LA FLAMME QUI NE DORS PAS

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-- on pourrait  dire sa. 

-- pardonne lui ses fautes

-- c'est déjà fait ma puce, t'en fais pas.  On rentre dans deux jours.  Bientôt c'est le nouvel an.

-- oui... J'ai Hâte d'y être.

-- on organise une petite fête chez les Ford nos deux familles seront là tu viendras ?

-- euh .... Je n'ai pas très envie. 

-- me dit pas que tu n'es plus repartir voir tes parents après l'incident

-- non mais on s'appelle très souvent.  Je suis passé voir mon père a son bureau.  Je n'arrive pas à...

-- ouais je te comprends, les Événements sont trop ressens. 

-- Chéri tu pourrais venir voir ? Mon shampoing ne s'ouvre pas.

-- tout de suite...

-- je te laisse,  va donc à la rescousse de ta femme.

-- mort de rire. À bientôt ma puce.

Et je refermait mon ordinateur.  Ah Dany, c'était un vrai gentleman.  Amusant, fou, sérieux, galant, doux, compréhensif autant de qualité que doit avoir un homme tout malheureusement Enzo lui n'en n'avait pas.  Peut qu'avec le temps je pourrais découvrir ses autres facettes. 
Je repensais à ma formidable journée.  C'est avec un sourire que je trouvais le sommeil. 

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Je me réveillais à 9h ce matin.  Quelle grande dormeuse que je suis.  J'enlevais mon orthèse , mon épaule me faisait moins mal que les autres jours ou j'avais essayer de libérer mon bras.  J'appelais ma tante pour qu'elle m'aide. 

Après mon bain, elle Changeait mon pansement et me remis mon orthèse. Je pris mon déjeuner et appelais Enzo pour prévenir que je venais dans quelques minutes. 

-- tu vas passer la journée avec eux ?

-- euh oui... Sûrement

-- je ne vais pas te préparer à manger alors. 

-- oh ce n'est pas nécessaire ma tante. 

-- très bien.  Tu es prête ?

-- oui...

-- tu as prit ton kit de médicaments ?

-- oui il est dans mon sac. 

-- très bien.

Chacune de nous prenait ses clés et nous sortons prendre un taxi,  ma tante se dirigeai à son nouveau boulot et moi je partais chez Enzo. 

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J'arrivais chez lui, les gardiens m'ouvrir le portail . Je rentrais au salon et surprise je trouvais déjà toute la famille au complet , il y avait deux enfants que je n'avais jamais vu auparavant.  Eux aussi me regardaient bizarrement.  Hidi se jetait dans mes bras me faisant un peu mal à l'épaule. 

-- ouïe

-- pardon  je t'ai faut mal ?

-- ça va ma princesse. 

-- bonjour.  Me dit Angy.

-- salut. 

-- tu es toute belle ce matin. 

-- merci.

Je saluait la mère de Enzo et elle me demandait des nouvelles de mon épaule, de ma santé et tout le reste.  Je ne voyais pas Enzo au salon.  On me disait qu'il dormait encore. Quoi ?  Alors que je lui avais dit que je venais.  Je m'excusais et montais à sa chambre. 

La porte n'était pas refermer à clé,  je l'ouvrit et rentrait sans faire de bruit.  Je le trouvais étendu sur son lit,  il était habillé d'une culotte en coton et un pull blanc, il avait même mit des chausson. Je m'approchais tout doucement.

Il était tout mignon comme ça avec ses écouteurs dans les oreilles .bon pourquoi pas faire comme lui,  j'otais mes bottes et me couchais moi aussi.  Il n'était pas endormi profondément et se réveillait en sursaut.

-- comme ça on fait la grâce matinée ?

-- j'ai travaillé toute la nuit. 

-- hum. 

-- salut.

-- salut.

-- tu es es la depuis combien de temps ?

-- je suis là depuis des heures... Je t'ai appelé .

-- tu es sérieuse là ?

-- oui,  je t'ai même aspergé d'eau, mais rien à faire 

-- sale menteuse. 

-- et toi alors sale enfoiré

-- sale vilaine fille

-- ah oui moi vilaine ?

-- toi moche garçon

-- et pourtant tu es dingue de moi.

-- arrête de prendre ton cas pour une réciprocité

-- dis moi que tu n'es pas piqué

Et il se mettait sur moi,  m'emprisonnant avec ses bras musclés,  j'avoue que je ne m'y attendais pas.  les mots peinaient à sortir,  non pas ce regard.

-- je t'interdit de me regarder ainsi.

-- pourquoi ça ? Je te fais de l'effet.

-- même pas. 

Et ce fut un jeu de regard, celui qui clignerait les paupières aura perdu. Même si je savais que la prochaine perdante c'était moi je me prêtait quand même à ce jeu. 

-- tu veux jouer à ça, tu sais bien que tu ne peu résister à mon charme.

-- tu divague ouais.

-- vraiment ?

-- je n'ai pas du tout peur

Il baissait plus la tête,  ses lèvres étaient juste à côté des miennes, je sentais son souffle sur ma peau,  une tortue psychologique, comment résister alors que mon cerveau m'ordonnait de l'embrasser.  Il me fixait droit dans les yeux,  dans quelques secondes seulement je n'arriverai plus à contenir mes envies.  Il passait une main dans mes cheveux et ce fut la catastrophe total,  je venais de cligner des yeux. 

-- et voilà que tu as perdu. 

Ses lèvres se posaient sur les miennes,  ah tanpis, il avait fallu que je perde pour goûter à mon dessert favori.  J'entrouvais légèrement la bouche et il me prit la lèvre inférieure,  ah que c'était bon,  ses douces lèvres me fit frissonner de plaisir.  Je ne voulais pas qu'il s'arrête.

Et le fruit de notre passion recommençait,  Enzo passait une main sous mon cou et relevait ma tête pour approfondie notre baiser...

DESTINS CROISÉS I ( Tome II En Écriture )Where stories live. Discover now