Et puis le cours ne commençait que dans 30 minutes, j'avais le temps de faire une petite danse sans que personne d'autre ne me vois. Déjà assez de gens m'avait vue me ridiculisé en dansant. J'acceptais alors. Je me plaça au centre de la scène et des les premiers notes je commençais à danser, je ne fessais rien de bien compliqué, des pas chasser, des toupies et deux trois autres pas. Je n'enchaînais pas tout les pas de danse pour me permettre d'observer Harry, qui semblait tout à fait à l'aise au piano, il se permettait même de me regarder danser. Au bout de 5 minutes je m'arrêtais de danser et le rejoignais au piano. Il continua de jouer encore un bon moment, je dois avouer qu'il jouait parfaitement bien. Il fini son morceau en beauté et se tourna vers moi le sourire aux lèvres.

- Tu es une magnifique danseuse, tu dois aller t'inscrire dans l'option danse !

Je ne savais pas quoi répondre à part : Non. Mais c'était peut-être un peut trop violent et direct, je me contenta de lui offrir un sourire. Un raclement de gorge nous sortie de cette bulle, le brun et moi nous tournions vers les sièges du premier rang, soit de là ou provenait le raclement. C'était un autre brun qui se tenait droit devant nous, Milo.

- Je suis venu te dire que ma mère t'invite toi et ton père à dîner ce vendredi. Pour mettre derrière nous l'incident de début d'année. Milo avait dit ça tellement monotonement qu'on avait bien remarquer qu'il citait sa mère.

- J'en parlerais à mon père ce soir.

- Ok... De toute façon tu as mon numéro... à moins que tu l'ais supprimer. La dernière partie de sa phrase sonnait plus sur un ton de souhait que de constations.

- Pourquoi je l'aurais supprimer ? Je t'envoie une réponse se soir.

Milo ne prit pas la peine de me répondre et se tourna pour quitter la pièce, je remarquais alors que je me tenais plus droite qu'au naturel, je souffla tout en me remettant dans une posture normal. Au moment de passer la porte de la salle, le brun qui c'était invité se retourna vers nous.

- Au fait, magnifique déhancher, je suis sur se talent te viens de ta mère.

Je ne put m'empêcher de sourire comme une débile, j'avais bien compris que c'était ça façon de s'excuser de l'autre fois, même si il était loin je pouvais voir que lui aussi, avait un sourire qui rejoignais ses deux oreilles.

- Merci. Articulais je avec un grand sourire. 

 

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Une Zombie Au Lycée (TERMINÉ)Nơi câu chuyện tồn tại. Hãy khám phá bây giờ