Chapitre 14 : Kol Mikaelson

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Je me réveillai une nouvelle fois dans cette chambre.

Raah mais qu'est ce que je fait encore la?!

J'essayai de me remémorer la veille sans grand succès. J'eus seulement quelques flash de mon accident et de Klaus qui me calmée.

Attend, Klaus a réussi à me calmer?
Ouai j'étais vraiment pas dans mon état normal.

-Réveillée?

Kol était accoudé à la porte avec un sourire attentionné ou moqueur? Je ne sait pas mais il souriait.

Je ne répondis pas surprise de le voir mais aussi car mon esprit était dans les vapes.

Il s'approcha du lit et s'asseya au bout avec un regard soucieux sûrement face à mon silence.

-Ta perdu la mémoire? Tu peux pas oublier un beau gosse comme moi! s'exclama t-il visiblement effaré que je ne me souvienne pas de lui.

Ce mec a vraiment un melon à la place du cerveau.

-Je n'oublie jamais un visage, même si j'aurai préféré oublier le tien, repondi-je me moquant de lui.

-C'est sûr que chez toi on ne regarde pas que le visage, dit-il en me regardant de haut en bas.

Je ne comprenais pas son
sous-entendu alors je suivis son regard et vis qu'il parler de mes vêtements.

Oh non la honte! 

Je portais encore les vêtements que Caroline m'avait prêté.
Déjà que les vêtements était assez court mais à cause de l'accident, ils étaient arraché ce qui montrer une partie de mes sous vêtements!

Je relevai la tête vers Kol qui me mattait sans gêne.

Je pris la couette et la ramena jusqu'au cou.

-C'est..c'est pas ce que tu crois! dit-je sentant mes joue chauffaient.

-Ah oui et qu'est ce que je devrait croire? me répond t-il d'un regard provocateur et d'une voix perverse!

-Ah oui et qu'est ce que je devrait croire? me répond t-il d'un regard provocateur et d'une voix perverse!

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Il me fait peur!

-Ce sont les vêtements de Caroline! Et puis croit ce que tu veux je n'ai pas à me justifier! déclarai-je croisant les bras faisant une mine boudeuse.

Il me prenait pour une catin ou quoi?
Décidément j'aurais tous entendu dans cette ville.

-Même après avoir passé a coter de la mort, tu parle toujours autant, soupira t-il.

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