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Chapitre 3
Institut.

Je rejoignais Sam qui me demanda de lui expliquer les moindres détails. Je n'était vraiment pas d'humeur il compris et me laissa tranquille. Un homme me montra ma chambre et je m'affalais sur le lit. Un peu de répit. Je n'avais toujours pas parlé avec mes cousines et je n'en avais vraiment pas le cœur. J'avais tellement peur d'être maladroite avec elles. Puis les deux filles semblaient si matures. Je n'étais pas à la hauteur. Peter me manquait. J'aurai pu lui demander des conseils... Je regardai le plafond réfléchissant quoi faire. Toc toc toc, quelqu'un était là. Je me redressai et faisait face à Mattews.

Moi : oui ?
Mattews : tu es demandé.
Moi : tout en descendant du lit. Et ils ne peuvent pas m'appeler directement ?

Le shadowhunter ne répondit pas.

Moi : c'était pas une question rhétorique. J'attends une réponse.
Mattews : et j'ai rien à répondre.
Moi : T'es pas censé être un ange ?
Mattews : pourquoi ?
Moi : parce que tu te comporte comme un démon.

Il eu un blanc. Ouais c'est vrai pas terrible cette punch line j'ai connue mieux. Je me dirigeai donc au centre de l'institut ou Tommy m'attendait. Son regard vairon me visionna de la tête au pied. Qu'est-ce-qu'il ne lui plaisait pas ? Mon haut rouge ? C'était trop coloré pour lui sans doute.

Tommy : Mattews apporte lui une tenue s'il te plait !
Moi : quoi ? C'est pas bien ça ?
Mattews : ça fera l'affaire.
Tommy : Non. Du rouge !
Mattews : un peu voyant mais c'est un moyen comme un autre de se fondre dans la masse.
Tommy : Mattews s'il te plait.
Mattews : ne compte pas sur moi pour être sa nounou. Tu veux qu'elle porte autre chose va lui chercher. De toute façon elle ne le mettra pas.
Moi : tu lis dans les pensées maintenant ?
Mattews : non, c'est juste que ça se voit dans tes yeux.

Il pris la fuite. Deuxième fois. Je fixai Tommy tout en bougeant ma tête demandant ce qu'il venait de se passer.

Tommy : il a un don d'observation et d'analyse. Il sait parfaitement comprendre les expressions du corps.
Moi : ok. Bon je la mettrais ta tenu, mais dit moi pourquoi c'est ?
Tommy : chasser les démons ça te dit ?
Moi : oh que oui ! Un peu d'action !

Il sourit quant à ma réaction. Attendez mon père est d'accord ? Il devait y avoir mépris.

Moi : Mon père a dit oui ?
Tommy : ordre de l'enclave.
Moi : c'est qui ça ?
Tommy : ricanement. C'est comme un gouvernement.
Moi : et mon père ne s'impose pas ?
Tommy : c'est compliqué de faire opposition quand on est invité.

Je confirmai de la tête. Il m'indiqua le chemin jusqu'à une chambre ou je pourrais récupérer ma tenue. Droite, gauche, droite, ces couloirs étaient immenses ! Encore un escalier et j'arrivai. La porte grande ouverte je rentrai sans gêne. Un petit tapotement pour prévenir de ma présence.

Mattews : Maya je t'ai déjà dit que je me changeais et j'arrivais !

Son chemin se stoppa quand il m'aperçut. Son pull dans sa main, ses abdos contracté il se figea. Je souris.

Moi : c'est pour la tenue.

Il enfila son haut et me dénigrait du regard.

Mattews : tu vas la mettre.
Moi : pas le choix si je veux tuer des démons !
Mattews : ce n'est pas un jeu.
Moi : J'ai vécu pire dans ma vie. Rabat-joie.
Mattews : je ne- laisse tombé.

Il quitta la pièce. Il à un sérieux problème de répartie ce petit.
Une fois prête Tommy m'expliqua les règle à respecter, le but de la mission et que je devais suivre les ordres du grand, du sublime, de l'extraordinaire Mattews ! Nous prîmes une voiture. Je restais septique. Je nous voyais sur une moto ou alors un portail, un voiture était plutôt banal. Sur le chemin je décidai d'embêter Mattews qui depuis mon arrivée était vraiment le lus étrange que j'avais rencontré.

Moi : c'est drôle, 4/5 heures que je suis là et je n'ai fait que te croiser ! Rire.
Mattews : je ne trouve pas ça si drôle.
Moi : Façon de parler Mattews !
Matt : ouais si tu l'dis.
Moi : rabat-joie.
Matt : moi au moins je n'essaye pas d'éviter mes cousines.

Je restais sur le cul comme on dit. Première fois qu'il avait de la répartie. Il me cloua le bec. Bon je ne savais plus quoi dire et nous nous regardions dans les yeux de temps en temps. Puis il eut un feu rouge, Mattews paraissait avoir bloqué sur ma vision et quand le feu passa au vert il appuya sur l'accélérateur sans détourner le regard.

Moi : regarde la route Mattews.

Il m'obéit mais ce fut de courte duré car il convulsa et ferma les yeux. Le volant tourna brusquement vers la gauche et nous heurtions un trottoir se qui fit virevolter le véhicule. Un bruit assourdissant et le noir suivit.

Dans la tête de Mattews

Mes paupière se fermèrent d'un coup sans que je ne puisse contrôler. J'étais comme possédé. Je n'entendais plus rien il faisait noir. En ouvrant les yeux je me trouvais face à une enfant blonde prisonnière dans une capsule en verre. Qui était-elle ?

Vairon : identité mystique Où les histoires vivent. Découvrez maintenant