SUPPLICE

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  FAITH

Une semaine est passée, et pourtant je n'arrivais toujours pas à m'habituer à l'absence de ma petite Hidi . Aujourd'hui c'est son anniversaire et j'espère que Enzo me laissera la voir rien qu'une petite minute, j'ai prier toute la nuit pour sa.
J'ai acheter un cadeau pour elle, une grande poupée de princesse comme elle l'aime. 

Je me levais de mon lit les yeux encore enflé,  comme tout les jours j'avais passé la nuit à pleurer. Enzo me rendait la vie impossible,  il me l'a pourrissait c'était comme s'il me suivait.  J'étais partir faire des courses, je l'avais croiser dans le même super marché.

Son chariot était rempli de produits laitiers et de céréale j'ai tout de suite pensé à Hidi.  Il a feint de ne pas me voir et lorsque je l'avais approcher pour prendre des nouvelles de ma fille. Il m'a donné une de ses phrases qui m'a complètement gâcher la journée. 

-- nous reverrons au tribunal dans 2semaine .

-- Enzo, j'ai besoin de voir mon enfant pitié

-- qu'est-ce que tu n'arrives pas à comprendre ?  Je n'ai pas envie que tu t'approche de Hidi

-- ma fille a aussi besoin de moi.

-- je ne crois pas,  Hidi se sent mieux sans toi,  sa nouvelle nounou prend bien soin d'elle

-- tu confis ma fille a une inconnue, qu'es ce que tu en sais de la façon dont elle l'a traite ???!!!!

Je n'avais pu me contrôler,  Enzo était tout simplement sadique , c'était comme si il manquait chaque partie de mon corps au fer rouge. 

-- à elle je lui fait mieux confiance.  Bon Je suis venue faire des courses pour mon enfant alors dégage de mon chemin...

Je me jetais sur lui pour lui donner des coup , ses gardes du corps m'arretait j'avais une folle envie de le mordre tellement la rage que j'avais pour lui avait grandi. 

-- je déteste,  je te déteste...

Les regards s'étaient tourner vers nous,  les autres agents de sécurité du centre commercial s'étaient précipité pour me neutralisé, j'avais honte de la façon dont on me traitait et le pire c'est qu'Enzo insinuait que je l'avais aggreser

-- c'est une folle cette fille, c'est une toxicomane .

-- lâchez moi. 

La police m'avait même arrêter et c'est seulement deux heure après que ma tante venait me libérer en payant la caution , je rentrais sans un mot,  je n'avais aucune envie de m'expliquer  je devenais folle de jour en jour. 

En repensant encore à cette scène ce matin, mes larmes se mirent à couler,  jamais je ne pourrais pardonner à Enzo pour la souffrance qu'il m'infligeait.  Ma tante frappait à la porte pour m'apporter mon petit déjeuner.

-- repars avec ton plateau, je n'ai pas envie de manger

-- mais ma chérie Il faut que tu avales quelques choses.

-- non, ce que je veux c'est Hidi.

-- ma chérie, patiente dans quelques jours seulement le tribunal va te l'a remettre

-- et si Enzo gagnait le procès ?  Je n'ai pas de travail,  il diront que je ne pourrais pas m'en occuper

-- ne soit pas pessimiste,  Enzo ne pourras pas t'enlever Hidi éternellement

-- et pendant ce temps, qu'est-ce que je fais ?  Vais je attendre qu'il se décide à me la rendre ? Dans combien d'années ?

Et je me remis à pleurer,  je stressais,  si je ne voyais pas Hidi aujourd'hui j'allais mourir de chagrin, ma fille me manquait.  Je me levais soudainement et entrait dans ma salle de bain. 

-- ma chérie ouvre moi la porte s'il te plaît.

-- je veux rester seule

Je me regardais dans le miroir, amaigri,  les orbite qui avaient noirci à force de nuit blanche et de pleure, je ne m'alimentais plus,  je buvais à peine un verre d'eau par jour.  Je me faisais moi même pitié. 
Je décidais de partir voir Enzo maintenant, je le suplierai à genou s'il faut. Je me levais le visage et je ressorti. 

-- ma chérie qu'es ce qui se passe ?

-- j'y vais. 

Sans même mettre une tenue acceptable, je restait dans la mini culotte et les chaussettes que j'avais enfilé pour dormir hier, je ne prenais pas de manteau seulement un petit pull qui ne ferai pas le poids face à la fraîcheur du dehors. 
Ma tante avait essayé de me retenir mais c'était peine perdu. 

Je prenais le premier taxi qui passait et direction chez Enzo.  J'avais commencé à grelotter, c'est vrai que j'avais stupide de sortir sans couverture.

Le taxi garait devant la maison de Enzo, je lui donnais le seul billet que j'avais en main, il me remit la monnaie et je rentrais sans l'autorisation des gardiens je courais pour ne pas me faire rattraper.  Je rentrais au salon et la chaleur de décembre m'accueillait .

C'était la bonne chaleur ici. La cheminée était allumait et les lumières des guirlande m'accueillait , j'avais complètement oublié que dans quelques jours on fêtait le réveillon. Au loin j'entendais des cris de Hidi et de femmes. 

Je me précipitait vers la cuisine et Enzo me stoppait net. 

-- ou vas tu commences ça ??

Je me retournais, il était déjà en face de moi, la mine hyper flippante, il n'avait pas vraiment l'air d'avoir oublier mon Agression d'hier au supermarché.  Je reculait d'un pas de peur qu'il ne me fasse mal.

-- qu'est-ce que tu fou ici ?

-- Enzo, j'ai besoin de voir Hidi.

-- sors d'ici

-- je veux voir ma fille s'il te plaît !

-- dégage.

Il me saisit par le bras et me traînait dans le salon,  j'essayai de me de me libérer mais il était trop fort pour moi, plus d'autre choix alors je me mit à crier.

-- ENZO !!!!!

-- la ferme !!!

-- à l'aide !!!!!!!!

-- au secours !!!!!!

J'attrapais le pilier de l'escalier de toute mes forces en attendant que quelqu'un entende mes cris

-- Enzo s'il te plaît je veux voir...

-- mais quel sont tout ses cris ??

Gloire au père,  la mère de Enzo était là, elle descndait les escaliers en se séchant les cheveux. Et moi comme une enfant qu'on voulait battre je me libérait du monstre et couru me cacher derrière sa mère, il montait les escaliers pour me rattraper mais sa mère lui barrait la route.

-- on se calme !  Qu'est-ce qui se passe ici ????

-- Madame pitié je veux Juste voir Hidi rien qu'une minute.

Elle me prit la main et m'aidait à descendre les escaliers sans avoir peur,  Enzo me grillait du regard.

-- non mais enfin Enzo, tu n'es pas entrain d'abuser de ce pouvoir ?

-- maman fait sorti cette femme de ma maison.

-- regarde la !  Regarde là bien

Il me regardait toujours avec ses mêmes yeux ténébreux.  Et moi je faisais mon air pathétique, juste pour qu'il soit plus clément.  La nounou de Hidi l'emmenait dans sa chambre, je voulu l'a rattraper mais Enzo m'en n'empêchait.

Je l'entendait encore qui criait maman.  Je ne pu me contenir,  mes larmes coulaient , je pleuraient de mon impuissance. 

-- Elle a le droit de voir sa mère.

-- maman...

-- ce n'est pas une faveur Enzo,  c'est un ordre !! 

DESTINS CROISÉS I ( Tome II En Écriture )Où les histoires vivent. Découvrez maintenant