Chapitre 1

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C'était cet été que tout a changer, cet été qui a changer mon point de vue sur la vie. Je vais tout vous raconter. Je m'appelle Zaher et j'ai 17ans. Dans ma bande d'amis on est 5: moi, Mia, Alex, Zach et David.
Un beau matin de juillet, Mia m'envoya un SMS:

J'accepta par curiositée, comme l'aurais fais beaucoup d'autres adolescents comme moi

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J'accepta par curiositée, comme l'aurais fais beaucoup d'autres adolescents comme moi.
L'apres-midi, comme prévue, nous avons commencé une séance avec la planche de Ouija de Zach:

L'apres-midi, comme prévue, nous avons commencé une séance avec la planche de Ouija de Zach:

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Elle avait du style, c'est claire. On a éteint la lumière, allumer 5 bougies que l'on a, par la suite, disposé au tour de la planche. Mia sortit de la boite un papier où étaient inscrites les règles, mais Zach le lui arracha des mains en lui disant qu'il n'y a rien de réel, et qu'on a juste à dire "Esprit es-tu là?", et que quelqu'un ferais bouger inconsciement la goutte.
O

n posa nos doigts sur la goutte, et dîmes "Esprit es-tu là?", et comme on s'y attendait, la goutte bougeait, elle faisait le signe de l'infini. Mia posa la première question: "Comment t'appelles tu?" la goutte allat sur le Z, le O, le Z, le O sans s'arreter et en allant de plus en plus vite.
A un moment, la goutte s'arreta brusquement. Je reposa la question de Mia, l'atmosphère s'alourdissait. Quelques secondes étaient passées, et Mia, se mis a angoisser. Elle disait qu'elle voulais arreter, qu'elle avait trop peur. Elle enleva ses doigts de la goutte, et les autres fussent de même, puis moi aussi. Ils s'étaient éloigner avec elle pour la rassurer. Mais au moment où j'allais les suivre, la goutte bougea, toute seule. Elle était allée sur le R, le O, le S et le E. Je lui demanda: "Tu t'appelles Rose?", question à la-quelle l'esprit réponda "YES". Je lui demanda: "Tu as quel âge?" elle réponda rapidement "1" et "6", je lui demanda: "Tu as 16ans, c'est ça?", elle me réponda "YES".
J'ai longtemps discuté avec elle, et elle était très ouverte. J'avais apris qu'elle vivait seule depuis ses 7ans, que ses parents l'avaient abandonner, et qu'elle est morte noyé lors d'une fuite d'eau qu'elle n'a sû réparer. Je commençais même à l'apprécier. Énormément. La lourde atmosphère a doucement fait place à une atmosphère légère. C'était comme parler a une bonne amie que je connaissais depuis longtemps. On rigolait ensemble, elle me faisait me sentir heureux, libre, comme si je ne devais me soucier de rien. A ce moment, je n'avais aucun problème. J'étais en paix avec moi même, en paix avec tout et tout le monde. Mon coeur était soulager de ses vieilles blessures, libre et légé, il n'a d'ailleur jamais été aussi légé. Ce moment était un vrai bonneur, rien ne pouvais gaché cette connection que l'on avait, on était presque pareil. Et au moment de lui dire "Au revoir", je me sentais triste et vide. Mais Zach m'appela, et Rose allat sur "GOOD BYE". Je laissa la planche et la goutte où elles étaient, et me précipita voir comment Mia allait. Elle était en pleine crise d'épilepsie.
Les pompiers arrivèrent assez vite. On les avait appelé parce qu'on ne savait pas quoi faire, elle n'en avait jamais fait au par avant, et elle ne nous avait jamais dit qu'elle était épileptique, on aurrait fait plus attention à elle. On se sentait tellement coupable de sa crise...
On était seul chez Zach, et on regardait la planche en disant à quel point on s'en voulais.
A un moment, Alex, avec un aire énervé, me demanda "Zaher, tu faisais quoi avant? On t'entendais parler tout seul..." je lui dit que j'avais fait la rencontre de cette adorable Rose, ils se sont tous mis à rire, et Zach, tout en continuant de rire me dit "Les fantômes ça n'existe pas! Tu as fais la rencontre de ton subconcient!", ils en pleuraient de rire, alors que j'étais on ne peut plus serieux. Les entendre rire m'énervait au plus haut point.
Je ne cessais de trouver des excuses pour dire qu'elle existait bien, que je n'avais pas rêvé, que ce n'était pas mon subconcient, mais que c'était bien elle, Rose.
Zach m'offra, comme il disait, "par pitier", sa planche Ouija et la goutte qui allait avec.
Ils me disaient qu'y croire était de la follie pure et dure. Que je ne devais jamais dire à quelqu'un d'autres que j'y crois. Que le Ouija est un jeu pour se faire peur, que c'était un jeu pour les bébé... Je vous épargne la suite.
Mais je savais une chose, ce n'était pas la dernière fois que j'allais lui parler.

Asmodée et ZaherWhere stories live. Discover now