Un besoin irrésistible.

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On était deja début décembre, cela faisait déjà deux mois, que je m'étais remise avec Ji-tae. On filait le parfait amour, aucune ombre au tableau. Quant à jun-young, il m'avait laisser tranquille et j'en étais très satisfaite. Je me servais le moins possible de ma main droite, pour éviter de déclencher à nouveau une crise. Ne pouvant plus prendre mon traitement, je devais subir la douleur, mais je m'en fichais, j'espérais être bientôt enceinte.

Pour l'instant nous n'avions parler à personne de ce désir d'enfant, on voulait garder cela secret. J'etais enfin débarrassé de mon plâtre, tant mieux car cela devenait gênant, mais je ne reprenais pas le travail avant janvier, ordre du medecin, le temps de ma rééducation. Ji-tae rentrait tard en ce moment, il buchait sur un projet assez conséquent. Il faut dire qu'il devait gérer, aussi le projet des enfants, qui avançait très bien, j'étais très fière de mes petits. Mon remplaçant était agréable et très assidue. Les résultats de mes petits étaient optimal, et j'étais très rassuré qu'il maintienne leur niveau.

J'avais envie de pomme, je me dirigea donc vers la cuisine, pour en prendre une, mais là j'étais déçue, il restait une tonne de fruit, mais plus celui que je voulais. J'en avais vraiment envie, alors j'appela ji-tae, pour le prévenir, que je comptais aller à l'épicerie en face de chez nous.

Moi : mon coeur, je m'excuse de te déranger, c'est pour te prévenir que je vais aller à l'épicerie, je vais acheter des pommes.
Ji-tae : je n'aime pas que tu sorte toute seule, il y a pĺeins de fruits à la maison!
Moi : je veux des pommes mon coeur!
Ji-tae : je vais finir plutôt et aller t'en acheter, d'accord princesse?
Moi : il n'est que dix sept heure, je veux des pommes mon amour, j'en ai trop envie, j'y vais!
Ji-tae : fais attention à toi bébé, envoie moi un sms, quand tu sera rentré, je t'aime.
Moi : je t'aime aussi.

Je mis mon manteau, pris ma besace et quitta notre appartement. J'adorais cette épicerie, on y trouvais de tout pour pas chère. Quand j'arriva, je me dirigea vers le rayon des fruits et légumes. Je pris mon sac de pommes, et acheta aussi du jus de pamplemousse. Je paya le tout et rentra chez moi. A peine arrivé, je déposa tout sur la table, et mangea de suite une pomme, j'avais saliver tout le chemin du retour. J'envoya un message à Ji-tae, pour le rassurer. C'était bon et ça faisait du bien, puis je me servis un verre de jus de pamplemousse, c'était amer, mais agréable. J'étais quand même surprise, car d'habitude je détestais les boissons amères plus que tout. Comme quoi, les goûts peuvent changer avec le temps. Je mangea à nouveau une pomme.

A dix neuf heures, ji-tae passa la porte avec un grand sourire. Il était beau mon homme, j'avais envie de lui sauter dessus, mais je réfraina ma pulsion.

Ji-tae : chéri, regarde ce que je t'ai acheter sur la route, du Yakbap, je sais que tu adore ça, regarde, sens moi cette odeur!

Il était tellement attentionné et c'est vrai que j'adorais ça, mais quand j'huma l'odeur, je me sentis tout d'un coup mal à l'aise, la nausée commençait à me gagner. Je monta directement dans la salle de bain pour vomir. Oh non, j'étais encore tomber malade, il faut dire qu'en Corée, les températures était plus froide, donc avec mon système immunitaire qui était déficient, j'attrapais toute sorte de maladie en hiver. Je me brossa les dents et descendis rejoindre ji-tae.

Ji-tae : princesse, tu es malade?
Moi : je crois bien, je prendrais rendez vous au médecin demain.
Ji-tae : oui tu ne dois pas traîner, tu sais que tu es fragile.

Il était assis sur le canapé, je m'approcha doucement de lui, je ressentais le besoin irrésistible de le caresser. Je commença par ses cheveux, ils étaient si doux et fins, passer ma main entre ses mèches, était agréable. Puis je toucha doucement son visage, sa peau était douce, si rayonnante. Je passais mes doigts doucement sur son nez, sa bouche, son cou, il fallait que je le touche avec ma main, c'est comme si je voulais mémoriser, les sensations, à l'intérieur de celle-ci. D'ici quelques temps, j'en perdrais l'usage, elle deviendra inerte, comme si j'allais devenir un peu comme Pinocchio, un petit pantin de bois. Il semblait abasourdie par mon attitude, mais je crois au fond de lui, qu'il avait compris. Il pris doucement ma main et la couvrir de petits bisous.

Un Amour Passionnel. (New Romance) #Wattys2019Where stories live. Discover now